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vanvesauquotidien - Page 25

  • LA REGION A DECIDE DE RENFORCER L’ACCESSIBILITE DU LYCEE MICHELET A VANVES

    Michelet qui est classé parmi les dix meilleurs lycées publics des Hauts de Seine, fait partie des cinq établissements franciliens  accueillant des Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE) dans lesquels la Région Ile de France devrait financer des travaux de mise en accessibilité. Une convention a été signée entre la Région, l’association Handipass, Passeport pour l’Excellence, et le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, pour une durée de cinq ans.

    «À travers cet engagement, la Région  réaffirme sa détermination à relever un défi majeur : garantir l’accessibilité des lycées disposant de Classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) aux personnes à mobilité réduite ou avec un handicap sensoriel. Ces établissements, formant aux concours des écoles les plus prestigieuses, se doivent de proposer un environnement d’apprentissage inclusif et adapté à tous» souligne V.Pécresse, présidente de la Région,  en citant les 5 lycées : Louis-Le-Grand à Paris (75), Jacques Amyot à Melun (77), Lazare Hoche à Versailles (78) Jules Michelet à Vanves (92),  Albert Schweitzer au Raincy (93)

    Le partenariat signé prévoit la création d’un fonds de dotation permettant de financer une partie des aménagements nécessaires. La Région apportera son expertise technique ainsi qu’un soutien financier aux travaux d’adaptation, tandis que le ministère de l’Éducation nationale mettra en œuvre des politiques éducatives favorisant l’accueil des élèves en situation de handicap. Les travaux porteront sur la mise en conformité des établissements avec les normes d’accessibilité : installation de rampes d’accès, d’ascenseurs, de sanitaires adaptés ainsi que d’équipements favorisant l’autonomie des élèves.Au-delà de la seule accessibilité des Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles, ces aménagements profiteront à l’ensemble des élèves de ces établissements.

    Ce programme s’inscrit dans la volonté de la Région Ile de France,  de promouvoir un cadre éducatif plus inclusif et de participer à un changement de regard sur le handicap. «Depuis 2016, la Région a engagé une politique volontariste de rénovation de ses lycées au travers de son plan d’urgence pour les lycées franciliens 2017-2027 de 6,6,Md€ et de son plan de maintenance. À ce jour, près de 300 établissements franciliens ont bénéficié de travaux de rénovation et de modernisation. Ce projet de mécénat du volet accessibilité du plan d’urgence, s’intègre pleinement dans la grande cause régionale 2024 dédiée au handicap» indique V.Pécresse

  • PEU DE QUESTIONS A LA RENCONTRE PUBLIQUE DES HAUTS DE VANVES

    Chaque rencontre publique de quartier a ses particularités. Pour les  Hauts de Vanves, elle est toujours la plus courte, terminée vers 21H lundi dernier (21H30 à l’automne 2024), avec un public clairsemé, parmi lequel  Claire Soubelet nouvelle chef de file du PS à Vanves, avec l’écologiste Aurélie Zaluski, le maire bien sûr avec ses adjoints au maire dont Julie Messier (sur la photo) qui a animée la réunion

    En dehors de la présentation du projet Vélo-Rue  et des travaux de réaménagement de  la rue Raymond Marcheron, d’autres réalisations en cours ont été abordé :

    -La gare Fort d’Issy/Vanves/Clamart de la ligne Sud du Grand Paris Express qui a été  retardé à la fin 2026, à cause de problèmes techniques comme elle l’a expliqué  «Un changement de phases sensible entre la construction des lignes, des tunnels et des aménagements d’un côté, et les essais de circulation des trains automatiques de l’autre, ont amenés à ce nouveau retard» expliquait le président de la société du Grand Paris Express qui ont été auditionné au conseil régional le 26 mars dernier auquel assistait Bernard Gauducheau.

    -L’école du Parc  qui ouvrira à la Rentrée de Septembre 2025 avec 9 classes en maternelle, 7 en élémentaire, a-t-elle assurée en faisant remarquer qu’elle anticipe l’arrivée de nouveaux habitants dans le secteur du Clos Montholon. Un intervenant a posée la question sur le devenir du terrain occupé par l’école provisoire où se trouvait auparavant le garage et les ateliers municipaux. Le maire a répondu que la ville envisage de vendre ce terrain (pour une opération immobilière) puisqu’un projet d’installation du tribunal d’instance dans des bâtiments plus fonctionnels n’a pas été retenu par l’Etat par souci d’économie, la ville cherchant depuis longtemps à récupéré la première mairie de Vanves occupé par de tribunal

    - L’aire de jeux du parc F.Pic qui a suscité la polémique, n’a pas suscité de questions, Julie Messier précisant qu’elle est passée de 240 à 420 m2, en étant réalisée en bois et copeaux de bois, en oubliant de préciser que l’élastique a été réinstallé.  

