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vincent hauttecoeur curé de vanves - Page 3

  • INTERVIEW DU CURE DE VANVES, VINCENT HAUTTECOEUR : II – LA GENERATION JEAN PAUL II

     

    Le Blog Vanves au Quotidien a longuement rencontré l’abbé Vincent Hauttecoeur, curé de Vanves, à la veille cette période de fêtes de Noêl, pour parler de Noël, de son engagement dans la foi, et de son ministère à Vanves. Il est en quelque sorte l’invité du blog tout au long de ce week-end qui précède Noël à travers cette interview réalisée bien avant la disparition du pére Thirion qui a beaucoup marqué les vanvéens. Un pére pour Vanves qui a finalement assuré un trait d’union entre les anciens et les nouveaux prêtres comme le disait un paroissien, entre l’ancienne et la nouvelle génération, celle de Jean Paul II et des JMJ

    Vanves Au Quotidien - Beaucoup de vanvéens ont été étonné par la jeunesse des deux curés qui se sont succédé ces dernières années, avec Yves Morel et vous, et se demandent qu’est-ce qui a bien pu les amener à s’engager (si jeune) dans l’Eglise ?

    Vincent Hauutecoeur : « On peut dire que, depuis deux générations de prêtres et de curés sur Vanves, la paroisse a eu une grâce d’avoir deux jeunes curés pour lesquels c’était le premier poste de curé. Après vicaire, on passe curé, et on est tout juste dans notre premier poste. Il faut peut être se dire  que c’est une grâce ou un inconvénient d’être jeune. On ne choisit pas nos postes, car c’est la mission de l’Evêque qui nous est confié et on la reçoit. Mais notre vocation était aussi d’être curé, car c’est sain et serein de désirer être curé, c'est-à-dire être responsable d’une communauté, et de pouvoir se dire, que ma vie est complétement donné à la suite du Christ, à la suite de l’ordination. C’est aussi la joie de partager avec les paroissiens, de donner aux autres. Mon maître mot est de dire « soyez dans la joie »

    VAQ - Le pape François ne dit il pas d’ailleurs, « ne soyez pas des prêtres tristes  ! »

    V.H. : « Nous essayons, car notre ministère n’est pas tous les jours évident. Mais nous essayons d’être joyeux car cette joie, nous la recevons du Christ. Et nous essayons d’être à son image. Qu’est-ce qui fait que je suis prêtre aujourd’hui ? C’est surtout par rapport à des images de prêtres. J’ai eu des curés qui étaient un peu des aventuriers de la foi, qui avaient des tripes, qui aimaient donnés leur vie pour le Christ. Ils ont été,  pour moi, des figures, car je voulais être comme eux, être prêtre, engagé dans la vie quotidienne. C’est le scoutisme qui m’a porté, en ayant été scout à Saint Benoit à Issy les Moulineaux. Ce qui a été un grand élément marquant, porteur, à la fois dans la découverte de l’Eglise, de mon engagement pour l’Eglise. Mais aussi le sens du service, donné du temps pour les autres, gratuitement, sans attendre de retour, sans compter le temps. C’est justement ce que j’ai appris et que l’on vit au quotidien en tant que prêtre.

    VAQ - N’êtes vous pas quelque part un représentant de la génération  Jean Paul II ? 

    V.H. : « Et la génération Jean Paul II,  on ne l’éteint pas ! Ce pape a tellement marqué et nous a tellement marqué. Ma confirmation d’être prêtre et de me mettre en route pour vraiment discerner correctement, a été aux JMJ de Częstochowa en en Pologne en 1991. Cela a été vraiment marquant de se dire : « arrêtons de papillonner », même si j’avais un peu la vocation depuis l’âge de 10 ans, « on prend les choses en main, et on y va ! » C’est pour cela que je lui dois beaucoup de choses, au bienheureux Jean Paul II et prochainement Saint Jean Paul II. Et je serais le 27 Avril 2014 place Saint Pierre pour la canonisation de Jean Paul II parce que c’est aussi l’occasion de lui rendre grâce pour tout ce qu’il a pu m’apporter et qui a été un signe pour moi. Et pour l’avoir rencontrer deux fois en privé, de lui avoir serrer la main, vénérer l’anneau, ce qui est une chose exceptionnelle.

