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eglise saint remy - Page 13

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE TRES PARTIMONIALE

    Cette semaine sera marqué par les traditionnelles journées Européennes du Patrimoine, avec les traditionnelles visites du lycée Michelet, du prieuré des bénédictines, de l’orgue – le nouveau – de l’église St Remy…  et les célébrations du centenaire de la guerre 1914-18 avec à l’hôtel de ville, l’exposition  « Vanves dans la grande guerre ». De nombreux tableaux ont été conçus  par le service des Archives sur le maire de l’époque, Aristide Duru, le lycée Michelet, l’Ouvroir municipal et ses ateliers de confection qui travaillaient en lien avec l’intendance militaire, le ravitaillement en charbon et en denrées alimentaires de la population qui devenait de plus en plus difficile etc… En même temps, une autre exposition est organisé par le Conseil Général et les Archives départementales (entre le 15 Septembre et le 29 Mai 2015)  sur « Les Hauts-de-Seine dans la Grande Guerre (1ère partie : mobiliser, soutenir, soigner). Elle donnera un aperçu du déroulement et de l’impact de la Première Guerre mondiale dans les différentes communes qui composent actuellement le département des Hauts-de-Seine. Elle présentera notamment une très importante collection d’affiches administratives et de propagande, de cartes, de gravures et cartes postales, et des collections de presse périodique locale, dont certains titres assez rares comme « Vanves-Malakoff » sur la période 1914-1917. A Vanves, il est prévu une conférence de Jean Marc Valentin, président de l’association des généalogistes sur le « carré militaire du cimetière » le samedi 20 Septembre à 17H. 

    Lundi 15 Septembre 2014

    A 19H30 à l’Hôtel de Ville :  Remise des labels « Eco-Défis » dans le cadre du Programme local de prévention des déchets initié par  Grand Paris Seine Ouest (GPSO) à l’attention des artisans du territoire, en partenariat avec la Chambre de Métiers et de l’Artisanat des Hauts-de-Seine (CMA 92), en présence de Pierre Christophe Baguet, président de GPSO, Daniel Goupillat Président du CMA92 et du maire de Vanves. 119 artisans,  qui ont mis en place au moins trois actions concrètes en faveur de l’environnement, ont été retenus par le comité de labellisation., come par exemple,un salon de coiffure qui propose des teintures végétales, un artisan qui fabrique des meubles à partir de fûts recyclés, une boulangerie qui sensibilise les enfants en leur offrant uner friandise en échange de leurs sachets de bonbons vides…

    A 19H30  à l’espace La Tuilerie : Conférence organisée par le Challenger Club avec la JCE GPSO et animée par Maître Roxana Bungartz sur le thème : « Comment gérer ses impayés »: "Un sujet auquel "nous sommes malheureusement parfois confrontés. Venez découvrir, lors de cette conférence, les erreurs à ne pas commettre et les moyens de se protéger…"

    Mardi 16 Septembre

    A 19H à l’Hôtel de Ville : Remise de la  décoration des Arts et Lettres à Jacques Brachet, qui est un peintre licier. Il est un acteur important du mouvement de la Nouvelle Tapisserie, avec des artistes qui se sont extirpés du statut de simple peintre cartonnier, pour se collecter directement avec la matière, comme le fit à la même époque Grau Garriga. Cet artiste qui a redonné ses lettres de noblesse à la tapisserie, a formé des tas d’élèves et exposé dans de nombreux pays, a installé son atelier à Vanves dans une ancienne épicerie de la rue de Châtillon, tout à côté de son épouse Monique Corsi qui occupait l’un des logements d’artistes peintres de la cité Payret Dortail. Elle  avait reçu la même distinction des mains du maire voilà deux ans.  Jacques Brachet qui forme un couple indissociable avec Corsi, avait alors expliqué que chacun vivait sa vie d’artiste de son côté, dans leur atelier respectif, et découvrait leurs œuvres comme les autres lorsqu’elles étaient terminées, se refusant à interférer sur le travail de l’autre

