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Stationnement

  • STATIONNEMENT PAYANT POUR LES 2 ROUES A PARIS MAIS PAS A VANVES…POUR L’INSTANT

    Les vanvéens utilisateurs de scooters et de motos devront payer maintenant pour se garer s’ils vont à Paris. Comme ils ne sont pas résident le tarif sera de 2 à 3 euros de l’heure selon le quartier et jusqu’à 37,50 euros par jour (alors les résidents pourront bénéficier d'un abonnement à 22,50 euros par an plus 0,75 centime d’euros par jour). Seuls les scooters électriques, à hydrogène, roulant au gaz naturel et hybrides rechargeables, sont en revanche exonérés. Ils pourront continuer à stationner gratuitement à condition d’avoir souscrit à l’offre « véhicule basse émission » (VBE). 

    «Une partie des habitants de Paris nous le demande depuis extrêmement longtemps» explique David Belliard (EELV) adjoint au maire de Paris  chargé des transports, sur France Infos, ajoutant «vouloir lutter contre la pollution de l'air et les nuisances sonores». Mais cette décision qui entre en vigueur demain a suscité quelques réactions hostiles notamment de la Fédération des motards en colère qui rappelle qu’un deux-roues motorisé n’est pas une voiture et que c’est encore les habitants de banlieue qu’on va taxer le plus. « Derrière un adepte du scooter ou un motard, il y a d’anciens automobilistes qui se sont mis au deux-roues. Si on commence à enlever les avantages au scooter, ces gens-là vont reprendre leur voiture», croit savoir Jean-Marc Belotti, son coordinateur qui insiste sur le fait que «les deux-roues motorisés permettent de fluidifier la circulation. Quant aux scooters électriques, les écolos voudraient nous faire quoi que c’est vert. C’est vert sur place mais ailleurs c’est une catastrophe écologique»

    La ville de Paris n’est pas la seule à l’avoir institué. Charenton  et Vincennes (94) ont mis déjà en place depuis longtemps le stationnement payant des deux-roues motorisés, pour lutter contre le stationnement anarchique et illicite,  inspirées d’autres villes européennes comme Londres, Rome.  Pour l’instant à Vanves, ce n’est pas le cas. Mais d’autres villes de la région parisienne s’interrogent, comme Montreuil, en Seine-Saint-Denis, dont les élus parlent d’un projet en cours. «Notre objectif, c'est d'aller vers un Paris sans diesel, puis un Paris sans moteur thermique. Les collectivités comme Paris sont très en avance parce que c'est nous qui pâtissons le plus de la pollution de l'ai

  • LE STATIONNEMENT PAYANT VICTIME D’UN BUG A VANVES ET DANS LES VILLES DE GPSO

    Les vanvéens peuvent se garer gratuitement, tout au moins jusqu’au milieu de la semaine, tout simplement parce que les nouveaux parcsmétres ont été victimes d’un bug informatique. Certains résidents ou professionnels consciencieux l’ont vérifiés à leurs dépens en mettant un euro dans l’horodateur qui n’a pas délivré le précieux papier à mettre derrière le pare-brise pour la journée. Comme à Paris, les couacs ne cessent de se multiplier et discréditent le recours au privé des mairies qui ont délégué à une entreprise privée la verbalisation du stationnement depuis le 1er janvier ! Dans la capitale, on ne compte plus les personnes verbalisées de manière indue (policiers en service, personnes handicapées garées sur un emplacement dédiée et munie d’une carte (médecins en visite…),

    Mais surtout, les vanvéens comme les parisiens ne comprennent pas comment des élus aient organisés un tel racket – il n’y a pas d’autres mots -  avec cette usine à gaz des tarifs sortie généralement des tête à crâne d’œufs des technocrates de Bercy qu’ils sont les premiers à critiquer. Le mécontentement  commence à se faire sentir comme l’a montré le Parisien  ce week-end : Passer de 4 à 5 € à 35 € dés qu’on passe de 2H à 2H30 de stationnement, c’est incompréhensible !

  • UNE RUE DE VANVES ECHAPPE AU STATIONNEMENT PAYANT : EUGENE BEAUDOIN

    La rue Eugéne Beaudoin fait partie de ses voies publiques oubliées parce qu’elles se trouvent à la frontière de deux communes, généralement délaissées, mal entretenue etc…D’autant plus que là, il faut la connaître,  bien caché dans ce triangle vanvéen/Isséen pris entre le parc des expositions et le lycée Michelet, avec un restaurant très côté, les Quartaux, véritable petit bijou de la cuisine terroir côté Issy, et ce fameux hôtel du parc des Expositions côté Vanves, aujourd’hui fermé et muré après avoir servi d’accueil aux SAMU social de Paris, à côté d’une ancienne villa jadis occupé par Rika Zaraï. Et bien c’est là que les habitants du quartier essaient très difficilement de se garer, car les places sont chères, d’autant plus qu’il n’y pas de stationnement payant, ni marquage au sol, ni horodateur. Une bizzarerie puisque tant à Issy qu’à Vanves, le stationnement payant couvre toute la ville, et qu’il est même payant le dimanche lors des expositions.

    Ce qui est byzance par ses temps qui courent où toutes les villes de GPSO dont Vanves, après avoir institué le stationnement payant sur l’ensemble de leur territoire – à juste raison – matraquent les automobilistes maintenant comme l’Etat avec les radars, avec le nouveau système de stationnement dépénalisé et privatisé. Vanves comme les autres n’a pas choisi les tarifs les plus bas comme sa voisine Malakoff, et d’autres villes, mais les plus hauts comme le démontrait un tableau du Parisien au début de l’année. Et les habitants,de surcroît, n’y comprennent avec cette usine à gaz des tarifs imaginée par des technocrates locaux : La durée maximale a certes, été augmentée de 30 mn soit 2H30, ainsi que les tarifs. Enfin, leur mise en place s’accompagne d’une dépénalisation du stationnement payant, GPSO devant collecter maintenant le produit des amendes pour non paiement qui ont augmentés : 35 € au lieu de 17 €, avec une minoration à 25 € en cas de paiement anticipé (dans les 4 jours). Personne n’a encore protesté contre ce racket orchestré par les élus, sauf à Montrouge.