    Dans les échanges avec l’assemblée, après la présentation des projets en cours, d’un exposé sur les réseaux enterrés (sur lequel le Blog reviendra) de GPSO et la projection d’un film sur Vanves et les arbres déjà présenté lors de la réunion publique du 13 février, peu de questions ont été posées, mais celles qui l’ont été, ont suscité une certaine forme d’exaspération :

    - L’absence de commerces dans les Hauts de Vanves, notamment au Clos Montholon, comme le faisait constater un intervenant alors que de nombreux logements sont créés et que leurs habitants ne vont pas aller jusqu’à Clamart faire leurs courses. Le maire a fait remarquer qu’il est prévu un commerce de 270 m2 au rez-de-chaussée de l’immeuble en construction à l’emplacement du contrôle technique de la rue René Hoche/Avenue de la Paix, ave cen face une boulangerie, et son adjoint à l’urbanisme, qu’il est prévu des commerces dans la gare du grand Paris Express ainsi qu’en face de la gare rue du Clos Montholon.

    - La sécurité avec une recrudescence des cambriolages a souligné un participant : « Ils sont en baisse par rapport à 2024. Mais c’est cyclique » a remarqué l’adjoint à la sécurité qui a annoncé que justement, le dossier du prochain Vanves Le Mag sera consacré à la sécurité. Il n’y a pas eu  d’intervention sur le bruit généré par le restaurant Les Pieds dans l’Herbe, dont l’un des responsables, présent, a indiqué que l’établissement était victime de jeunes qui lançaient des pierres du parc, à une heure où il est fermé.

  • BIENTOT UNE « VELO-RUE » DANS LES HAUTS DE VANVES

    A l’occasion  de la seconde rencontre publique de quartier consacré aux Hauts de Vanves, lundi soir à l’école Larmeroux, animée par Julie Messier maire adjointe, il a été beaucoup question des chantiers en cours et notamment autour du réaménagement de la rue Raymond Marcheron, avec une annonce : La réalisation de la première « vélo-rue » de Vanves sur l’axe Docteur Delafosse-Aristide Briand entre les rues de Châtillon et Diderot

    IL s’agit d’un axe très fréquenté dans les deux sens par les cyclistes, à cause non seulement des travaux sur la rue Marcheron, mais aussi parce que les rues René Coche et Victor Basch ont été réaménagé l’année dernière avec des pistes cyclables. Il s’agit là, après les zones de rencontres où la vitesse est limité à 20 km/h comme le long de la rue Sadi Carnot, d’une rue réservée au vélo qui ont la priorité, où peuvent circuler et stationner les véhicules – le stationnement bilatéral sera conservé - avec plusieurs aménagements spécifiques : Une signalisation verticale pour l’annoncer  et l’identifier, avec un logo « vélo rue ».  Une autre horizontale avec une partie de la chaussée en résine beige sur laquelle les vélos circulent. Et des stops à chaque intersection avec les rues perpendiculaires. GPSO prévoit cet aménagement dés la fin du chantier de la rue Raymond Marcheron, car pour l’instant, cet axe sert de délestage, d’autant plus que ces jours-ci les rues des Fréres Chapelles et René Coche sont être mis en impasse avec inversement du sens interdit d’A.Briand entre Diderot et René Coche.

    A une question d’un participant, le représentant de GPSO a indiqué qu’il est prévu dans un second temps un réaménagement complet de la rue Aristide Briand, quand, de surcroît, les projets ou les chantiers de nouvelles constructions immobilières seront terminés et qui perturbent la vie des riverains, notamment avec la circulation des camions, ou la déviation des circulations piétonnes, car les chantiers occupent les trottoirs,  qui ont fait l’objet de remarques de plusieurs intervenants . Pascal Vertanessian, maire adjoint chargé de l’Urbanisme a précisé, à la suite d’une question que « c’est tout simplement pour une raison de sécurité, afin d’éviter les accidents ! ».

    Julie Messier qui a fait le point sur les travaux en cours de la rue Raymond Marcheron, a indiquée que du côté impair, le réaménagement des trottoirs réalisé avec leur végétalisation en cours, que la prochaine étape concerne ceux côté pair, compris entre la place de l’Insurrection et René Coche. Par la suite, interviendront le revêtement de la chaussée et l’éclairage