    VAQ - Quel est votre  sentiment sur le pape François qui a envie de faire bouger les choses … ?

    V.H. : « Le pape est toujours dans la même tradition.  Il ne faut pas penser qu’un jour, un pape va changer la tradition. Mais il incarne sa responsabilité de pape avec son  carisme. Comme tout curé, il ne faut jamais avoir un curé qui est identique aux précédents, parce que chacun incarne sa responsabilité en fonction de ses charismes. Et le pape François a aussi ses charismes. Il est un pasteur. Il a été curé de paroisse. Il a été archevêque, cardinal dans un quartier, et pas forcément le plus facile. Il descendait dans la rue rencontrer les gens d’une manière très simple. Sa manière d’être comme cardinal, Evêque et prêtre, c’est à l’image de ce qu’il est aujourd’hui, en tant que Pape. Tout son ministére qui l’a façonné auprès des plus pauvres, comme des plus riche, de son désir d’enseignement, de pastorale, d’engagement,  nous le retrouvons aujourd’hui dans la manière dont il épouse un peu sa mission reçu par les cardinaux et par Dieu, d’être pape et chef de l’église catholique. Il est assez intéressant dans sa manière d’être. Il n’entre pas dans la conformité ordinaire. Il l’épouse d’une manière différente.

    VAQ – … Et ses prédécesseurs ?

    V.H. : « J’étais convaincu, dés le départ, que Dieu nous donne le pape dont on a besoin dans les temps des sociétés d’aujourd’hui. On a eu dans ces derniers trois papes, des papes exceptionnels, Jean Paul II, Benoît XVI, François 1er. Chacun a incarné, dans le temps qu’il fallait, des choses particulières. Et comme je l’avais fait, dans un éditorial au moment de son élection, j’ai dit que le pape Jean Paul II aura incarné la dimension de l’espérance, surtout par rapport au monde communiste et de l’Est de l’Europe qui perdait l’espérance lorsque l’Occident était un peu développé. Avec ce « n’ayez pas peur », il a donné de l’espérance à ceux qui en perdaient. Benoit XVI, par sa maniére d’enseigner, a été vraiment au cœur de la foi, essayant de structurer, de redonner un catéchisme, fêter l’anniversaire du Concile, lancer l’année de la Foi. Il a travaillé en profondeur dans ses enseignements sur la dimension de la foi de manière important. Le pape François apporte une dimension de relation avec les autres, que tout peut être fait si on a la charité,  l’amour pour les autres. Il incarne toute cette dimension de la charité, de l’attention aux autres que l’on perut avoir. Chaque pape apporte une vision différente. Et là, on a à la fois, l’espérance et la charité, les 3 vertus théologales qui sont incarnés à travers les 3 derniers pares et qui nous donneront un beau passage et un bel avenir pour la suite. Et le pére François a encore des choses à nous dire !

    A Suivre…

  • WEEK-END TRES TERROIR A VANVES ENTRE JOIE ET CONVIVIALITE, NOSTALGIE ET TRISTESSE MAIS PLEIN D’ESPOIR !

    Si une couleur devait dominer ce week-end du terroir vanvéen, ce fut le gris à cause de la disparition du pére Thirion qui a attristé quelque peu les journées d’Amitiés de St Remy. Le pére Vincent Hauttecoeur, curé de Vanves, a passé une partie de sa journée de Vendredi à rencontrer sa famille et à préparer la veillée de prière de mardi prochain  et la messe du lendemain. Il a signé un éditorial dans le «Sel et Lumiére » de ce week-end, titré « Merci ! » : « Le pére Thirion était, pour moi, jeune prêtre et curé, un exemple de vie toute donnée aux autres, toute donnée dans la prière et toute donnée dans son ministère » écrit il en concluant : « Je n’ai qu’un mot et cela n’est rien au regard de tout de qu’il a pu nous donner et nous apprendre : Pére Thirion, que Dieu vous accueille dans sa maison et vous garde en Paix ».  

