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  • LUCILE SCHMID, UNE EX-ELUE DE VANVES CO-SIGNE UN LIVRE SUR MACRON « A CONTRETEMPS »

    Lucile Schmid, ancienne élu municipal EELV de Vanves (entre 2014-2020)  qui habitait Villa Dupont vient de publier un essai, écrit avec Olivier Mongin, éditeur, philosophe, écrivain : «Emmanuel Macron à contretemps», publié chez Bayard.

    « Les contretemps auront rythmé le quinquennat d'Emmanuel Macron. Contretemps par rapport au calendrier des réformes qu'il avait programmées ; contretemps par rapport aux attentes d'une société française qui ne veut plus d'un Président solitaire et enchaîne les révoltes, contretemps entre les aspirations progressistes que le jeune Président incarne en Europe et sa politique sécuritaire et migratoire qui braconne sur les terres sur Rassemblement national. Mais Macron est aussi pris à contretemps par la pandémie, l'emballement climatique, l’offensive des « démocratures » en Europe, en Turquie, les errements russes et chinois l’ont pris au dépourvu » expliquent ils dans cet essai.

    « Emmanuel Macron a fait face aux événements imprévus qui ont scandé son mandat, il n’a cependant pas su trouver le rythme démocratique nécessaire à l’ouverture d’un nouveau cycle politique et redonner force aux institutions. C’était pourtant la condition nécessaire pour honorer les promesses de sa campagne : prendre le temps d’être entendu, de dialoguer, de s’entourer.  Pour celui qui est devenu président par surprise, échapper au contretemps c'est rompre avec lui-même, Sinon il n'aura été que le dernier représentant d'une République à bout de souffle.» ajoutent ils.

    Cet essai très « grand public » de deux éminents intellectuels illustre l’urgence à remettre les institutions au centre du jeu politique et à retrouver un rythme démocratique où chacun prenne sa part. Occasion de rappeler que Lucile Schmid est aujourd’hui cofondatrice du think tank La Fabrique écologique dont elle est Vice-président, membre de longue date de la rédaction de la revue Esprit, qui a été coprésidente de la fondation verte européenne (Green european Foundation) avec laquelle elle travaille régulièrement. Elle est l’auteure de plusieurs essais portant sur les élites publiques, les enjeux écologiques comme « Le bruit du tic-tac », « le manifeste des écologistes attérés », « La France résiste-t-elle à l’écologie ? » en  2017,  et les relations franco-algériennes : «La seconde guerre d'Algérie, le quiproquo franco-algérien» (Flammarion 1996).

    Elle avait dans Parité Circus (Calmann Levy 2008) raconté un épisode de sa campagne législative de 2002 contre André Santini : « Quand je me suis lancée en 2002, Santini avait été élu maire l'année précédente avec 70% des voix, et Vanves venait de basculer à droite » rappelle Lucile Schmid. Le contexte était atroce. Il n’avait pas hésité à l’attaque sur le théme « Schmid, c’est la cuisine ! », A cette époque elle était socialiste, élue conseillère régionale entre 2004 et 2010 de Ile de France. Candidature aux législatives qu’elle avait renouvelé en 2007 toujours avec l’étiquette PS avant de s’engager chez EELV en 2010 et se présenter sous cette étiquette aux cantonales d’Issy les Moulineaux en 2011 contre Paul Subrini (LR). Campagne au cours de laquelle, André Santini avait affirmé à son propos lors d’une réunion publique « elle est complétement givrée » et avait été poursuivi devant le tribunal et condamné pour « injure publique » Enfin, elle s’était présentée aux municipales de Vanves en 2014

  • VANVES ET LES ELECTIONS PRESIDENTIELLES : DES ELUES FRANCILIENNES EN VEDETTE DES UNIVERSITES D’ETE POLITIQUES

    Peut être que quelques vanvéens ont participé à ces universités d’été des écologistes, du mouvement libres, du PS où notamment ce week-end des élues franciliennes, candidates à la candidature à la présidentielle se sont illustrées : Valérie Pécresse (Libres), présidente de la Région Ile de France et Anne Hidalgo (PS)  maire de Paris pourraient très  bien par le hasard de la plitique qui réserve bien des surprises se retrouver en concurrence pour l’Elysée. Elles ont l’habitude de s’affronter lorsque la situation se tend entre la région et la capitale sur fond de Grand Paris, de transports, de lutte contre la pollution etc… la première défend une métropole-Région alors que la seconde défend la MGP  en ayant manoeuvré pour que P.Ollier son président fasse un second  mandat en Juillet 2020 alors la président de région avait envoyé ses lieutenants à l’assaut de la MGP dont le président du groupe LR au Conseil Régional et porte parole de Libres, Vincent Jeanbrun à deux doigts de lui piquer son siège,  avec la complicité de Jean Didier Berger, son 1er Vice président maire de clamart et Secrétaire Général  de Libres.

    Seul problème pour Pécresse, la primaire, puisque, après le retrait de Vauquiez et Retailleau, il en reste trois avec Michel Barnier, Eric Ciotti,  et un  francilien membre de sa majorité au Conseil Régional : Philippe Juvin, maire de La Garenne Colombes et président des Républicains des Hauts de Seine :«Je suis candidat à la présidentielle parce que la crise nous oblige à tout changer. Il faut penser avec des méthodes, des visages et des parcours nouveaux » expliquait il fin Juillet,  dans le Figaro fort de son expérience face à crise sanitaire qu’il a vécu en première ligne en tant que chef du service des urgences de l’hôpital Pompidou et qu’il a relaté dans un livre en dénonçant la gestion calamiteuse de l’épidémie et en jugeant un quinquennat «fait d’immaturité, d’autoritarisme et d’amateurisme».

