Les vanvéens peuvent se garer gratuitement, tout au moins jusqu’au milieu de la semaine, tout simplement parce que les nouveaux parcsmétres ont été victimes d’un bug informatique. Certains résidents ou professionnels consciencieux l’ont vérifiés à leurs dépens en mettant un euro dans l’horodateur qui n’a pas délivré le précieux papier à mettre derrière le pare-brise pour la journée. Comme à Paris, les couacs ne cessent de se multiplier et discréditent le recours au privé des mairies qui ont délégué à une entreprise privée la verbalisation du stationnement depuis le 1er janvier ! Dans la capitale, on ne compte plus les personnes verbalisées de manière indue (policiers en service, personnes handicapées garées sur un emplacement dédiée et munie d’une carte (médecins en visite…),
Mais surtout, les vanvéens comme les parisiens ne comprennent pas comment des élus aient organisés un tel racket – il n’y a pas d’autres mots - avec cette usine à gaz des tarifs sortie généralement des tête à crâne d’œufs des technocrates de Bercy qu’ils sont les premiers à critiquer. Le mécontentement commence à se faire sentir comme l’a montré le Parisien ce week-end : Passer de 4 à 5 € à 35 € dés qu’on passe de 2H à 2H30 de stationnement, c’est incompréhensible !