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vanvesauquotidien - Page 139

  • LE MYSTERE DE LA CHAMBRE FROIDE DE VANVES

    Des dizaines de maisons abandonnées, de rues, même de quartiers dissimulent des légendes effrayantes et bien tenaces de fantômes ou de malédictions.. En Île-de-France, de nombreux sites ont encore la réputation d’être hantés, des plus célèbres comme les catacombes ou l’Opéra de Paris, aux maisons abandonnées. Tous les passionnés de ces phénomènes connaissent cet espace vide non construit depuis des décennies rue de Biévres et l’histoire de cette « maison qui n’existe plus » évoqué par le poéte et résistant Jacues Yonnet dans « Rue des Maléfices ». Ou cette maison au style néogothique dans le quartier de Pigalle qui serait hantée par l’esprit d’une femme de chambre qui y aurait été assassinée dans l’escalier à coups de tisonnier, au début du XXe siècle. Les propriétaires qui s’y sont succédé auraient été victimes de ses tourments. Enfin, le Manoir Pavlovich, qui se trouve quelque part en Seine-et-Marne, qui aurait été maudite par son ancienne propriétaire

    Vanves n’a pas été épargné par ces phénomènes à écouter le témoignage de Celia. Dans la partie avec ses hauts murs de la rue de la République, il y avait un hôtel qui se dénommait le Bienvenu, voilà plusieurs années, qui a disparu : « Durant une mois d’Août  particulièrement chaud de la fin des années 1990, la petite fille de la grande mère qui tenait cet hôtel, m’a dit qu’il y avait une chambre hantée, au troisiéme étage, porte gauche avec une poignée en porcelaine bleue et blanche, que l’on atteignait par un escalier en bois. Il y faisait un froid polaire en plein été » raconte-t-elle. Et elle est allée voir avec sa copine : « Lorsque je suis entrée,  la fenêtre de la chambre était givrée et il y avait  des véritables pics de glaces qui se formaient, comme des stalatyctes » témoigne-t-elle.

    « Elle me racontait  que les gens qui louaient cette chambre, demandaient très rapidement à en changer ! Comme elle posait beaucoup de problèmes, sa grand mère ne l’a plus louée. Il y avait comme quelque chose qui empêchait d’entrer ou de rester dans cette chambre » poursuit Celia  qui n’en pas moins remarqué par rapport à sa copine :« Elle me disait que lorsqu’il y entrait, elle entendait et elle voyait des choses ». Mais ce n’est pas tout : « Elle provoquait des événements bizarres lorsqu’elle nous rendait visite. Il était impossible d’allumer une bougie qui était tout de suite soufflée. La radio et la TV étaient brouillée ou s'éteignaient… ». Un mystère que n’a jamais percée Celia passionnée par ces histoires de fantômes et sites hantés, parce qu’elle l'a perdue de vue. 

  • L’ACTUALITE DE GPSO A VANVES EN BREF

    En dehors de l’adoption à l’unanimité du PLUi lors de son conseil de territoire le 7 Février dernier, l’actualité à GPSO concerne actuellement la collecte des déchets alimentaires qui continue de se développer secteur par secteur jusqu’en 2025 et la modernisation des infrastructures d’éclairages tant à l’échelle du territoire que dans ses propres locaux  

    COLLECTE DE DECHETS ALIMENTAIRES  

    Depuis un an, GPSO commencé à déployer la collecte des biodéchets dans ses 8 communes en porte-à-porte, quel que soit le type d’habitat, sans avoir recours aux points d’apports volontaires, alors que l’habitat sur GPSO est à 92 % collectif. Dans plusieurs secteurs, les usagers ont reçu un bio seau, un premier rouleau de sacs biodégradables et, surtout, une nouvelle poubelle de couleur marron dans deux secteurs de la ville (autour du lycée Michelet depuis Février 2023, quartier du Plateau jusqu’au carrefour de l'Insurrection) qui sera entièrement couverte en  2025 (carrefour de l’Insurrection jusqu’au Clos Motholon en Novembre prochain). «Au 1er janvier 2024, 28 % des foyers sont desservis et 44 000 bio seaux ont été distribués sur un total de 175 000 foyers » indiquait GPSO qui indiquait que 635 tonnes de déchets alimentaires ont été collectés en 2023 sur son territoire, ce qui représentait 190 tonnes de compost produit. «Pour bien se rendre compte, cela représente près de 10 000 sacs de 20 kg de compost, qui pourraient fertiliser près de 18 terrains de foot. En termes de valorisation énergétique, 635 tonnes d’ordures alimentaires pourraient aussi chauffer 19 maisons de 110 m2 ». Car une fois triés et collectés, ces déchets sont amenés en usine de méthanisation et centre de compostage. Là, ils sont transformés en biocarburant, électricité, chaleur, engrais naturel et compost. 

