Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale sera à Vanves cet après-midi à 16H30 pour l’arbre de Noël de l’association Simon de Cyrène. A cette occasion, la ministre visitera trois « appartements partagés » de l’association. « Reprenant le concept des maisons relais, ces appartements partagés proposent un lieu de vie familiale et un cadre sécurisé où les personnes handicapées, les professionnels et les bénévoles qui les accompagnent, peuvent vivre ensemble. Ces projets s’inscrivent d’ailleurs dans les mesures préconisées par la Conférence Nationale du Handicap de juin 2011 ». A l’issue de ce déplacement, la ministre tiendra un point presse informel à 17h40.
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LA MINISTRE BACHELOT A VANVES POUR LE NOEL DE L’ASSOCIATION SIMON DE CYRENE
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AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : LES TARIFS DES PARKINGS SEMENT LA ZIZANIE …EN VILLE !
A l’occasion de la délibération sur le marché, Mercredi dernier, la question des nouvelles modalités de stationnement est revenue sur le tapis.
« Il y a eu des avis assez évolutifs de la part des commerçants » selon Fabian Estellano se référant « aux critiques sur le coût élevé au début, puis la reconnaissance d’un meilleur service ». Par contre, il y a vraiment un problème de tarification vis-à-vis des clients du marché avec la gratuité qui est passée de 1H à 30 minutes, alors qu’elle est de 1H30 au parking du marché de Malakoff ». Alain Toubiana, conseiller municipal délégué au commerce était ravi de voir que « l’avis des commerçants d’abord mitigé a évoluée vers une certaine satisfaction ». Tout en faisant remarquer que « la première demi-heure payante est à 20 centimes d’euros, ce qui n’est pas insurmontable. Mais voilà, dans l’esprit des clients, ils veulent la gratuité ».
Bernard Gauducheau a expliqué que « ce systéme de demi-heure est plus intéressant, contrairement à d’autres parkings, où lorsque vous dépassez l’heure, vous payez la suivante quel que soit le temps dépassé. Avec les tranches d’une demi-heure, la première est gratuite, le saconde à 20 c, la troisiéme à 40 c, la quatriéme à 60 c. Ce qui est tout de même plus intéressant ». Et de rappeler que la ville a beaucoup investi dans Cabourg (1,7 M€ sur le parking). « Vous savez combien les commerçants sont attentifs à ce que fait la ville pour leur marché » réagit Fabian Estellano (PS). Jean Cyril Le Goff (PS) a posé la question de la compétence de l’interco (GPSO) et s’étonne que les tarifs n’aient pas été voté en conseil communautaire : «Je m’étonne qu’on délibére au Conseil Municipal » - « Mais on ne délibére pas sur les tarifs mais sur la concession » a fait remarquer le maire qui a rappelé l’historique du stationnement des commerçants du marché :
Au début, c’était l’anarchie avec des commerçants qui garaient leurs camions où ils pouvaient, en double file le long de la rue A .Fratacci et rue Sadi Carnot, et bien évidemment dans le parking du marché lorsqu’ils le pouvaient, empêchant leurs clients de trouver une place en venant faire leurs course. La ville a installé un jeu de quilles rue Sadi Carnot pour dégager des places dans ce parking – qui seront enlevées à l’occasion des travaux de réaménagement de cette rue en cours actuellement - puis maintenant ce parkings couverts où 45 commerçants ont trouvé place. Il faut maintenant que chacun y trouve sa place en fonction de la hauteur ou de la longueur des camions.
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LE MUR ANBTI BRUIT FERRE DE VANVES RELANCE PAR LA REGION
Enfin, une éclaircie dans la longue opération de lutte contre les nuisances de la voie ferrée Paris Montparnasse, avec le coup d’accélérateur donné par le conseil Régional Vendredi matin dans sa politique en faveur de la résorption des nuisances sonores provoqués par les voies ferrées et la route.
40 M€ seront investis pour finaliser les dernières opérations identifiées au programme 2001 pour lutter contre les points noirs ferrioviaires, notamment à Vanves-Malakoff (Transilien) avec 4 autres opérations. Elles font partie du coup d’accélérateur que la Région a donné dans sa lutte contre les nuisances sonores avec un engagement de 290 M€ sur les 10 prochaines années, soit pour le ferré un effort financier multipié par 4 par rapport à la période 2000/10 jusqu’en 2025, et 25% de plus pour le routier avec la résorption des 10 principaux points noirs. D’ici 2020, la Région lancera de nouvelles études de chantiers expérimentaux et à définir, mais elle demandera à la RATP et à la SNCF de lancer un programme de recherche sur de futurs matériels roulants plus silencieux.
C’est une bonne nouvelle pour les vanvéens concernées au premier chef qui ne cessaient d’interroger le maire lors des réunions de quartier pour savoir où en était le mur anti bruit, comme ce fut le cas en Juin dernier : « On a réussit à faire prendre en compte ce dossier. Mais on se heurte à RFF qui fait traîner le dossier à cause d’une technostructure qui considére que notre affaire n’est pas importante. Nous avons financé les études qui permettent de déterminer s’il faut mettre là le mur anti bruit et dans un autre endroit, des doubles-vitrages. Mais encore faut il maintenant que les agents de RFF rendent visite aux riverains sur le terrain pour le déterminer » avait répondu Bernard Gauducheau.
Il faut rappeler que le projet consiste, entre la gare de Vanves et le Clos Montholon à réaliser un mur anti bruit de 700 m de long accompagné d’isolation de façades et de fenêtres. Des mesures et les études acoustiques avaient définis un secteur entre la gare de Vanves/Malakoff et le Pont du Clos Montholon sur la ligne Paris-Montparnasse, où le bruit s’étend dans un rayon de 300 m de part et d’autre de la voie ferrée. 27 bâtiments avaient été déterminés à Vanves, 5 à Malakoff, mais plus d’une centaine étaient plus ou moins impactés.
Le traitement choisi devrait être des écrans acoustiques étalé sur 730 m à Vanves de prés de 2 m de haut, couplés pour certains immeubles (plus haut que l’écran acoustique) par des isolations de façades. A l’époque de son lancement le coût de cette opération se montait à 600 000 € si l’isolation des façades était retenu ou 3,5 M€ si les écrans acoustiques étaient choisis en sachant que le financement est assuré à 50% par RFF, et 50% pour les collectivités locales (25% pour la Région, et 25% à se répartir entre le départements et les deux communes de Vanves et Malakoff).
Malakoff avait accepté d’y participer même si l’impact du bruit est moins important de son côté. Mais dés le lancement de la phase de l’étude, RFF considérait que Vanves n’était pas un des secteurs les plus prioritaires. Mais voilà, le chantier ne pouvait commencer qu’après la réalisation d’une série d’enquêtes individuelles auprès des riverains qui devaient être consultés sur le choix d’une isolation phonique individuelle (fenêtre et./ou façade) ou collective (mur anti bruit).
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