    Mercredi 17 Septembre

    A 19H30 à la MJC de Malakoff : Réunion de l’ARGC (Association des Riverains de la Gare de Clamart) qui regroupe les riverains du projet de la gare du Grand Paris Express. La plupart d’entre eux, en tous lescas, ceux qui se situent dans le faisceau des 100 m du tracé, font l’object actuellement de contaxct par le bureau Véritas  pour effectruer des visitees afinde recueillir le maximum d’informations concernant les sols et les batis, en lien avecle Spociété du Grand Paris

    Vendredi 19 Septembre

    A 19H30 à la Palestre : Lancement Officiel du Mois du Commerce 2014

    Samedi 20 Septembre

    A 11H30 au Relais de Vanvres : Apéritif et chansons françaises, avec Pierre Meige,  dans le cadre du Mois du Commerce

    A 14H au Lycée Michelet : Visite commentée du lycée qui a célébré en Mai ses 150 d’existence dans un site qui a plus de 300 ans d’histoire

    A 14H30 au Prieuré Sainte Bathilde : Visite de ce monastére édifié par Dom Bellot, moine bénédictin, et consacré par Mgr Roncalli, Nonce et futur pape Jean XXIII en 1949, avec l’ouverture exceptionnelle de son jardin, une exposition des œuvres de Sr Marie Boniface Stolberg…

    A 15H à l’Hôtel de Vile : Ouverture de l’exposition consacrée à « Vanves dans la Grande Guerre » qui se déroulera jusqu’au 4 Octobre 2014

    A 17H à l’Hôtel de Ville : Conférence de Jean Marc Valentin président de l’Association des Généalogistes de Vanves sur « le carré militaire 1914-18 »

    A 20H au Gymnase A .Roche : Match de Basket Vanves -  Cergy / Osny / Pontoise

    A 20H au Plaisir des Mets : Soirée musicale autour  de spécialités vietnamiennes

    Dimanche 21 septembre

    A 10H30 (et à 15H30) au Parc F.Pic : Visites commentées autour des arbres remarquables par le Conseil des Seniors.

    A 14H30 au Prieuré Sainte Bathilde : Visite de ce monastére où vivent les bénédictines avec des vêpres à 18H

    A 14H30 Et à 16H à l’église Saint Remy : Visite comentée  de l’église suivie d’une présentation du nouvel orgue Kern et d’une audition de l’instruiment par Loic de Lacombe

    A 15H (et à 18H30) à l’Hôtel de Ville : Visites-conférence des peintures murales d’Henri Daien, « une vision de Vanves à la veille de la Grande Guerre, entre réalisme et lyrisme » proposées par les Archives

    A 15H place Michel Ange (derrière l’hôtel Mercure) : Visite commentée des églises de la Sainte Trinité et des Nouveaux Martyrs de la Terre Russe om sont conservés les icônes de Grégoire Krug e Léonide Guspensky

    A 15H30 au parc F.Pic : Crêtes party animée au kiosque O’Ben

    A 15H30 au PMS A.Roche : Mach de football Stade de Vanves-Antony

  • CENTENAIRE DE LA GUERRE 1914-18 : (1) VANVES ENTRE BOURG RURAL ET COMMUNE URBAINE

    « Vanves a bien changé lorsque notre commune s’engage dans le XXéme, mais  elle conservait encore son ancien caractère de bourg rural » comme l’indique Hyppolite Chailley dans son livre « Vanves, des origines aux début du XXéme siécle ». Le centre ville autour de l’église Saint Remy avec ses anciennes rues étroites et irrégulières, conservait assurément son caractère de bourg rural. La vigne avait disparu, mais il subsistait 140 ha de cultures maraîchéres diverses qui occupaient une place importante dans ce paysage  avec 57 ha de labours – blé, seigle, avoine, pomme de terres  -   26 ha de cultures fourragères – betteraves et prairies artificielles  - 56 ha de jardins potagers ou fleuristes, et parcs de plaisance… qui allaient se révéler bien utiles durant la guerre. D’antiques fermes subsistaient encore avec leurs grandes portes charretières et leurs granges délabrées. Les carrières du Plateau avaient été abandonnés malgré la présence de deux briquetteries exploitant la glaise grâce à une centaine d’ouvriers, derrière le lycée, là où se trouve aujourd’hui, le parc des expositions avec son Palais Sud. Par contre les blanchisseries étaient toujours présentes avec 80 entreprises employant prés d’un millier de personnes, et se modernisaient avec l’apparition de machines. Elles étaient  installées dans des bâtisses inélégantes qui conservaient au rez de chaussée leurs lavoirs et leurs repasseries avec à l’étage supérieur, les séchoirs aux fenêtres sans vitres.