    UN ÉCLAIRAGE PLUS EFFICIENT ET DURABLE

    Lors de la réunion publique sur le bilan de mi-mandat, le maire avait indiqué que grâce à GPSO, il avait pu remettre à niveau la ville en citant notamment l’éclairage à un moment où l’interco a entrepris un  plan de rénovation d’envergure de ses infrastructures d’éclairage. Des points lumineux équipés de sources LED, moins énergivores, produisant une lumière blanche plus agréable et aux optiques plus performantes que les lampes traditionnelles sont progressivement déployés, permettant de diminuer la puissance électrique installée. Ce déploiement s’accompagne de la mise en place systématique de la télégestion de l’éclairage, limitant ainsi les déplacements des techniciens. 147 Points lumineux ont été rénovés en 2023 (représentant 318 000 €), 67 le seront en 2024, en permettant parait il une économie de puissance de l’ordre de 75%. En parallèle GPSO a lancé l’étude d’un Schéma de cohérence d’aménagement lumière (SCAL) sur l’ensemble de son territoire de GPSO. L’objectif est de définir les prescriptions techniques qui permettront d’optimiser le fonctionnement de l’éclairage, en identifiant les besoins propres à chaque ville tout en assurant une cohérence à l’échelle du territoire.  Le SCAL deviendra un support d’aide à la décision pour tous les aménagements réalisés par GPSO afin d’éclairer au bon moment et au bon endroit, en alliant la performance énergétique, la préservation de la biodiversité et la qualité de l’ambiance lumineuse. Enfin, des mesures ont été prises depuis octobre 2022 afin de diminuer les consommations d’énergie liées à l’éclairage public. Si pour certaines villes des extinctions sont mises en œuvre entre 1h et 5h du matin  comme à Chaville, Meudon, pour d’autres, l’intensité lumineuse est diminuée comme  à Vanves Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Marnes-la-Coquette, Sèvres lorsque cela est possible techniquement

  • REUNON PUBLIQUE SUR LE BILAN ET LES PERSPECTIVES D’UN MI-MANDAT A VANVES (Suite et fin)

    La réunion publique plénière annuelle qui s’est déroulé jeudi dernier à la Palestre, avait pour théme le bilan à mi-mandat mais aussi ce qui va se passer dans les 2 à 3 années à venir. Elle a permis un échange de questions-réponses fructueux avec comme animateur Ury Israël adjoint au maire au projet municipal qui a donné la parole au maire et à ces collègues

    Le Fun Park : « On nous a fait beaucoup de procès d’intention depuis le début. Mais il est bien en cours de réalisation » a répondu Pascal Vertanessian maire adjoint à l’Urbanisme. « Il était important que cette porte Brancion soit réaménagé pour permettre aux piétons de pouvoir la traverser en toute sécurité, avec cette résidence étudiante, toute proche d’une faculté » ajoutait il

    Le terrain Larmeroux où se trouve l’école temporaire du Parc : A la question de son devenir lorsque des travaux d’extension- rénovation seront terminés, le maire a précisé que « rien n’est décidé. Tout dépendra de la conjoncture. On n’a pas de projet définitif. On mettra sur le marché, un bien qui appartient à la ville. Ce qui permetrra de désendetter la commune »

    Les nuisances du  pavillon de la Tourelle : « C’est un souci ! » a reconnu le maire  en expliquant que la ville n’est pas intervenu dans le choix du nouveau gérant qui venait de Neuilly où son établissement  «les pieds dans l’Eau » était installée sur l’Ile(de la Jatte) où il n’était entouré par aucune habitation. « on se bat pour limiter les nuisances sonores. Cela m’ennuie beaucoup. Si je pouvais les faire partir, je le ferai » n’a pas caché le maire en reconnaissant que « c’est un lieu apprécié des jeunes. C’est pour cela qu’on essaie d’être conciliant »

    GPSO : « Grâce à note intégration dans GPSO, nous avons réaménagé la ville, tous ses espaces publics, refait l’assainissement, puis entièrement l’éclairage public…afin de remettre à niveau Vanves depuis 20 ans » a répondu Bernard Gauducheau à une question sur ce que faisait la ville pour lutter contre le réchauffement climatique à travers le PLUi qui a été voté par le Conseil du Territoire GPSO le 7 Février dernier.   

    Lutte contre le réchauffement climatique : « On va végétaliser les espaces publics, mais la configuration de la ville fait que ses espaces et ses rues sont étroites » a fait remarquer Pascal Vertanessian en citant la rue Raymond Marcheron où 500 m2 d’espaces verts seront aménagés, le square du Général Gaulle où est prévu une forêt urbaine (comme à Paris)… « Le verdissement de la ville est un enjeu face au réchauffement climatique. Mais ce n’est pas uniquement une affaire de la ville, mais une action citoyenne qui concerne tous les vanvéens  qui ont un rôle à jouer pour verdir les espaces privés » a-t-il expliqué en rappelant que la ville participe au financement de l’achat d’arbres par les copropriétés. «Il y a des enclos privés qui pourraient être réaménagés et replantés » a ajouté le maire en donnant l’exemple de ce petit espace derrière l’immeuble de la rue Ernest Laval où se trouve le restaurant asiatique

    Pistes cyclables : « Des pistes cyclables ont été aménagées depuis la crise sanitaire du Covid-19 » et sont devenus pérennes depuis. « Ce projet communal s’inscrit dans un plan vélo territorial. On fait partie des villes les plus avancées dans ce domaine, car elles sont reliées à celles des villes voisines » a indiqué Pascal Vertanessian en ajoutant la réparation vélo, la formation au vélo dans les écoles, et l’aménagement d’un local au 19 avenue Verdun pour essayer d’y installer atelier vélo

    Commerces : « Nous menons une politique de préemption pour justement diversifier les commerce comme la librairie le Cheval Vapeur sur le Plateau, le barbier de la place de la place de Lattre de Tassigny, le primeur du quartier de lagare »  a indiqué Christiane Vlavianos adjointe au commerce, relayé par le maire qui a précisé que la mairie cherche à les rendre pérenne en leur sous louant le local