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elections cantonales 2011 - Page 6

  • ELECTIONS CANTONALES A VANVES A JOUR J –10 : REUNIONS ET POLEMIQUES

    La campagne s’est animée hier tout d’abord avec deux réunions : Un café politique de Bernard Gauducheau au « soleil Levant » sur le Plateau dont la vedette était jean Paul Dova, vice Président du Conseil Général chargé de sa politique de coopération décentralisée et surtout président de l’OPH 92, occasion de parler surtout de logements sociaux. Le maire lui a fait constaté que « l’office Départemental n’avait pas fait de travaux depuis un certain temps dans la commune » - « et moi je recherche du foncier pour construire de nouveaux logements sociaux » a-t-il répondu après avoir discuté pendant plus d’une heure trente avec de nombreux vanvéens. Ensuite le Front de Gauche a tenu sa réunion publique en insistant plutôt sur l’aspect national de cette élection alors qu’en face, la droite cherche à l’effacer. Enfin, la polémique du jour concerne lespetites phrases d4andré Santini sur Lucile Schmid qui a réagit.

     

    LE FRONT DE GAUCHE INVITE A DONNER UNE SACREE RACLEE A SARKO

     

    « Ces élections ont un objectif national dont on parle peu. C’est les dernières avant les Présidentielles. C’est l’occasion de donner une sacrée raclée à Sarko et confirmer les régionales. Ces élections vont peser sur les sénateurs car nous pourrons élargir le nombre de grands électeurs de gauche » a déclarée d’emblée Catherine Margaté, présidente du groupe PC au Conseil Général des Hauts de Seine, l’une des premières oratrices de la réunion du Front de Gauche/PC/NPA92 qui s’est déroulé hier à l’école maternelle du Parc. Bastien Lachaud son candidat avec Claudine Charfe, sa suppléante avaient invités aussi Martine Billard, député de Paris pour cette réunion animée par Bénédicte Rousseau qui a rassemblée plus d’une cinquantaine de personnes.

     

    Les principaux orateurs se sont limités à des propos nationaux à quelques exceptions prés : « Tout ce tapage sur le sondage dominical du Parisien, montre que la progression du FN est inquiétante. Il y a une progression du FN inquiétante. Mais il y a une responsabilité importante du Président de la République dans tout cela. Tout cela montre qu’il ne sera pas le candidat miracle, qu’il y a nécessité d’un débat sur la vie quotidienne difficile des français, et il est de notre responsabilité de le porter sur des questions comme la casse du service public, la suppression de 122 postes d’enseignants dans le département. Ces cantonales sont un morceau de cette construction politique » a expliqué Catherine Margaté (PC).

    Bastien Lachaud, le candidat s’est référé à la révolution du monde arable : « Ce cri contre les oligarchies nous touche particulièrement. C’est la revendication démocratique liée à la revendication sociale. Ces révolutions citoyennes sont possibles en France en moins violent » a-t-il déclaré en se référant à la loi LOPPSI  2 qu’il a qualifié de « liberticide », à la loi sur les retraites : « Sarkozy est le représentant de cette oligarchie qui nous a imposé deux ans de plus de travail », en s’en prenant à ces sondages « sans rigueur scientifique sur cet idiot utile qu’est le FN…Nous vous invitons à sanctionner ces gens là avec votre vote. C’est le moment de commencer le travail que nous finirons en 2012 ».

     

    Il a tout de même été question du département. Bastien Lachaud s’est contenté de dire que « ce département le plus riche, le plus inégalitaire, à besoin de changement » en revenant sur sa proposition de conseil de canton pour associer les habitants. Martine Billard qui a beaucoup insisté sur l’introduction de l’écologie dans nos débats et dans nos politiques en partant de la petite phrase du chef de l’Etat – « L’environnement, cela commence à bien faire » - a expliqué que « les Hauts de Seine sont une caricature dans ce domaine, avec la Défense concentration de forces et richesses économiques et les communes alentours concentration de logements sociaux »

