Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vanvesauquotidien - Page 22

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    INCENDIE CARREFOUR LEGRIS

    Le fait divers de la semaine à Vanves a été l’incendie dans l’après-midi de mercredi dernier d’un appartement dans cet immeuble qui surplombe le carrefour Albert Legris au dessus du bâtiment de l’ex-agence BNP où s’est installé un cabinet de kinésithérapeutes récemment inauguré. Cet incendie d’un appartement du 101-103 Victor Hugo a été maitrisé par les pompiers, rapidement intervenu, ne faisant aucune victime. Il parait que l’immeuble n’a pas été évacué, mais les photos diffusées sur les réseaux sociaux, montraient qu’une foule était agglutiné autour de ce carrefour et aux alentours, attendant la fin de l’intervention des pompiers. Ce n’est que le deuxiéme incendie sur le Plateau depuis le début de l’année, avec le 3 Février, celui du parking sous un immeuble de la rue J.Jaurés, ou l’incendie d’un appartement si l’on compte celui de la tour au-dessus du centre administratif de Vanves survenu le 28 décembre dernier

    SOUBELET CHEF DEFILE PS POUR LES MUNICIPALES

    A un an des élections, les militants  des Hauts de Seine ont désigné leurs premiers de cordée pour les élections municipales de mars 2026, dans 29 des 36 villes du département. D’après la Fédération PS du 92, il ne s’agit pas encore, à ce stade, des têtes de liste officielles, mais de ceux qui seront chargés de « la stratégie et de la constitution de la liste ». Puisqu’ils ont pour mission de négocier avec les autres partis de gauche pour élaborer leur stratégie et constituer les listes : A Vanves, il s’agit de Cécile Soubelet qui s’était déjà candidate aux deux dernières élections législatives de 2022 et 2024 contre Gabriel Attal qui a déménagé d’Issy les Moulineaux à Vanves ces derniers temps, très présente sur les réseaux sociaux, aux réunions publiques de la ville.  «Pour ces municipales, le PS des Hauts-de-Seine souhaite ardemment la constitution d’un Printemps populaire du 92 pour porter cette démarche de la manière la plus unitaire possible », plaide le parti de la rose, qui espère des « conquêtes électorales pour changer la vie des habitants » a expliqué le PS 92. A Vanves, il s’agira de savoir si les socialistes et les écologistes feront liste commune, ce qui semble jouable, avec les insoumis ou les communistes, ce qui est loin d’être évident. Face à une majorité municipale qui devrait s'élargir avec l'intégration d'élus de Renaissance. 

  • INAUGURATION DE L’ IMMEUBLE DE MATA CAPITAL SUR LE PLATEAU DE VANVES

    Le maire Bernard Gauducheau, les dirigeants de Mata Capital et des élus de Vanves étaient présent pour couper le ruban tricolore, mercredi sur le coup de midi pour inaugurer la restructuration de es 29 000 m2 de bureaux situé entre les rues Louis Vicat et Auguste Comte. «Un grand moment pour notre ville avec l’inauguration du 360 Paris-Vanves, qui incarne parfaitement l’ambition de la ville de Vanves, en matière de rénovation urbaine pour le quartier du Plateau. Ce projet phare, qui s’inscrit dans la requalification de la rue Auguste Comte et du quartier du Plateau, représente une réhabilitation durable, avec une architecture qui répond aux enjeux de performance énergétique et de développement durable» a déclaré le maire

    Construit au début des années 1980, l'immeuble accueillait le siège social d'Orange - depuis déplacé à Issy-les-Moulineaux - et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Mais l'immeuble se faisait vieux, il n'avait pas fait l'objet de travaux de rénovation depuis sa construction. Mata Capital, société de gestion spécialisée dans les investissements immobiliers, avait repéré cet actif en 2019. Construit au début des années 1980, l'immeuble accueillait le siège social d'Orange - depuis déplacé à Issy-les-Moulineaux - et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Mais l'immeuble se faisait vieux, il n'avait pas fait l'objet de travaux de rénovation depuis sa construction. «Malgré tout nous avons tout de suite senti un gros potentiel» expliquait on à Mata Capital. En particulier pour sa localisation."La bordure de périphérique offre une belle visibilité, avec des loyers plus abordables que le centre de Paris, tout en étant proche.  Un quartier est bien desservi par les transports en commun et il le sera encore plus à horizon 2025 : l'immeuble sera alors à deux stations de la ligne 15 du Grand Paris Express, qui permettra de rejoindre la Défense en 20 minutes".