    Le village des terroirs a été inauguré sous la pluie avec beaucoup de vanvéens malgré tout pour déguster quelques produits offerts par les exposants. Il faut rappeler que Nabiha Attia, conseillère municipale, décédée tout récemment,  est à l’origine de ce village des terroirs qu’elle a lancée avec le soutien du maire lorsqu’elle était chargée du commerce et de l’artisanat.   A l’époque, peu de personne y croyait, alors qu’il était organisé pour la première fois voilà 9 ans, sur l’ancienne place de la République. C’est finalement à partir de son réaménagement que ce village des terroirs a pris son envol. Un village des terroirs atypique, comme l’a reconnu l’un des artisans en confiant au Maire : « c’est le seul où nous sommes accueilli par les organisateurs, où ils nous donnent un coup de main pour décharger le Vendredi ». C’est finalement la convivialité dans son organisation et son déroulement qui les fait revenir à Vanves et y être fidéle.

    Pendant ce temps là, les écologistes lançaient leur campagne dans le square du métro en distribuant du vin chaud et un bol de soupe : Autour de Lucile Schmid, Claire Papy, Pierre Toulouse, Marc Lipinski, ils invitaient les vanvéens à inscrire sur une grande feuille de papier posé sur une table,  leurs propositions, leurs souhaits pour permettre la transition écologique et sociale de Vanves. « C’est la 3éme fois que nous présentons une liste pour incarner une autre vision du monde » expliquait Marc Lipinski.  Le lendemain, ils étaient sur la place de l’Insurrection devant la poste alors que les socialistes étaient sur la place du VAL (De Lattre de Tassigny) jusqu’à midi, où ils ont rejoint le pot offert par le Syndicat d’Initiative sous un soleil bienvenue. Mais point d’élus Verts là où il fallait se trouver, comme les élus UMP et UDI en grand nombre. Ils se sont d’ailleurs retrouvés l’après midi pour un goûter  avec la remise des prix pour les balcons illuminés ( 6 en pavillons, 11 en immeubles et 2 vitrines de commerçants). Au carrefour Albert Legris lorsque vous arrivez de l’avenue Victor Hugo, levez la tête au feu rouge, il y a un superbe balcon illuminé dans l’immeuble situé derrière l’agence bancaire (Société Générale). Enfin, le pére Noël de Vanves a reçu 90 lettres selon les responsables du Syndicat d’Initiative qui ont été récompensé.

    Juste avant cette remise des prix, le maire avec quelques élus, a participé au 1er anniversaire et à l’inauguration du CAP qui a été ouvert dans l’ancienne boulangerie de la rue Vieille forge. Une initiative née du Groupe d’Entraide Mutuel (GEM) créé lors de l’ouverture par l’association Simon de Cyréne de l’appartement partagé de l’avenue du Général de Gaulle.  « Nous avons commencé dans les locaux de Simon de Cyréne avant de s’installer là ». Et le CAP vit grâce à ses adhérents qui « apportent leur aide et leur allégresse », venant de la résidence Simon de Cyréne comme de l’extérieur, pour participer à de multiples activités, des jeux de société à des ateliers cuisine jusqu’à des visites et excursions où l’handicap n’est en aucune sorte une barrière. Bernard Gauduchean, Françoise Saimpert, Cyril Le Goff ont coupé le gâteau d’anniversaire avec Laurent de Cherisey après les discours et la projection d’un petit film sur le CAP : « A Vanves, on aime les références maritimes. On a le PHARE, l’ESCAL, et le CAP. C’est un point d’appui, d’ancrage pour construire et développer le « vivre ensemble » qui est une caractéristique de notre ville » a-t-il expliqué. « A Simon de Cyréne, on sait que la vie est fragile. On ne met pas de masques. On donne la possibilité d’être nous même. ON fait grand à Simon de Cyréne, car on n’a pas peur de faire grand » a ajouté Laurent de Cherisey. Le Blog de Vanves aura l’occasion de revenir ce CAP en poussant, comme ils invitent les vanvéens à le faire, la porte du CAP pour passer un moment avec eux…très enrichissant 