    Le Plateau commençaient à se peupler avec l’arrivée de d’usines qui augmentaient sa population, avec l’apparition de modestes pavillons qui s’élevaient peu à peu, isolés ou en séries (villas), et de quelques immeubles. Une 7éme classe était ouverte à l’école Gambetta. La ville achetait un terrain pour aménager la place Etienne Jarrousse (à l’emplacement du jardin actuel) et elle continuait à développer son réseau d’égouts.  L’octroi, aux portes de Paris, existait encore et le Conseil Municipal de Vanves était appelé à voter les tarifs et taxes appliqués sur différents produits de consommations (liquides comestibles, matériaux etc…). Mais l’une des conséquences de cette guerre sera d’en réduire les rentrées.

    Il n’y avait pas encore de pont-gare Vanves-Malakoff sur la ligne Paris-Montparnasse, mais un passage à niveau qui était à l’origine de nombreux accidents mortels, et de nombreux voeux du conseil municipal demandant la construction d’une passerelle par l’administration des chemins de fer de l’Etat. Comme la ligne de tramway Vanves/Plateau-Champs de Mars avait cessé de fonctionner depuis 1900 après la faillite de la compagnie concessionnaire de ce tramway, le conseil municipal n’a cessé de se démener pour obtenir, en contrepartie, l’exploitation de la ligne Vanves-Chatelet par la Compagnie des Tramways de Paris même pendant le conflit, mais sans succés car cette compagnie a fait valoir les répercussions de l'état de guerre qui l'en empêchait (pénurie de personnel, impossibilité de se procurer des ralls, et de trouver des véhicules, raréfaction du xcharbon...).  Il s’est aussi mobilisé, avec succés, pour obtenir le rétablissement du terminus intermédiaire de Vanves sur la ligne Hôtel de Ville de Paris-Clamart qui avait été supprimé au début du conflit à cause du manque de personnel 

    D’ailleurs le Conseil Municipal présidé par Aristide Duru n’a cessé de gérer les affaires courantes, malgré l’état de guerre, en maintenant les crédits intégralement « de façon à ce que la guerre terminée, la vie normale de la commune puisse reprendre immédiatement » comme il l’expliquait lors du Conseil municipal du 30 Novembre 1916 : Augmentation du traitement du personnel communal, pavage des trottoirs, goudronnage des cours des écoles du Centre, travaux de viabilité rue Falret,  dépenses d’assistance : Aides aux aliénés, aux vieillards, assistance aux familles nombreuses… La municipalité gérait un budget qui a évolué de 723 737 frs à l'époque. Dans le rapport du budget primitif examiné par le Conseil Municipal du 20 Juin 1914, Aristide Duru expliquait que « nous vivons à une époque assez trouble. Sans parler de la situation politique, il faut convenir qu’au point de vue économique et financier, il existe dans nos pays comme d’ailleurs dans la plupart des pays voisins, une véritable crise dont les effets se font sentir dans toutes les branches de l’activité nationale. L’administration communale véritable cellule civile, ayant une comptabilité à tenir, ne manque pas elle aussi plus que d’autres organisations, d’être influencé par cet état de chose qui affecte la richesse publique. C’est à ce moment critique que l’on s’aperçoit de l’importance d’une sage gérance ».

