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sécurité - Page 13

  • JEUNESSE, PREVENTION, SECURITE A VANVES : DES PROJETS QUI TIENNENT LA ROUTE ?

    Le dernier conseil municipal  du 8 Février dernier a fait une demande de subventions au Conseil Général des Hauts de Seine à hauteur de 86 800 €  pour toutes une série d’action qui s‘inscrivent dans le cadre du contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance  et qui sont réalisées par les services municipaux de la Prévention Jeunesse (ESCL et Pôle Jeunesse 16/25 ans), de l’éducation et de la Prévention Santé. 4 nouvelles actions sur 19 ont  été lancée concerant une formation générale au BAFA (1500 € demandés), une autre à la prévention du mal être (3000 €), l’organisation de séjours en semi autonomie (5000 €)  et la création d’un club journalisme (2000 €).

     

    Avec la premiére action, il s’agit de faire financer par la ville une formation au BAFA de jeunes qui souhaitent s’orienter vers des métiers nécessitant ce diplôme. En contrepartie de cette participation financière de 50 €, ils s’engagent à efffectuer son stage pratique dans l’une des struture de la ville. La Formation à la prévention du mal être s’adresse aux professionnels de la santé pour les aider à repérer les jeunes ayant des tendances suicidaires ou ayant un comportemrnt dangereux à son égard ou à l’égard des autres. Ces deux actions s’ajoutent à un club Santé au LEP Dardenne qui tient un stand pour sensibliser les professionnels sur les risques liés au tabac,  à l’alcool et aux drogues ;  au soutien à la parentalité où il s’agit d’informer et de prévenir les risques de délinquance de certains adolescents en organisant des tables rondes avec les parents et ainsi les responsabiliser davantage dans leur role éducatif. Enfin, le service Prévention/Santé  informe les éléves de CM1/CM2 sur les dangers et les conséquences physiques, psychologiques et pénales des jex dangereux (comme le foulard).

     

    Le service Jeunesse a lancé deux nouvelles initiatives : Tout d’abod permettre à des jeunes de 11/17 ans de monter un projet, de rechercher des financements,  pour l’organisation d’un séjour en semi autonmie en Croatie. Ensuite un « club journalisme » en liaison avec l’officier de prévention, afin de permettre à des jeunes de 11/17 ans de faire des reportages pour mieux connaître leur environnement immédiat, apprendre à diffuser leurs articles tout en étant vigilant sur les bonnes praiques d’Internet et ainsi permettre une ouverture d’esprit en développant leur sens critique. D’ailleurs le service Jeunesse organise des ateliers de prévention et de sensibilisation au bon usage d’internet au sein des établissements scolaires. Dans le cadre de l’action « interventions en milieu scolaire »,  il a créé un pôle « création numérique » pour favoriser l’accès à la culture et l’apprentissage des technologies de l’information et la communication tout en les sensiblisant aux risques liés à l’utilisaion d’Internet

     

    Les autres axtions sont plus classiques et réalisées déjà depuis un cerain temps : « Bourse au permis de conduire » pour les 16/25 ans grâce à un financement à hauteur de 50% . En contrepartie, ils s’engagent à consacrer 2H de bénévolat au profit de la collectivité (aide à la personne, soutien scolaire…). « Sport insertion » qui doit permettre à des adolescents marginalisés de pratiquer des activités sportives encadrées par des professionnels, de participer à des tournois iternationaux. Avec « Je(ux) citoyens », le service Education suscite chez les jeunes une réflexion sur les notions de cittoyenneté, de démocratie, de la place des institutions, la portée des régles de  la loi grâce à des jeux collectifs. Les dispositifs « Coup de pouce » et coup de pouce CLE »  à destination des éléves de l’école élémentaire tout comme « Soutien scolaire «  et « contrat d’aide scolaire à destination des collégiens et lycéens (11/27 ans) entrent dans cette action générale. Il s’agit là de d’offrir une aide aux devoirs iundividualisé ou par groupe pour finalement leur apprendre « à apprendre ». Il faut ajouter un atelier de danse urbaine « hip-hop et l’orgabisation de mini séjours.

