VANVES DANS LE CREUXDE L’OREILLE

UNE TRES PETITE FLEURISTE

Vanves compte parmi ses commerces, peut être la plus petite boutique de France, place de Lattre de Tassigny, entre un restaurant asiatique auquel elle est accolée, l’entrée de la cour d’un immeuble et le nouveau barbier de Vanves (sur la photo). Quelques mètres carrés dans lesquels ont travaillés des coiffeurs pendant de longues années, dont l’un d’entre eux, Henri,  avait aménagé une chambre dans les combles qu’il rejoignait grâce à une pette échelle. Depuis quelques semaines, une fleuriste s’est ouverte, NJ Fleurs, tenue par Najwa Bounouqla

 

EXPOGRAPH VANVES

Les 2 présidents d’Expograph,malgré leur absence au match de Coupe d’Ile de France ont eu une très agréable surprise : La victoire de leur couleur 5/1 à Vanves contre l’ASPTT Champigny pensionnaire du championnat Élite, une division au dessus. « Nos joueurs ont prouvé qu’ils pouvaient être au top niveau. Cette victoire permet de passer NOËL avec le sourire ..enfin ! Tout le monde en a besoin.! » souligne Jean Royer

VANVES MOINS TOUCHE PAR LE COVID-19

La cinquième vague poursuit son déferlement sur les Hauts de Seine et le nombre de contaminations au Covid-19 ne cesse de grimper. Le taux d’incidence est à 551 cas pour 100 000 habitants dans le département, un taux légèrement au dessus de la moyenne nationale. Si plus de la moitié du département avec un taux supérieur à 500, avec 25 communes qui présentent un taux d’incidence entre 500 et 1 000 cas pour 100 000 habitants, seules onze communes du département affichent un taux d’incidence entre 250 et 500 cas pour 100 000 habitants, un moyenne moins élevée que le niveau national. C’est le cas de Vanves avec Villeneuve-la-Garenne, Garches, Marnes-la-Coquette, Ville d’Avray, Chaville, Meudon,  Malakoff, Châtillon, Fontenay-aux-Roses et Sceaux. Aucune commune ne présente, comme c’était le cas la semaine d’avant, de taux d’incident inférieur à 250.  

CRISE SANITAIRE : LA VILLE DE VANVES, LE DEPARTEMENT ET LA REGION EN CAPACITE DE FAIRE FACE

Comme d’habitude, à la veille de la trêve des confiseurs la semaine dernière,  nos élus vanvéens ont siégé dans les assemblées franciliennes : Bernard Gauducheau  à la Région qui a voté son budget 2022 mercredi dernier d’un montant de près de 5 milliards d’euros, destiné notamment à consolider la relance et à soutenir les partenaires - acteurs économiques et associatifs, collectivités territoriales, ou encore personnels soignants toujours durement touchés par la crise sanitaire, et au Conseil de la Métropole du Grand Paris vendredi. Tout comme Sandrine Bourg au conseil départemental des Hauts de Seine, vendredi, où, contrairement à Isabelle Debré qui se faisait un devoir d’assister à la totalité des séances plénières, s’éclipse à un moment donné, sûrement pour d’autres charges sûrement plus  importantes, comme à son habitude   

Elle a néanmoins assisté le matin à la présentation par le préfet des Hauts de Seine, du rapport d’activité des services de l’Etat  pour 2020/2021 et dressé une feuille de route pour 2022, en revenant sur cette crise sanitaire hors norme qui a suscité une mobilisation totale des services et impacté très tôt le département avec un premier cas détecté des Février 2020, en donnant quelques chiffres : 70 000 cas positifs  et 120 000 cas contacts déclarés entre Mai et Décembre 2020, 14 500 masques distribués, 95 centres de dépistages déployés en 2020 qui ont réalisés 125 000 tests hebdomadaires, avec 17 opérations de dépistages entre Mai et Décembre 2020,  puis de 25 centres de vaccinations début 2021 avec un vaccinodrome ouvert dans l’ARENA puis au PULV, un vaccin’bus …remobilisé à la Rentrée pour la 3^e dose. «On a toute capacité pour faire face !» a assuré Laurent Hottiaux en précisant que 91% des altoséquanais ont été vaccinés avec les deux doses. Dans le même, temps l’Etat s’est préoccupé des plus précaires touchés par le Covid, avec un centre dédié au CASH de Nanterre, des aides alimentaires (1,3 M€), …