    Cette convivialité se sentait aussi aux journées d’Amitiés de Saint Remy où nos élus se sont rendus en fin d’après midi  et revenus le lendemain Dimanche, pour acheter le « Miel du curé » ou déguster des huîtres, et prendre un petit verre de kir. Certains sont entrés dans l’église pour admirer le nouvel orgue qui a été installé sur la tribune durant la semaine. Pendant la messe dominicale, Vincent Hauttecoeur a axé son sermon sur la joie, théme ou illustration  de ce Noël, quelque peu ternie par la disparition du pére Thirion qui était au centre de toutes les conversations, mais qui n’aurait pas voulu que l’on soit triste, car comme en témoigne notre curé « il prenait du temps, chaque jour à l’oratoire de St Remy, pour cette rencontre avec Dieu ; ce qui le nourrissait et le comblait de joie. Il rayonnait de cette joie de Dieu ». Une paroissienne très proche de lui, et qui l’a vu Samedi sur son lit de mort, parlait du visage du pére Thirion, rajeuni, paisible, serein, en paix    

  • LUCIE ET FRANCOIS-XAVIER CHOUTET NOUVEAU FOYER D’ACCEUIL A LA PAROISSE SAINT FRANCOIS DE VANVES : « Nous essayons de faire vivre la fraternité qui ne se décrète pas »

    Lucie et François-Xavier Choutet nouveau foyer d’accueil à Saint François, étaient présent hier soir à l’envoi en Mission de tous les nouveaux laics en mission écléssiale – une centaine dans le diocése des Hauts de Seine -  dont ils font partie, célébré dans la cathédrale Sainte Geneviéve restaurée à Nanterre  par Mgr Daucourt. Ils font partie des 20 à 30 foyers d’accueil présents dans les Hauts de Seine. François-Xavier travaille au siége de la Croix Rouge et s’occupe du développement et de la création de nouveaux établissements sociaux et médico-sociaux (maisons de retraites, centres d’hébergements, créches, écoles d’infirmières) sachant qu’il en existe 550 en France. Lucie est enseignante à mi-temps dans une petite école privée du XIVéme arrondissement « Charles de Foucault » mais elle prend une année sabbatique pour s’occuper de l’arrivée du bébé : « On va passer de 3 à 4 enfants et avec la mission qui démarre, l’année sera complète » explique t-elle en ajoutant : « j’ai décidé de me consacrer à mes enfants et à faire connaissance ». Ce foyer organise à 19H un pot d’accueil convivial à la paroisse pour leur arrivée, et faire connaissance avec ceux qui ne les ont pas encore rencontrés. Il est le sixiéme à Saint François depuis 1985/86 pour remplir une mission de 3 à 4 ans.

     

    Vanves Au Quotidien- Qu’est-ce que c’est un foyer d’accueil ?

    François Xavier et Lucie Choutet : « C’est un couple qui habite là, dans l’ancien presbytère, au service de l’annonce de l’évangile, avec un périmétre de mission très large que nous essayons de vivre en fonction du charisme de chaque foyer d’accueil. C’est cela qui est passionnant dans une mission, car chacun y apporte sa pâte. Sachant qu’il y a un cadre qui est très léger. A nous de remplir ce cadre, sous l’autorité du père curé Vincent Hauttecoeur, parce que c’est une mission d’accueil, de services et de convivialité.  

     

    VAQ - Ni gardien, ni concierge, ni corvéable à merci ? 

    Non ! Dans ce cas là, on dirait « hôte de maison » pour couvrir les tâches un peu ingrates. Sachant que d’autres peuvent parler de « familles d’accueil »  - ce qui existe - car certains pensaient que l’on accueillait des enfants placés, pour une ou plusieurs années. Généralement ce foyer d’accueil est une famille nombreuse. Peu de personnes, hors du diocèse des Hauts de Seine et assez proches de la vie paroissiale, connaissent une telle mission.  