     

    La présentation de ces mesures a suscité un débat entre la droite et la gauche au cours de ce conseil municipal. Valérie Mathey (PS) a posée quelques questions en s’étonnant que « l’ensemble de ce plan d’action ne prévoit pas des actions plus cîblées de ptrévention sur la violence intra-familiale, ni sur le décriochage scolaire ». Laurent Lacomère (UMP) Maire Adjoint a expliqué qu’il y a « d’autres actions qui n’aparaissent pas dans cette liste tout simplement parce qu’elles n’ont pas fait la demande d’une subvention ». Lucile Schmid (EELV) s’est interrogé sur les montants de ces subventions et a demandé « comment ils étaient déterminés ? ». Bernard Gauducheau en a profité pour indiquer que « la politique de la ville a été délégué depuis quelques mois à GPSO. Un inventaire a été fait qui a montré une très grande diversité selon les communes. Il a été proposé de créer un observatoire pour réfléchir à des actions communes, laissant aux villes leur mode actuel d’intervention ». ll a précisé tout d’abord « que les sommes demandées ont augmentés car le public concerné a augmenté », ensuite que « nos agents sont opérationnels après avoir beaucoup tatonnés, avec des projets qui tiennent la route. Et nous commençons à avoir de bons résultats »

  • VANVES ET L’INSECURITE : 51,6% DES VANVEENS AURAIENT ILS PEUR COMME LES FRANCILIENS ?

    Le sentiment d’insécurité sociale et sécuritaire serait en augmentation en Ile de France de +6,4%. C’est l’un des éléments marquants de la nouvelle enquête de « victimisation et sentiment d’insécurité en Ile de France » (Note Rapide n°588 – Février 2012)  réalisé par l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme (IAU) d’Ile de France depuis 2001 tous les deux ans. Ainsi la remontée du sentiment d’insécurité sociale (pauvreté et chômage) inquiète bien plus les Franciliens que la préoccupation « sécuritaire » elle même. « Globalement, sentiments d’insécurité sociale et sécuritaire touchent 57,5% des personnes interrogées, sans toutefois retrouver leur niveau de 2001 (68,2%) » notent les auteurs de cette enquête qui permet de faire le point sur les évolutions de la dernière décennie.

     

    « Dans le détail, la préoccupation « sécuritaire » remonte à 18,0% en 2011, contre 12,6% en 2009 (39,2% en 2001). Concernant la peur personnelle, la tendance est aussi à la hausse entre 2009 et 2011 : 51,6% des Franciliens interrogés disent avoir peur en 2011 contre 48,3% en 2009. Cette hausse se retrouve tant pour la peur ressentie dans leur quartier, le soir, que dans les transports en commun. À une différence tout de même : si la peur dans le quartier, le soir, reste, malgré cette hausse, bien moins répandue qu’en 2001 (23,9% contre 29,1%), il en va différemment pour celle dans les transports en commun. La peur au domicile paraît, quant à elle, rester à un niveau relativement stable : la proportion de Franciliens concernés oscille entre 7,8% (plus bas niveau en 2009) et 9,2% (en 2003). Elle atteint 8,7% en 2011 ».

     

    Cette enquête réalisée en janvier/Février 2011 auprés de 10 500 Franciliens âgés de 15 ans et +,  montre une recrudescence de certaines nuisances. Néanmoins, il ressort que la situation, en une décennie, s’est globalement améliorée dans le quartier des enquêtés, notamment pour ce qui est du problème des bandes de jeunes (24,9% citent ce type de nuisances contre 28,5% en 2001) et des actes de vandalisme (25,5% contre 32,0%). Et si plus d’un Francilien sur deux évoque des nuisances en 2011 (58,4%), la population régionale reste tout de même globalement satisfaite de son quartier : 85,0 % le considère « pas loin de tout», 91,1% « agréable à vivre » et 89,6% « sûr ». Enfin, si les Franciliens interrogés jugent plus souvent insuffisante la présence policière, voire inexistante qu’en 2009 (40,6% contre 37,1%), cela reste toutefois beaucoup mieux qu’en 2001 (47,7%).