    Catherine Margaté (PC) a confirmé que ce département avait une politique inégalitaire : « On a eu Pasqua, SarkozyDevedjian ! Sarkozy nous a expliqué qu’il voulait faire des Hauts de Seine un laboratoire… Et nous avons eu de la fracture sociale, des inégalités. Nous avons pu prouver qu’il y a eu une baisse des crédits sociaux, de l’aide à l’insertion, un manque d’efforts sur le logement social, 14 villes ne respectant pas la loi SRU (imposant 20% de logements sociaux) et sur l’emploi…On a le gratin de la droite qui pratique le nespotisme. Et on a un motif de dire non à tous ces «Jean Sarkozy », « Balkany »… ».

     

    Claudine Charfe (PC), conseillére municipale a donné l’exemple d’une politique sociale de droite dans cette commune-canton de Vanves : « Plus d’aides ménagéres, plus d’aides aux transports municipaux, car tous ces services ont été privatisés. Plus de banque alimentaire à la mairie, remplacé par le Libre Service Social d’Isssy les Moulineaux, certains bénéficiaires refusant d’aller jusqu’à Corentin Celton. Moins de personnel au CCAS notamment pour s’occuper des personnes handicapées et au pôle seniors pour s’occuper des personnes âgées » a-t-elle expliquée. « Il n’y a aucune proposition nouvelle que les prestations obligatoires. Plus personne ne s’occupe du RSA à Vanves, qui est maintenant géré au niveau de GPSO. On a écrit au maire pour lui demander pourquoi on avait moins de dossier de personnes en difficulté, avec une diminution des aides ». Et de conclure en expliquant pourquoi « c’est un combat permanent contre cette droite communale comme départementale ».     

     

    ANDRE SANTINI RECIDIVISTE

    Lucile Schmid (EELV)  a répondu par un communiqué aux propos d’André Santini (NC) qui n’ont été pas tendre avec elle lors d’une réunion publique de Bernard Gauducheau (NC), lundi dernier : « En 2007 André Santini m'avait qualifiée publiquement de « déesse des Carpathes », de « pauvre conne », ou avait déclaré « elle se prend pour Ségolène Royal ». Dès le premier jour de la campagne des cantonales André Santini a récidivé dans l'insulte. A-t-il peur de deux semaines de débat démocratique? A-t-il peur des élections?  André Santini est député-maire d'Issy-les-Moulineaux, président du SEDIF, président du conseil de surveillance de la société du Grand Paris. En République les responsabilités ne doivent-elles pas impliquer le respect de ses adversaires politiques et l'usage d'un français correct? Il est temps de changer le visage du pouvoir dans les Hauts-de-Seine. Il est temps de créer les conditions d'une vraie démocratie ».

  • ELECTIONS CANTONALES A VANVES A JOUR J –11 : LA CAMPAGNE BAT SON PLEIN DE MOTS

    Les deux challengers ont été les vedettes de la première journée de campagne officielle, lundi dernier. Guy Janvier s’est singularisé lors de la dernière séance de la mandature du Conseil Général, et Bernard Gauducheau a tenu sa grande réunion publique avec de nombreuses personnalités et participants

     

    LA DERNIERE SEANCE DE GUY (PS)…POUR CETTE MANDATURE !

     

    Pour la dernière séance plénière de la mandature, le Conseil Général a  examiné Lundi deux gros dossiers : Les orientations budgétaires 2011 le matin pour  créer un lien avec la prochaine (mandature), Vincent Gazeilles (EELV) s’étonnant que beaucoup de conseillers généraux aujourd’hui ne le seront plus pour voter le budget 2011 » et l’enfance handicapée l’après-midi, sur lesquels Guy Janvier (PS) est intervenu,  avec toute une série de rapport sur les colléges, le personnel départemental… L’ambiance qui a régné durant toute cette journée a montrée que tout le monde avait en tête les trois tours des cantonales, si l’on compte l’élection du Président le 31 Mars.