    Mais, il est possible qu’elle saute cet obstacle avec le retrait du président de la Région Auvergene-Rhône-Alpes. Comme l’expliquait Bruno Jeudy dans Paris, «à la tête de son mouvement, Libres, elle prépare en coulisses son affaire depuis deux ans. Son équipe, composée de Patrick Stefanini, vétéran des campagnes présidentielles (il a dirigé celles de Jacques Chirac et de François Fillon), du chiraquien Frédéric Lemoine, d’Alexandra Dublanche (vice-présidente de la région) et de l’ex-plume de Fillon Igor Mitrofanoff, élabore son projet présidentiel. Car Pécresse se pose en « candidate des idées et des valeurs ». A La Région, elle peut comptersur ses fidéles pour tenir la maison, les vice présients Jean Didier Berger, 1er Vice Président, Othman Nasrou, Frédéric Péchenard, le président du groupe LR, Vincent Jeanbrun. Aux Républicains elle promettait, samedi à Brives (Corréze), de «jouer collectif» en s’inscrivant dans la droite ligne de Jacques Chirac «qui m'a mis le pied à l'étrier et m'a enseigné la politique» et en  évoquant la Corrèze comme sa «terre d'adoption et son refuge» : «Si je suis candidate, c'est pour gagner, alors je ne lâcherai rien. Ma détermination est intacte». Assurant que «nos idées et nos solutions sont plébiscitées partout», elle s'en dit certaine, «la droite peut et doit gagner la présidentielle de 2022».

    La veille à Blois, Anne Hidalgo,  maire de Paris a fait un pas de plus vers une candidature à la candidature aux présidentielles en participant aux «journées d’été» du PS, à une quinzaine de jours  de la publication de son livre-programme. «En ce qui me concerne, avec vous, avec toute cette équipe, j’ai dit que je prendrai ma part» a-t-elle déclarée. «Nous allons être cette force politique qui va porter ce projet et qui va aller à la rencontre des français» a-t-elle poursuivi, en considérant : «On est à la croisée des chemins, au pied du mur, ça n’a jamais été aussi vrai pour l’enjeu climatique, mais aussi pour la fracture sociale qui en train de tuer le pacte républicain»

  • A VANVES, LES PARTIS FETENT NOEL ET PREPARENT LES RENDEZ-VOUS DE L’ANNEE NOUVELLE

    Gabriel Attal, député LRM de la 10éme circonscription a participé samedi à un tractage etune distribution de ballons sur le parvis de la Défense samedi dernier avec des collégues altoséquanais. «Cette dernière action terrain de grande ampleur sur 2017 avait pour objectif de défendre et promouvoir les mesures du gouvernement engagées en faveur de l’augmentation du pouvoir d’achat». Il participera à la réunion du comité vanvéen LRM Mardi soir au Tout Va Mieux, où la section UDI de Vanves fête ce soir Noël, avec plus de 70 adhérents et sympathisants autour du maire de Vanves. Voilà pour les dernières actions d’une année bien remplies en élections des élus et des antennes vanvéennes de l’UDI et de LRM, alors que du côté PS et des LR, c’est plutôt un électrocardiogramme plat, lorsque ce c’est la démissionnite chez les Républicains et la débendade chez les socialistes. En attendant LRM occupe le terrain sur le Grand Paris qui sera au rendez-vous du début de la nouvelle année, n otamment avec le Grand Paris.

    Ainsi la marche du Grand Paris organisé voilà plus d’une semaine, a mobilisé des centaines de marcheurs parisiens et franciliens. «À partir d'un travail réalisé depuis plusieurs semaines par un groupe de travail d'une centaine d'experts, la marche a permis de former les adhérents aux problématiques parfois complexes du Grand Paris, puis à aller à la rencontre des habitants de la métropole. Le questionnaire en ligne réalisé pour l'occasion a déjà récolté près de 2000 réponses, nous allons continuer de le diffuser. Une première synthèse sera présentée ces jours-ci et sera enrichie par la suite pour un échange avec le gouvernement et les élus» indiquait Philippe Zaouati, référent LRM de Paris qui ajoute : «La République En Marche souhaite que le projet du Grand Paris soit un vaste et ambitieux projet de développement économique, social et culturel pour la première métropole française. Nous avons pourtant le sentiment qu’il est aujourd’hui trop souvent réduit à des enjeux d’infrastructures et de transports et surtout, mal compris et éloignés des attentes concrètes des franciliens qui doivent pourtant en être les premiers bénéficiaires. C’est pourquoi, afin de rapprocher ce grand projet des citoyens, La République En Marche a lancé cette «Marche du Grand Paris» pour comprendre comment les habitants appréhendent les enjeux du Grand Paris et pour recueillir leurs attentes et préoccupations concrètes».
    LRM a d’ailleurs créé un groupe dédié au Grand Paris pour réfléchir à la contribution de LRM à ce grand projet. Ce groupe, composé de plus d’une centaine d'adhérents de la métropole, est structuré autour de plusieurs thématiques : Institutions, démocratie et citoyenneté ; Transports et mobilités ; Environnement, air, énergie et climat ; Urbanisme, aménagement et cadre de vie ; Logement, cohésion sociale et territoriale ; Développement économique, numérique et innovation. Il rassemble également plusieurs députés LREM : Pacôme Rupin, député de la 7ème circonscription de Paris, Céline Calvez, députée de la 5ème circonscription des Hauts-de-Seine et Guillaume Gouffier-Cha, député de la 6ème circonscription du Val de Marne, ainsi que Julien Bargeton, sénateur de Paris. Ue initiative à suivrede près, alors que Emmanuel Macron devrait annoncer ses intentions concernant laRégion et la métropole du Grand Paris en Janvier.