     

    Cette enquête confirme la baisse des victimations : « La proportion de Franciliens interrogés déclarant avoir été victimes au moins une fois en 2008, 2009 ou 2010 d’une atteinte les concernant (vol ou agression) ou visant le ménage dans lequel ils vivent (vol, dégradation ou destruction concernant un véhicule ou cambriolage) est descendue à 43%, soit près de dix points de moins qu’en 2001. La baisse des atteintes envers les biens des ménages continue en 2011 : 34,9% des ménages en sont victimes contre 47% dans l’enquête de 2001. Concernant les cambriolages, il ressort que 8,1% des ménages interrogés déclarent en avoir été victimes au moins une fois en 2008, 2009 ou 2010. Ils étaient 9,5% en 2001 ».

     

    Evidemment, beaucoup de vanvéens ne se retrouveront pas dans cette enquête, notamment par rapport aux points de fixations actuels, auquel veille attentivement la commissaire de Vanves avec son équipe comme elle l’a expliqué lors de l’une dernière réunion publique de quartier de l’automne 2011 : le regroupement de jeunes dans le haut de la rue de châtillon, et depuis quelques mois, la cité Jean Baptiste Potin avec ses trafics qui s’étendent jusqu’à la place Kennedy, et ses vols ou tentatives de vils (de deux roues) , à cause de quelques individus qui vont pourrir la tranquillité de ce quartier, avant de dégrader son ambiance,  si rien n’est fait. En tous les cas, certains de ses habitants commencent à avoir peur !

  • UNE REUNION PUBLIQUE DE PROJETS POUR LES HAUTS DE VANVES ET SURTOUT LE CLOS MONTHOLON QUI EST LOIN D’ETRE DELAISSE

    La dernière des trois réunions de quartier s’est déroulée le 1er Décembre dernier salle des Cinéastes à la piscine. Elle a été consacrée à la présence de nombeux projets sur lesquels le blog de Vanves Au Quotidien reviendra  qui concernent les habitants des rues Gresset-Mansard-du Docteur Arnaud :  L’enfouissement du réseau électrique, la rénovation de l’éclairage public, le remplacement des arbres  de la rue du Docteur Arnaud, le réaménagement du carrefour du Clos Montholon….Mais voilà pratiquement aucun des riverains de ses rues n’étaient présents. Ce que n’a pas manqué de constater Bernard Gauducheau. D’autant plus que beaucoup d’habitants de ce quartier du Clos Montholon se plaignent d’être délaissé et abandonné. Ce qui n’est pas tellement le cas, avec ses projets, d’autant plus qu’il aurait pu ajouter le projet de gare du futur Grand Paris Express dont il a été beaucoup question cette semaine (Voir l’article du 2 Décembre 2011 sur ce blog), et cette résidence qui sera construit à l’angle des rues Hoche et Docteur Arnaud, son propriétaire (qui n’habite pas Vanves)  ayant enfin décidé de bouger alors qu’à une certaine époque, bien avant l’implantation de Lidl, les habitants du Clos Montholon avaient interpellé la mairie pour créer là une supérette qui manquait au quartier.  Commençons par la sécurité puisque la commissaire de police, Camille Chaize, participait à cette réunion publique

     

     

    SECURITE : LA POLICE PRIVILEGIE LE FLAGRANT DELIT

     