     

    Guy Janvier (PS) comme Pascal Buchet (PS) ont remarqué l’absence de Jean Claude Caron  qu’ils ont généralement comme interlocuteur lors  de ces débats budgétaires : « Il y a là quelque chose qui ne va pas ! » a constaté le premier. « Il a démissionné de ses fonctions (de vice président/rapporteur du budget). Il n’est pas du tout désapprouvé » lui a répondu Patrick Devedjian alors que le conseiller général de Vanves faisait quelques allusions à sa candidature dissidente à Rueil. « Et il vient de quitter l’hémicycle car ses orientations budgétaires ne correspondent pas à ce qu’attendent les altoséquanais »  C’est Alain Bernard Boulanger, 1er Vice Président, maire de Villeneuve la Garenne qui a fait office de rapporteur après une intervention liminaire du Président Devedjian sur les grandes lignes de ces orientations budgétaires (sur lesquelles nous reviendrons) : 1 366 ME sont prévus pour le fonctionnement dont 60% seront consacrés à la solidarité car « le département est un des principaux acteurs de la cohésion sociale » avec les transports et le logement notamment, et  506 ME en investissements alors que « beaucoup de départements les réduisent ». Occasion pour le 1er Vice Président de remarquer que 32% des dépenses de ce budget sont hors compétence  avec des projets sur l’environnement des colléges, le THD 92, les transports en commun….

     

    Les Vice présidents se sont alors livré à un bilan de mandature – « cela ressemble à un tract électoral » a constaté Vincent Gazeilles (EELV) -  Isabelle Balkany longuement sur les colléges et l’éducation, Christian Dupuy sur la solidarité, Hervé Marseille sur les Transports qui s’est livré à une attaque en régle de la Région « dont il faut être proche… pour bénéficier de subventions » - et du STIF  - « On leur téléphone pour leur demander de nous aider sur un projet, et ils nous expliquent comment s’en passer » -   coupés quelquefois par les protestations de l’opposition, alors que les élus communistes brandissaient de petites pancartes sur lesquelles étaient inscrits « Plus de créches ! », « gratuité de la carte améthyste »… « Cela fait vraiment ambiance de CP » constatait Isabelle Balkany alors que Christian Dupuy ironisait sur ses « hiéroglyphes ». L’opposition leur a rendu la pareille listant les secteurs où le Conseil Général s’est désengagé notamment en matière de solidarité, d’insertion, de social. « Ce débat montre bien qu’au lieu d’être le département de la cohésion  sociale, vous êtes celui de la destruction sociale » s’est exclamé Guy Janvier (PS).

     

    Mais tous parlaient entre eux de la campagne vers laquelle ils souhaitaient repartir très vite dans l’après midi. Celle-ci s’est mal terminée lorsque Patrick Devedjian a mis fin brutalement à la séance sans même étudier les autres vœux et questions orales prévues à l’ordre du jour. Un vœu du PS concernant les magistrats du TGI de Nanterre suite aux déclarations du Président de la République l’a mis quasiment hors de lui. Il a refusé de l’examiner et a levé la séance sous les protestations de l’opposition. Un vœu du PS concernant les colléges et notamment Saint Exupery auquel tenait Guy Janvier, n’a pas pu être examiné du coup.  Une dernière séance qui s’est mal finie, montre bien la tension qui règne actuellement dans les Hauts de Seine.

     

    LES BONS MOTS D’ANDRE (NC)… A LA REUNION DE BERNARD (NC)

     

    LA GARE DE BERNARD : André Santini, député maire d’Issy les Moulineaux, président de la SGP (Société du Grand Paris) dans son intervention Lundi soir à la réunion publique de l’école Marceau, a expliqué « que Bernard m’embête avec sa gare prés du Fort d’Issy où se construit le quartier numérique de demain. Nous en avions prévu 40. On nous en a rajouté 18. Il est le mieux placé pour en discuter avec nous ». Il parlait bien sûr du fameux tracé du Grand Paris Express sur lequel l’Etat et la Région se sont mis d’accord, dont un arrêt potentiel a été inscrit sur le tracé au clos Montholon à la limite de Vanves, de Clamart et de Malakoff, là où la ligne Paris Montparnasse circule bien sûr pour créer une correspondance. Il en a profité pour confirmer ce qui avait été annoncé la semaine dernière par la SGP : Le décret en Conseil d'Etat sur le tracé du métro et les nouvelles gares « sera pris probablement en juin prochain ».