    A Suivre (samedi prochain) : La déclaration de guerre à Vanves

  • LE CHEF D’ORCHESTRE DE VANVES : MARTIN BARRAL (Suite et fin) - 30 ANS DE PASSION POUR LA DIRECTION D’ORCHESTRE

    Qui ne connait pas ce vanvéen pur souche qui berce, trop peu souvent, nos dimanches en fin d’après midi, en tous les cas pour les mélomanes, généralement dans son lieu de prédilection : l’église Saint Remy. Voilà 30 ans, il créé avec une bande de copains du conservatoire de Caen, une formation musicale, De Musica, qui a commencé à jouer à Vanves en 1987 et dont l’histoire vous a été conté hier. Le Bog de Vanves Au Quotidien  continue aujourd’hui avec l’orchestre symphonique d’Orsay qu’il a intégré en 1998.

    Pour l’intégrer, Martin Barral a dû participer à un concours de « chef », ce qui est très rare  - « un tous les 10 ans » -  très peu démocratique   - « organisé généralement par un réseau international entre chefs qui se connaissent » – très compliqué  -  « qui peut les juger ?  pas les politiques,ni les musiciens, ni les autres chefs parce que ce sont des concurrents » -  surtout en France – « parce qu’à l’étranger c’est courant » -  mais  aussi une aventure un peu particulière : « Quelqu’un m’a appelé pour me dire « on cherche un chef à Orsay ». Pour moi, c’était le musée, même pas la ville car je n’avais pas fait le rapprochement. Je savais pas qu’il y avait une salle de concert. Il me dit « faut vous dépêchez parce que le 1er tour est déjà passé ! ». J’appelle le président : « ce n’est pas la peine ! Il y a déjà plein de chef, très très professionnels ! Je ne sais pas comment on va faire ! C’est très compliqué pour nous ! ». J’ai envoyé mon CV, et surtout mes disques qui m’avaient fait faire quelques plateaux TV chez Ruggieri, Bouillon de Culture. Ils ont regardé, écouté  et m’ont appelé pour m’inviter à venir directement au 2éme tour. J’ai découvert  un orchestre pas en très bon état. Le 2éme tour était un entretien, le 3éme une composition, et le 4éme une épreuve de direction avec l’orchestre. Nous étions quatre. J’ai eu 19,3 et le second 12, et j’ai été retenu avec un contrat de 5 ans » raconte t-il  en ajoutant « C’est mon 4éme contrat de 5 ans qui a été renouvelé à l’unanimité. Et à chaque fois sans que je le sache, à bulletin secret… »

    C’est l’une des particularité de cet orchestre, où les musiciens, contrairement à ce qui se déroule en France,  ont  le droit à la parole,  parce que c’est un orchestre privé, sans institution, ni tutelle politique. « C’est un orchestre autogéré comme à Berlin, où les musiciens votent lorsqu’il y a un concours. Alors qu’en, France c’est l’inverse, car c’est l’autorité de tutelle qui décide. Souvenez-vous de la grande affaire de l’Opéra Bastille, réglé par le président de la République qui  a nommé le fils du producteur textile de P.Bergé, le célébre Chung venu de Corée. En tous les cas, Orsay pratique une très bonne méthode, et même la meilleure, parce que les musiciens sont les premiers concernés, même si ce n’est pas facile de juger quand on est musicien, parce qu’on n’a pas assez de recul » reconnait il en constatant qu’en France « on  fait les meilleurs musiciens  du monde en  individuel mais moins bon en collectif car l’esprit français est trop individualiste. Nous avons des solistes, des instrumentistes qui sont extraordinaires, quelquefois têtes brûlées, pas forcément ce que l’on demande dans les orchestres. A l’orchestre d’Orsay,  ce sont effectivement de très bons musiciens, pas forcément les meilleurs, mais ils ont tellement d’humilité et un sens du collectif que Dominique Ruiste qui a fait mon dernier concert à l’église Vanves, a adoré cette expérience parce qu’il a senti cette espéce de disponibilité d’esprit de ces musiciens qui l’a beaucoup impressionné »

