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vanvesauquotidien - Page 1009

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    LES RIVERAINS DU CHANTIER DU GPE VONT SOUFFRIR PENDANT QUINZE JOURS

    À compter d’aujourd’hui, l’activité sur le chantier de la future gare Fort d'Issy - Vanves - Clamart sera  permanente pendant deux semaines, à cause d’un calendrier très stricte  conditionné par le ripage de la dalle prévue le week-end du 15 Août 2017. « Pour respecter le calendrier, les entreprises sont contraintes d’intensifier leurs interventions sur certaines périodes. Début novembre, le passage provisoire en béton sur la place de la gare sera démoli. Cette opération sera effectuée de nuit, entre 1h et 5h30 » explique t-on à la SGP (Société du Grand Paris). Dans le même temps, la ville de Vanves organise Lundi 7 Novembre à 19H30 à l’hôtel de Ville, une conférence-débat autour du Grand Paris Express sur « Quelle gare pour quelle ville demain ? » qui est un des thèmes sur lesquels travaille le Comité Stratégique de la SGP présidé par Bernard Gauducheau depuis presque un an. « Comment s'adapte le nouveau projet de gare à vos besoins, comment s'intègre-il à notre Ville? Quels impacts sur votre quotidien ? » sont des questions qui seront débattus ce soir là. Le maire a mobilisé ses troupes pour distribuer les tracts annonçant cette réunion ce soir à la sortie du métro.

    VANVES TRES IMPLIQUE DANS LA FONDATION POUR UNE ECOLOGIE POLITIQUE

    La Fondation pour l’Ecologie Politique a une nouvelle présidente depuis 3 semaines : Lucile Schmid, conseillère municipale qui succède ainsi à Catherine Larrére. Ce passsage de relais correspond à une volonté de cette fondation « d’être plus présente dans le débat public durant cette période électorale, de rendre les questions écologiques plus visibles, d’assumer des controverses notamment sur l’application de la loi sur la transition énergétique par exemple, de prendre la dimension européenne de ses questions environnementales et énergétiques » indique t-elle.  Cette Fondation a commencé à sortir des notes, notamment sur l’agriculture urbaine. Et elle va remettre bientôt le 3éme prix du livre écologique dont le président du jury est un autre vanvéen, Marc Lipinski, co-président du comité scientifique de cette fondation. Enfin, Lucile Schmid a signé un nouveau livre : « La France résiste telle à l’écologie ? » (Edt aux Bords de l’Eau). Elle revient sur le fait que l’écologie est une nouvelle culture en se posant des questions : comment peut elle être intégré, bouleversant le modèle français ? Elle préconise dans ce livre de ne pas se focaliser sur les élections, mais sur le lobbysme écologique.      

    FOOTBALL : DEFAITE DU STADE DE VANVES A AUBERVILIERS  (1 à 0)

    « Championnat difficile avec des réserves de championnat de Fance, ce qui fausse le classement comme dimanche ou l'équipe première jouait a Bourges Dimanche dernier, les joueurs n'ayant pas participé à cette rencontre ayant le droit d'être alignés dans l'équipe réserve. Nous concédons un but avant la mi-temps, en seconde période comme souvent en ce début de championnat, nous prenons le jeu a notre compte sans pour autant conclure. Aubervilliers consolide sa place de leader » témoigne Jean Claide Vignal président de la secton Football. Dimanche à Vanves à 15H,  match contre la réserve du Racing. Rencontre déjà capitale pour le maintien ! Espérons que cette rencontre se déroulera sur le terrain d’honneur pour éviter les incidents qui ont marqué le dernier match qui s’est déroulé au PMS A.Roche

  • CELEBRATION DE LA TOUSSAINT A VANVES

    VANVES AU QUOTIDIEN 

    VOUS SOUHAITE

    UNE BONNE FETE DE

    DE LA TOUSSAINT

    Et vous donne

    rendez-vous

     Mercredi matin 

  • VANVES ET LE GRAND PARIS EXPRESS : UN CHANTIER TERRAIN D’EXPERIMENTATION POUR LES DEBLAIS

    Il a été beaucoup questions des déblais du chantier du Grand Paris Express (GPE) dans les médias  depuis plus d’une semaine tout simplemernt parce qu’un appel à projet a été lancé par la SGP (Société du Grand Paris) pour trouver des solutions innovantes pour les traiter dans le cadre d’une économie circulaire.

    L’enjeu est important car cet immense chantier va générer 43 millions de tonnes de déblais dont 70% peuvent être revalorisés. L’un de ses objectifs est de connaître dés leur excavantion, la nature de ces déblais (physique etchimique), pour pouvoir les diriger vers le mode de retraitement, de recyclage, de valorisation le plus adapté (transformation des déblais en matériaux pour la fabrication de terre crue, ciment, plâtre, sable pour béton, brique…), le plus rapidement possible et le plus économique aussi, dans le plus grande ransparence. Ce qui n’est pas encore tout à fait le cas jusqu’à présent. L’intérêt est, par exemple, d’éviter  leur transport (par camion, fret ou fluvial) s’ils peuvent être utilisé à proximité, pour aménager un parc urbain par exemple, comme ce sera le cas sur les communes de Chelles ou de Montfermeil, grâce à un million de tonnes de déblais. Mais voilà, ces sous sols sont variès, les tunneliers mélangent les matériaux, dont certains ne peuvent être considérés comme déchets inertes, compte tenu de la présence de souffre par exemple. Ainsi ces terres sulfatées inutilisables seront dirgées dans des carrières de gypse

    Vanves est concerrné au même titre qu’Issy les Moulineaux et Clamart avec le chantier de sa gare du Grand Paris Express  où est expérimenté un outil de traçabilité mis au point par le groupement Artémis : Il permet de connaître avec précision les origines, la qualité et les propriétés de tous les types de déblais, et ainsi de faciliter les opérations de valorisation. Avec cette plateforme Internet, les futurs utilisateurs qui ont été formés ses derniers mois,  pourront dés ce mois de Novembre, saisir les bordereaux de suivi, afin de connaître en temps réel,  origines et propriétés des déblais qui seront excavés pour permettre le coulage des parois moulées de la future gare. Ainsi ce dispositif repose sur la pesée des terres et l’informatisation  permet d’assurer le suivi des terres échangées entre les différents sites et de veiller au respect de la réglementation. Il permet aussi de communiquer en toute transparence les origines, la qualité et les propriétés des déblais. Et les acteurs de la revalorisation peuvent ainsi envisager des solutions adaptées aux caractéristiques de chaque type de déblais.

    La Région avec l’ADEME suit de très près cet aspect du chantier, car il ne faut pas oublier qu’elle est chef de file en matière de gestion des déchets. « Nous allons essuyer les plâtres sur un immense chantier dans une zone dense. On va être confronté à la raréfaction des matériaux et des matières premières. Et on a là une chance  extraordinaire d’imaginer de nouvelles solutions que l’on pourra déployer ailleurs » constate Chantal Jouanno (UDI) vice Président Environnement. Et tout cela commence par ce chantier aux portes de Vanves qui sert finalement d’expérimentation sur de nombreux points