     

    LE BRANCARD DE PATRICK : André Santini a l’occasion de rencontrer souvent Patrick Devedjian à l’Assemblée Nationale. L’une des dernières fois, ils ont devisé  du pape sixte IV, plein de significations pour la bataille du perchoir de l’assemblée départementale. A cette époque en 1471, un conclave se tenait et durait depuis 4 jours  pour trouver un pape. L’Espagne avait un candidat pour la papauté. Personne n’était d’accord, jusqu’au moment où les cardinaux virent arriver l’un des leurs sur un brancard, et se sont dit qu’il était un don du ciel. Du coup, ils l’ont élu persuadé qu’il ne serait que passager. Et il a été un grand Pape. Et bien Patrick va nous faire le coup du brancard  

     

  • ELECTIONS CANTONALES A VANVES A JOUR J –12 : UN PLATEAU TRES FEMININ POUR BERNARD GAUDUCHEAU DANS SON PREAU FETICHE

    Un plateau féminin avait été réuni hier soir à l’école Marceau pour la grande publique de campagne de Bernard Gauducheau (NC) et Françoise Saimpert (UMP), sa suppléante, à la veille de la Journée Internationale de la Femme. Il avait invité Chantal Jouanno, ministre des Sports, Rama Yade ex-ministre, ambassadrice à l’UNESCO, Isabelle Debré Sénateur avec Frédéric Lefebvre, ministre, André Santini, ex-ministre, auxquels sont venus se joindre PC Baguet, député maire de Boulogne, Philippe Pemezec, maire du Plessis,  Denis Larghero, et de nombreux élues de villes voisines. Les 250 à 300 participants auraient s’attendre à de longs discours  de cette pléiade de personnalités. Il n’en a rien été, car ils ont su être cours et percutants pour certains. La preuve : la réunion dense n’a durée que une heure trois quart, et les participants sont restés jusqu’à la fin dans  « ce préau fétiche » comme l’a rappelé le candidat « là où on  commence toujours la campagne, où nous tenons nos principales réunions et nous fêtons la victoire ».

     

    « Nous étions moins nombreux le 8 Novembre pour lancer la campagne voilà 4 mois, alors qu’elle ne vient de commencer que maintenant pour nos adversaires. C’était l’occasion de mobiliser les électeurs sur cette élection qui risquait de passer inaperçue. Je ne regrette pas d’avoir mis en place notre équipe de compagne depuis le début Novembre. On a présenté un programme de 6 pages. Mais lorsqu’on regarde les programmes de certains, il n’y a pas beaucoup de contenus. 500 personnes ont signés notre comité de soutien. A 15 jours du 1er tour, vous êtes convaincu et vous savez ce que l’on est capable de faire. Mais le problème est que certains peuvent en douter encore à Vanves »  a-t-il expliqué.  

    « On se retrouve face à des amateurs. Ils ont commencé leur campagne vraiment Samedi dernier au marché. Alors que nous faisons du porte à porte, des réunions d’appartements, des cafés politiques depuis plusieurs semaines » a-t-il continué, laissant le soin à Françoise Saimpert sa suppléante, de raconter cette campagne  dans son intervention. « Il y a une certaine empathie entre le maire et ses administrés » a-t-elle constatée lors de ces portes-à-porte.

    Le maire ne s’est pas privé de raconter quelques anecdotes lors de ses rencontres avec ses adversaires sur le parvis de la Poste de la place de l’Insurrection comme sa rencontre avec la candidate verte (EELV) qui portait des lunettes noires. « Cela se passe bien les vacances ! Juste à côté, Guy Janvier avait amené sa grande bannière  genre « Mondial de l’Auto ». Et le petit jeune qui défend les couleurs du FdeG/PC qui se prétend professeur d’histoire et défend le communisme. Il a collé des affiches les containers à verre, les armoires EDF, les palissades de chantier. Je l’ai informé que la mairie avait porté plainte et je lui ai rappelé que l’affichage sauvage était interdit depuis longtemps. Et que vous rembourserez les frais de nettoyage. Cela va l’encontre de nos principes ». Il a alors laissé la parole à ses invités qui ont tous reconnus « qu’il se passe quelque chose à Vanves ».