    Et Vanves est l’un des lieux de prédilections de cet orchestre symphonique et notamment l’église Saint Remy « car elle sonne bien. Généralement, dans les églises cela sonne toujours trop sauf lorsqu’elles ne sont pas trop grandes, ce qui est le cas de Saint Remy.  Une salle qui sonne bien, met en valeur le son, pas trop pour entendre tous les instruments. Par contre elle ne sonne pas bien pour les discours. L’acoustique est une science inexacte. Donc c’est aussi une question de goût : Des musiciens aiment bien des salles très séches sans aucune réverbération, d’autres moins comme Pleyel avec une seconde d’échos ». En tous les cas,  « les concerts à Saint Remy sont une façon sûr  de faire fréquenter les églises à des gens qui ne vont pas forcément à la messe, et de leur faire découvrir ses belles peintures restaurées. J’ai adoré joué au Lycée Michelet dans le préau et dans la cour des Pyramide où on a présenté ce conte musical qui racontait l’histoire du lycée Michelet avec ses 400 enfants, après un an de préparation. Et même le gymnase du Plateau : Ce n’est pas très beau à regarder, mais un gymnase sonne très bien. L’orchestre d’Ile de France qui joue dans les banlieues est souvent dans des gymnases » indique t-il en confiant qu’il est tenté de monter  un concert avec le nouvel orgue : « J’ai pris des contacts avec l’organiste. Il a prévu un concert espagnol en 2014/15 »

    Ainsi Martin Baral, c’est 30 ans de passion pour la direction d’orchestre alors qu’il s’était destiné à être violoncelliste : « Quand j’étais dans un orchestre, à chaque fois, j’écoutais très attentivement ce que disait le chef. Cela  me passionnait, de voir avec son bras, son bâton, ou avec deux mots,  arriver à transformer le son. Certainement cela me concernait, plus que peut être certains autres. Je n’avais absolument pas la prétention que je pouvais le faire un jour : me mettre debout et dire aux musiciens « voilà comment vous devez jouer à partir de maintenant ». Certains chefs disent que c’est un métier qui ne s’apprend pas. Si vous n’êtes pas fait pour cela, vous ne le serez jamais, quel que soit le travail que vous faites ! C’est une vocation. Et j’ai surtout eu de la chance : D‘abord Philippe Aïche, ensuite l’orchestre Lamoureux pendant 15 ans où j’ai énormément appris, enfin en regardant ce que faisait les autres : j’ai été écouter les répétitions de l’orchestre de Paris lorsqu’il y  avait Philipe Aîche, en étant au 4éme rang avec la partition et en écoutant tout ce que disait le chef. Après il y a toutes les études d’harmonie, d’analyses…. »

    Sous sa direction, pendant 16 ans maintenant,  l'orchestre d'Orsay qui a été créé en 1976, a progressé dans tous les domaines et accédé à un répertoire plus ambitieux, avec notamment le « Requiem » de Verdi ou « Sheherazade » de Rimsky-Korsakov. Chaque année, il donne une  quinzaine de représentations à Orsay, dans la Région parisienne, dans des festivals en Province… et même en chine où il a fait une tournée à Pékin et Yinchuan. Ses 70 musiciens, tous amateurs, à l’exception du chef, répètent tous les mardis soir dans l’amphi de Maths de la fac d’Orsay. Son répertoire est très large car en trente ans d'existence aucun genre musical n'a été ignoré. Martin Barral lui a permit d'aborder le grand répertoire symphonique, et de progresser dans tous les domaines en accédant à un répertoire plus ambitieux, avec notamment le « Requiem » de Verdi ou « Sheherazade » de Rimsky-Korsakov. Il a donné, en 2001, en création une œuvre de Piotr Moss, « Le Petit Singe Bleu », commande du Ministère de la Culture qui a fait ensuite l'objet d'un CD.  En 2014, il a inscrit à son programme des oeuvres de Saint-Saëns : Ouverture de Spartacus, Rêverie du soir à Blida (extraite de la Suite Algérienne), Bacchanale (extraite de Samson et Dalila) et enfin le Requiem, en version originale avec des chœurs. A découvrir le 22 Juin à 15H à l’église Notre Dame du Travail, le 28 Juin à 21H à Saint Clothilde et le 30 Juin à 21H à Saint Christophe de Javel à Paris