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  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    TRAVAUX SUR LA LIGNE SNCF

    Du 5 novembre au samedi 19 janvier, la SNCF réalise d’importants travaux de nuit, pour moderniser et fiabiliser la voie ferrée de la ligne N, entre Vanves et Viroflay. Cette rénovation des voies de la ligne N de la SNCF vise à améliorer la ponctualité, la fiabilité des infrastructures, la sécurité et à répondre à la croissance du trafic. Les travaux se dérouleront de nuit (des nuisances sonores sont donc inévitables à proximité du chantier mobile) mais l'impact sur la circulation des trains sera modéré. Et en trois grandes phases : Jusqu'à fin novembre un train usine sera à l’œuvre du lundi au samedi matin de 22h30 à 6h, pour mener des travaux préparatoires consistent à démolir les massifs en béton, tronçonner le rail et procéder à des essais. Du 26 novembre au 22 décembre, les travaux principaux, plus bruyants, auront lieu de 20h à 6h : Le ballast sera retiré mécaniquement avant de remplacer les traverses, puis déchargé de nouveau. Des engins lourds mettront à niveau la voie et les rails seront changés. La deuxième semaine de janvier, les travaux de finition (tronçonnage et réglage du rail, relevage complémentaire de la voie) auront lieu de nouveau de 22h30 à 6h : Pour sécuriser le chantier lors du passage des trains sur les autres voies, des annonces sonores se feront entendre de 22h30 à 00h40. «La SNCF met tout en œuvre pour réduire au maximum les nuisances sonores (travaux en simultané sur plusieurs tronçons, matériel réglementé, personnel formé et communications radio entre ouvriers). Le chantier mobile avance de 300 à 500 mètres par nuit, ce qui implique que la gêne ne sera pas ressentie au même endroit durant toute la durée des travaux» indique un communiqué.

    VANVES DANS L’ALLIANCE DES TERRITOIRES

     Le maire de Vanves fait parti des 122 maires du Grand Paris, qui demandent le maintien des ressources financières aux communes et à leurs intercommunalités, et se sont rassemblés au sein de l’Alliance des Territoires – dont les noms ont été publié fin Octobre par Le Parisien - lancé par son collégue de Clamart, JD Berger. La loi NOTRe a prévu de supprimer, en 2009, les 55 M€ versés aux Territoires, nouveau nom donné aux intercommunalités comme GPSO qui en reversaient une quote-part aux communes, en 2009. Ils cherchent à faire pression sachant que P.Ollier, président de la MGP, a trouvé une solution en déposant, avec l’accord de l’ex-ministre de l’intérieur un amendement prolongeant ce versement en 2009, nécessaire à certains territoires en difficulté, notamment au Nord et à l’Est de la Métropole. Ils ont demandé à être reçu par Jacqueline Gourault nouvelle ministre de la cohésuion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargée par le président de les caliner après les avoir matraquer

    TAXE D’HABITATION

    5532 foyers sur les 13 102 assujettis à la taxe d’habitation pourraient bénéficier de sa baisse progressive entre 2018 et 2019 (et de sa suppression en 2020 selon lesservicesde Bercy. Sachant que son montant moyen s’éléve à 789 € dans notre ville. Le gain moyen pourait être de 200 € en 2018, de 433 en 2019, de 667 en 2020

  • RETOUR DE VACANCES ET SUR LES EVENEMENTS D’UN ETE 2018 CHAUD A VANVES (suite)

    Cet été a été marqué par de nombreux événements, l’inversion de la rue Pruvot qui a suscité de nombreuses infractions et la quasi impossibilité de rejoindre directement le centre ancien ce week-end, sauf à faire un détour par Issy ou la place de l’Insurrection,  puisque la place de la République était redevenue piétonne, l’incendie du poste RTE à Issy les Moulineaux qui a, de nouveau, bloqué le trafic ferroviaire de la gare Montparnasse, mais aussi suscité de longues coupures d’électricité dans certains quartiers de Vanves. D’ailleurs les incidents se sont multipliés avec une autre panne touchant 200 habitants rues G.d’Estrée, Jullien voilà quinze jours, et une fuite d’eau importante suite à une rupture de canalisation au niveau de l’entrée du Lycée Michelet samedi dernier (sur la photo)