     

    ILS ONT DIT :  

     

    FREDERIC LEFEBVRE : « Ce sondage dominical (du Parisien donnant Marine Le Pen à 23% devant Nicolas Sarkozy et Martine Aubry) que l’on peut critique,  indique nous sommes fort si on ne se mobilise pas, ce sont les extrêmes qui le font à notre place. C’est le débat délétére qui fait monter le FN,avec des candidats qui insultent, qui critiquent ».

     

    RAMA YADE : L’ambassadrice à l’UNESCO et l’élu de Colombes s’est invitée à cette réunion à la dernière minute pour « apporter un message affectif d’encouragement pour aller à la conquête de ce canton » : « Ne vous laissez pas abuser par ceux qui essaient de faire de cette élection un référendum. Là, dans ce canton, c’est le conseiller général sortant qu’il faut changer, pas celui qui se présente contre lui .

     

    ISABELLE DEBRE : « Bernard Gauducheau est un homme qui connait et aime sa ville. On n’a pas besoin de quelqu’un d’autre au Conseil Général. C’est notre maire qui doit défendre ses dossiers. Son opposant s’est approprié tout son bilan ».

     

    PHILIPPE PEMEZEC : Le maire du Plessis Robinson qui est candidat sortant dans le canton du Plessis/Clamart a souhaité mettre en garde ses interlocuteurs : « les français ont voulu donner une leçon aux Régionales au gouvernement. La gauche a gagnée et cela lui a donné du baume au cœur. Mais ses élus n’ont pas tenus leurs promesses et leurs engagements, et les électeurs se sont fait avoir ! Mais ils veulent de nouveau montrer leur aigreur ! Rappelons – leur que ce sont des élections locales. Et ils pourront exprimer l’année prochaine leur mécontentement au président de la République. A Vanves, l’adversaire n’a pas fait grand-chose. Et il fait le sanctionner ! »

     

    PIERRE CHRISTOPHE BAGUET : « A GPSO,  nous avons 9 conseillers généraux dont un de gauche. Cherchez l’erreur. Il faut corriger l’erreur « J ».

     

    ANDRE SANTINI : « Vous avez retrouvé l’esprit des municipales. C’est là que vous avez gagné. Vanves est une terre d’émigration avec Guy Janvier que vous allez renvoyer et Lucile Schmid… que vous m’avez refilé…avant les puces" a expliqué le député en expliquant qu'il n'avait pas du tout apprécié qu'elle l'ait envoyé devant le Conseil Constitutionnel pour les machines à voter dont elle a attaqué l'ulisation "Et elle prétendait que GDF m'avait prêté une voiture! . Elle est complétement givré. On a les pires candidats que vous m'avez expédié de Vanves. On avait une usine d’incinération. Je ne savais pas qu’on était devenu une décharge »

     

    CHANTAL JOUANNO : La ministre des Sports a rappelé une anecdote lorsqu’elle était au conseil général auprès de Nicolas Sarkozy. Elle avait été étonné par la persévérance qu’il avait montré en restant de longues heures devant la porte du président pour obtenir quelque chose pour sa ville. Elle a surtout expliqué « que le conseil général dit quelque chose aux altoséquanais grâce à Pasqua, Sarkozy, Devedjian. Et ce qu’il a fait (Pacte 92, Parcs en Sports, Internat de l’excellence…) a montré qu’il était précurseur d’idées structurantes qui ont été reprises au niveau national. Et nous voyons la différence avec la Région  où nous siégeons avec Bernard, qui ne fait que dépenser, mais ne construit rien. Et on n’entend de la part de la gauche que de l’agressivité. Ces élections locales. On a bien le temps pour les suivantes »