    Un important chantier de réhabilitation a donc a été lancé au cours duquel Mata Capital a repensé les façades pour les doter de baies vitrées toute hauteur, ajouté des balcons et coursives pour amener de la verdure, sans compter le toit terrasse, et créé plusieurs espaces de restauration, ainsi que des commerces, une salle de sport et un atelier de réparation de vélos, le tout avec une circulation repensée et des connexions sur le quartier.  Valeur de présentation pour les futurs locataires : 480 euros HT/m²/an.

    Cette opération redonne une seconde vie à ces bureaux en conservant leur fonction originelle tout en leur ajoutant de nouveaux usages. Mais voilà, ses bureaux arrivent sur un marché  en pleine remise en question. D’où la difficulté que ses investisseurs ont à commercialiser ces plateaux. En tous les cas, les vanvéens auront l’occasion de le découvrir lorsque seront inaugurés la requalification de la rue Auguste Comte

  • LE 16e FESTIVAL ECOLOGIQUE DE VANVES SUR L’ENGAGEMENT ECLOGISTE

    Le 16e festival du film écologique de Vanves  qui est organisé ce week-end  à Panopée, propose d’explorer les différentes échelles de l’engagement écologique pour inciter le spectateur à devenir acteur.

    Le premier documentaire projeté ce soir, « Les 150 » de Roger Luchaire, dresse le portrait d’anciens participants à la Convention Citoyenne pour le Climat qui, après leur prise de conscience écologique puis la déception suscitée par ce nouveau dispositif, se sont engagés individuellement, chacun à leur manière. À travers cette expérience particulière, il interroge la façon dont chacun d’entre nous peut agir en tant qu’individu, au-delà des «petits gestes». Ce film sera suivi d’un débat avec  Mathieu Sanchez, ancien membre de la Convention, et Morgan Meyer, sociologue, qui a étudié le parcours des « bifurqueurs », ces jeunes diplômés de grandes écoles qui décident de renoncer à la carrière promise pour se mettre en accord avec leurs convictions.

    Samedi (à 15H) sera consacrée à l’action collective et à l’activisme, à travers deux films qui montrent comment et pourquoi on change d’échelle : «Des cailloux dans la chaussure» de Mickaël Damperon, raconte la naissance et la victoire politique d’un collectif citoyen qui refuse l’implantation d’une carrière dans un village. « Alliances terrestres» est un document d'Isabelle Haëlvët sur trois ans de lutte contre le projet d’autoroute A69, avec des actions spectaculaires parfois aux limites de la légalité. La projection sera suivi d’un débat avec   Geneviève Azam, économiste et écologiste altermondialiste qui expliquera que «  ce combat tire sa légitimité de la défense du bien commun et porte, bien au-delà de la construction d’une autoroute, sur des choix de société qui engagent notre avenir, et Marie Juliette, activiste de « Dernière rénovation » et « Riposte alimentaire » qui  expliquera quant à elle ce qui l’a amenée à sortir du cadre légal.

    La question de la loi sera au cœur de la troisième journée, dimanche à 17H,  avec « Le Compromis » de Fanny Tondre qui fait vivre le combat acharné de trois eurodéputées pour faire adopter en 2024 la directive sur la responsabilité sociale et environnementale, ou « devoir de vigilance», des entreprises. «Inscrire l’action dans un débat politique au sein d’assemblées représentatives, changer les lois et les faire appliquer, est-il le moyen le plus efficace de faire avancer la cause écologique? » sont des questions auxquels tenteront de répondre Jérémie Suissa, délégué général de « Notre affaire à tous », association qui utilise le droit comme levier de lutte, et Aurélie Boulbin, avocate des « Amis de la terre » pour une action contre le projet de Total en Ouganda, en parlant des atouts et des limites de l’action juridique