    A l’entendre, le niveau de la délinquance à Vanves est le plus bas du département des Hauts de Seine : 900 à 1000 plaintes de l’escroquerie à Internet à du vandalisme ou des vols, soit 2 à 3 faits par jour en moyenne.  Et les Hauts de vanves apparaissent comme étant l’un des quartiers de notre commune où le taux de délinquance est le plus bas. Ce qui n’empêche pas  l’existence de points noirs : Les rues de Châtilon et de l’Avenir avec du tapage, des regroupements, du trafic (de drogue)…Tout en faisant remarquer que « des riverains sont les causeurs de ses troubles, ce qui est un problème ! », surtout lorsqu’ils ont les moyens de rentrer dans les sous sols et les caves des immeubles. Il faut ajouter la piscine, le jeudi soir, surtout l’été, où les jeunes mettent quelquefois le « bazar » car c’est le jour de la semaine où elle ferme tard » ; Et le garage Renault qui créé des nuisances : « Nous menons des campagnes de pédagogies vis-à-vis des garagistes de la ville, mais aussi de répresssions » a précisé la commissaire.

     

    Elle a parlé du commissariat de Vanves-Malakoff qui est un « petit commissariat » avec 90 à 100 fonctionnaires, 2 ou 3 véhicules. « 60 sont sur la voie publique, 30 sont sédentaires pour les plaintes, l’instruction des affaires, le travail administratif ». Et de ses objectifs : « le fondement de notre travail est la recherche du flagrant délit. C’est plus rentable et plus efficient » a-t-elle expliqué en invitant les vanvéens à appeler dés qu’ils voient ou assistent à des faits délictueux, car « l’objectif est de prendre les délinquants sur le fait ». Pas facile ! 

     

    Le maire est d’ailleurs revenu  sur un vol récent qui a amené la ville à prévoir l’installation d’une caméra de vidéosurveillance dans le PMS (Parc Municipal des Sports) André Roche, après le témoignage d’un riverain qui indiquait voir souvent des individus pénétrer dans cette enceinte sportive lorsqu’elle est fermé. « Il y a eu eu récement (à la Rentrée) un vol de ccuivre sur du matériel électrique pour 17 à 20 000 €. Une opération command de gens qui connaissaient bien le site et la valeur du cuivre volé. Ils ont dû repérer les lieux ! » a-t-il indiqué en ajoutant que « des individus pénétrent souvent dans le stade la nuit pour se rassembler,jouer aux cartes, boire et faire la fête etc… ». Des rideaux en fer ont dû être installés aux accés des locaux de certaines sections du stade de Vanves pour mettre fin à ces intrusions, ce qui a généré là aussi des dépenses pour la ville. Mais curieusement, le maire n’en a pas fait état dans son exposé comme c’est maintenant devenu l’habitude

     

    La discussion a dévié sur la circulation lorsqu’une riveraine de la rue du Clos Monthlon a demandé une meilleure sécurisation de cette voie, difficile à traverser surtout au niveau du tunnel de la gare de Clamart – « On attend la fin du chantier du Fort (D’Issy) pour s’en occuper et peut être la mùettre en sens unique » lui a-t-il répondu -   et surtout le stationnement, un habitant se plaignant des difficultés de se garer. Le maire a indiqué que le stationnement réglementé sur la ville devrait être étendu, qu’il a fait des démarches auprès du Conseil Général pour savoir s’ils n’y auraient pas de places disponibles dans le parking de l’immeuble où sont logés du personnel départemental à l’angle de la rue du Docteur Arnaud/av de la Paix.

     

    Ainsi que sur les dépôts sauvages de déchets sur la voier publique : Bernard Gaducheau a indiqué avoir signé ces jours-ci un arrêté transférant les pouvoirs de police des déchets à GPSO qui aura compétence avec ses agents de voirie pour mettre des contraventions. « Et cela fera mal s’ils sont pris en flagrant délit ». Et de rappeler les actions menées par la Communaité d’agglomération en matière de déchetterie  

     

    A SUIVRE : LE PROJET DE REAMENAGEMENT DU CARRFOUR DU CLOS MONTHOLON