     

    VAQ - N’avez-vous pas pour mission aussi de rassembler toutes ces grandes et jeunes familles de la paroisse et du quartier ?

    Il parait que Vanves est de plus en plus investi par les familles avec de jeunes enfants. C’est  pour cela que l’on propose cette mission de foyer d’accueil à des familles avec de jeunes enfants, parce qu’elles montrent un visage vivant de l’église. On fait venir les familles qui parfois désertent l’église durant cette période où les enfants sont petits, font du bruit. Effectivement, c’est un moyen de les faire revenir dans les paroisses et de les rajeunir. Et le contact se fait très facilement avec les enfants, et là pas seulement à la sortie des écoles

     

    VAQ - Quelles figures peut prendre votre mission ?

    Nous essayons de faire vivre la fraternité qui ne se décrète pas ainsi. C’est de la disponibilité, de la convivialité, une présence, une ouverture à l’autre, à l’ensemble de la vie et des habitants du plateau, tous ceux que l’on croise dans la rue, dans le jardin qui sont pratiquants  en leur proposant des choses, mais aussi qui ne viennent pas souvent ou sont complètement extérieurs à l’église, en entrant dans les conversations, en expliquant ce que l’on fait. Par le biais par les enfants, c’est plus simple. Nous avons la chance d’avoir  des paroisses  très dynamiques à Vanves, avec déjà beaucoup de groupes paroissiaux, beaucoup de projets paroissiaux. On est là aussi en soutien de ces groupes et ses initiatives poussés par le pére Hauttecoeur

     

    VAQ - Et pourquoi avoir choisi cette paroisse ?

    Nous sommes vanvéens depuis 3 ans, ville que nous apprécions beaucoup. C’est le hasard du logement qui nous a amené à Vanves,  un besoin de s’agrandir en passant le Bd Périphérique puisque nous étions dans le XVéme arrondissement. Et la proximité de nos métiers à l’un et à l’autre qui faisait que Vanves nous convenait tout à fait. Le côté « petite ville » nous a plu

     

    VAQ- Qu’est-ce qui vous plait justement dans cette commune ?

    Nous avons tous les avantages de Paris sans les inconvénients notamment grâce aux transports en commun. Quand on traverse le Périph, c’est vraiment plus calme, plus adapté aux enfants, avec des espaces verts. Nous avons trouvé un accueil que nous n’avons jamais eu à Paris. Pourtant nous étions dans un quartier de Paris où il y avait beaucoup de familles, d’enfants et de vie. Ici, l’accueil et les rencontres se sont effectués plus rapidement. En 3 à 4 mois, je connaissais beaucoup de personnes, que nous avons trouvé attentif à notre arrivée, et notamment de la part du foyer d’accueil qui nous a précédé, la famille Neouze, et par l’école. Ce qui était beaucoup plus difficile dans le XVéme arrondissement, avec des nounous, peu de personnes disponibles, beaucoup de gens « speed ». Les habitants de Vanves prennent plus le temps de vivre. Presque un village, où nous vivons beaucoup au rythme des enfants, avec certains endroits très prisés, comme le parc F.Pic et le square Jarrousse, les rues pavillonnaires …

     

    VAQ - Comment allez-vous arriver à concilier ces trois vies professionnelle, de famille et de foyer d’accueil ?

    C’est le challenge, et ce sera sûrement un équilibre un peu instable. C’est un peu un chemin de crête. Et on avance en ajustant au fur et à mesure, en prenant ses marques. Et nous aurons le bébé qui va arriver. Il ne faut pas tout planifier trop à l’avance

     

    VAQ - Comment avez-vous été accueilli par les paroissiens du Plateau

    Très très bien accueilli. Nous avions aussi la chance d’être déjà paroissien. Nous voulons nous inscrire dans la continuité de toutes les actions qui sont déjà entreprises et nombreuses. Nous voulons être à l’écoute de toutes les idées et les suggestions des paroissiens.