Une crise sanitaire qui a eu des conséquences économiques, avec un chômage qui a augmenté de 5,3 à 7,3%  pour redescendre à 6%, avec 50 8858 demandes d’activités partielles avec le versement de 1,15 Md€ d’indemnisations aux entreprises, pour 12,1 Milliard de prêts garantis, des reports d’échéances fiscale, 1 milliard d’euros de d’allégement fiscal, avec 1,5 milliards de crédits pour le plan de relance dans le département dont certaines entreprises et commerces ont bénéficié à Vanves, avec les aides de GPSO et du Conseil  Départemental

VACCINATIONS A VANVES ET EN ILE DE FRANCE : ATTAL EN PREMIERE LIGNE

Depuis mercredi dernier, les enfants à risque âgés de 5 à 11 ans peuvent faire leur première dose de vaccin contre le Covid-19, sachant que la vaccination sera étendue à l’ensemble des enfants de 5 à 11 ans d’ici la fin de l’année. Une trentaine de centres de vaccination ont été approvisionnés en vaccin Comirnaty de Pfizer et BionTech pour vacciner les enfants. Les parents vanvéens pourront se déplacer à l’un d’entre eux situé à Issy les Moulineaux, 2 rue du Bateau Lavoir. En tous les cas, ceux qui ont décidé de les faire vacciner, car certains parents sont réticents

Le comité consultatif national d'éthique (CCNE) a approuvé l'élargissement de la vaccination contre le COVID-19 à l'ensemble des enfants âgés de cinq à onze ans, vendredi dernier, considèrant que «la vaccination des enfants de cinq à onze ans est éthiquement acceptable dans le contexte actuel, sous certaines conditions» précisait il dans un avis destiné au gouvernement. Il préconise notamment de prendre en compte les situations à l'échelle régionale, d'assurer un accompagnement des parents par le pédiatre ou le médecin traitant de leur enfant.

Cet élargissement de la vaccination intervient à un moment où le gouvernement insiste sur la nécessité de se faire vacciner, en incitant les français à faire la 3e dose et à rendre de plus en plus difficile la vie aux non-vaccinés. D’autant plus à la veille de la trêve des confiseurs, car il craint que la 5e vague se renforce  à cause de clusters provoqués par les réunions de famille et les effets du variant Omicron. Avec en première ligne, Gabriel Attal qui a montré l’exemple  lors d’un déplacement à Velizy où il a reçu sa 3e dose. Certains sur les réseaux sociaux ont parlé de fausse vaccination : «Ils ne m’ont pas vu le lendemain, car comme pour certains personne, j’ai ressenti son effet durant le week-end » confiait il à l’auteur du blog. Le porte parole du gouvernement-conseiller municipal LREM de Vanves n’a cessé de passer ces jours-ci,  un message de «confiance absolue dans tous les vaccins proposés et recommandés» : «Je sais que certains Français peuvent avoir des doutes sur le fait de «panacher» les vaccins –avoir eu du Pfizer et faire du Moderna en rappel. Non seulement ça ne présente pas de risques, les études scientifiques le disent, c’est la même technologie à ARN messager», a-t-il argumenté. «Les études montrent que c’est une protection légèrement supérieure à celle qu’on a quand on a eu le même vaccin, la même marque, sur l’ensemble du parcours vaccinal» ajoutait-il en annonçant une accélération de la campagne vaccinale et de rappels. «La pression va continuer à s'accentuer durant les prochaines semaines» avait il également mis en garde. D’autant plus que les franciliens sont à 74% vaccinés, 91% dans les Hauts de Seine, en deux doses.