    Si certains chantiers municipaux ont bien avancé, comme la Piscine, malgré l’accident survenu le 4 Août – deux ouvriers ont été victimes d’une chute alors qu’ils procédaient au démontage de l’échaffaudage : l’un a été  légèrement blessé à une main, l’autre a été  plus grièvement touché, victime de multiples lésions au fémur, à la tête et au bras - d’autres ont pris du retard, comme la tribune du PMS A.Roche où les travaux du mur mitoyen avec les pavillons, s’est prolongé durant l’été. D’ailleurs la canicule a perturbé certains chantiers ! Ainsi  les ouvriers qui intervenaient sur les échafaudages pour refaire la façade de la piscine commençaient très tôt le matin, à la fraîche, et s’arrêtaient au plus fort de la chaleur.

    Un article des Echos a fait le point sur le marché immobilier vanvéen démontrant l’attractivité de Vanves pour ses pavillons. Seul problème, c’est qu’ils sont détruits pour être remplacé par des immeubles. Ne serait-ce que cet été où cinq à six pavillons devaient disparaître.  A tel point que ces projets suscitent des pétitions : le projet immobilier Franco Suisse à l’angle des rues Jullien/Gabrielle d’Estrée à l’emplacement de deux pavillons, et un autre projet à l’angle de la rue Raymond Marcheron et Villa Julienne de Wills, de 5 étages à l’emplacement de 2 à 3 pavillons avec local commercial au rez-de-chaussée qui pourrait être utilisé par Intermarché pour faire une extension avec un magasin bio… Sans parler des pétitions contre le projet Woodeum et de la suppression de l’espaceSanté Santé Jeunes

    Enfin, pour les rendez-vous de cette semaine le mardi 28 Août : Les nouveaux patrons de l’Amandine invitent à un buffet apéritif pour découvrir la nouvelle carte. Et le mercredi 29 Août : Réouverture de la piscine municipale avec le dernier barbecue de l’été à Saint Remy.

  • GREVICULTURE : LE DEPUTE DE VANVES FAIT LE BUZZ ET TRAITE DE PETIT MARQUIS

    Interrogé sur le terme de «gréviculture» qu'il avait utilisé pour dénoncer «la culture de l'affrontement» de «certains syndicats», Gabriel Attal, député LREM a tenu à défendre le droit de grève, dont «il n'est évidemment pas question de revenir dessus». Le porte-parole de La République En Marche a affirmé « la nécessité de mener la réforme de la SNCF jusqu'au bout ». Il s'agit pour lui de « moderniser le service public du ferroviaire ». Il considère même que l'enjeu de la réforme actuelle est de « sauver la SNCF ».  IL n’empêche que ce terme peu apprécié par certains ministres, a fait le buzz

    Mais voilà du côté de la France Insoumise qui ne le porte pas dans son cœur depuis le débat sur l’université, le député LFI Alexis Corbière  l’a accusé, de reprendre  une expression du Front national en tweetant : « Ce terme «gréviculture» a été inventé et utilisé par les Le Pen père et fille. Dis moi tes références, je te dirai qui tu es... !». IL s’est même fait traiter de « petit marquis » par un éditorialiste de The Huffpost. Mais  Gabriel Attal a de la réplique en faisant savoir que l'expression a également été utilisée par un secrétaire général de la CFDT en 2014.  

    Mais, en réalité, on retrouve le terme dans la presse du début du XXe siècle : Selon les spécialistes,  «le mot est bien plus ancien», qui expliquent que « cette expression est apparue déjà dans l'ouvrage «La science sociale suivant la méthode de F. Le Play » rédigé en 1900. Un livre dirigé par Edmond Demolins, un sociologue royaliste et contre-révolutionnaire,qui  évoque «la lassitude qu'ont laissé percer les commis voyageurs en grève, les orateurs, députés ou autres, chargés d'entretenir le zèle des partisans du chômage (…) On a même trouvé un mot pittoresque pour désigner cette profession malheureusement trop répandue de nos jours. On compte désormais l'appeler la gréviculture». Il apparaît également la même année dans le quotidien catholique L'Univers pour qualifier «le métier consistant à parcourir la France pour exciter les ouvriers à se mettre en grève». Le journal radical-socialiste Le Radical y consacre même un article en 1905