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conseil municipal - Page 18

  • UN PROJET D’EIFFAGE IMMOBILIER A VANVES A DU PLOMB DANS L’AILE

    Le projet d’Effiage Immobilier rue Antoine Fratacci, à l’emplacement de deux pavillons face à l’hôtel de Ville et son square François Mitterrand ferait il l’unanimité contre lui. ? A L’occasion du dernier conseil municipaldu 23 Mars, le groupe LREM a de nouveau évoqué la demande de permis de construire qui fait l’objet d’une pétition du collectif DAPNE (Des Arbres  Pour Nos Enfants) .

    «La première demande n’a pas abouti mais une seconde demande aurait été déposée pour la construction d’un immeuble de 21 mètres de haut (6 étages et 70 logements) en lieu et place des 2 maisons avec jardins arborés. En effet, nous avons été alertés par des riverains regroupés au sein du collectif DAPNE (Des Arbres Pour Nos Enfants) qui ont lancé une pétition en ligne à ce jour plus de 800 signataires. Ce collectif dénonce le fait que la construction d'un tel immeuble provoquerait des nuisances intenses et continues (bruit, poussières, …) impactant directement la qualité de vie des écoliers et du personnel scolaire pendant au moins 2 années scolaires, augmenterait la température de la cour de l’école en supprimant de grands arbres qui constituent un îlot de fraîcheur et une source de biodiversité, aujourd'hui plus que jamais, indispensable, mais aussi dans les classes du bâtiment de maternelle dans lesquelles les températures atteignent déjà les 40°c en période de forte chaleur, et mettrait en danger nos enfants par la présence d’un bâtiment de grande hauteur donnant directement sur la cour de récréation de l’école maternelle !» indiquait Jean Cyril Le Goff

    «Après un premier refus de permis de construire prononcé le 3 mars 2021 et confirmé le 3 août 2021, malgré la décision du Préfet de région sanctionnant le refus d’accord exprimé par l’Architecte des Bâtiments de France, la commune est en effet saisie d’une nouvelle demande de permis de construire portant sur les terrains sis 40 et 42 rue Antoine Fratacci. Cette nouvelle demande, déposée le 22 décembre 2021 par la Société Eiffage Immobilier, est aujourd’hui en cours d’instruction. La commune ne peut donc pas communiquer sur ce projet, dont l’initiative incombe aux propriétaires de ces terrains. Les seules informations susceptibles d’être données sur la consistance du projet et déjà portées à la connaissance du public par les listes affichées sur les panneaux devant le Centre Administratif sont les suivantes : La demande porte sur la construction d’un ensemble immobilier de 74 logements collectifs (49 logements en accession libre et 25 logements locatifs sociaux), développant une surface de plancher de 4 185m² et d’une hauteur maximale de 21 mètres, après démolition totale des constructions existantes» a indiqué Pascal Vertanessian, maire adjoint à l’urbanisme  qui a précisé que les restrictions sur la possibilité pour la commune de communiquer sur ce projet ont déjà été portées à la connaissance des représentants du Collectif Des Arbres pour nos Enfants en février dernier. 

    Il a indiqué, comme il l’a fait lors de ces échanges, que «la commune n’est toujours pas favorable au projet, qui va à l’encontre des choix faits par la ville lors du réaménagement de l’Espace Cabourg, avec notamment la conservation du pavillon ayant abrité le commissariat de police. Le secteur où l’opération est envisagée présente en effet plusieurs caractéristiques, qui appellent la plus extrême vigilance. Le site est d’abord situé à proximité d’un équipement scolaire important. De plus, compte tenu de sa topographie, de l’échelle du bâti existant et de ses qualités paysagères, ce site constitue une séquence urbaine qualitative et un espace de respiration dans le paysage de la commune» a-t-il indiqué. Le collectif a recensé sur les 1700 m2 de jardin de ces deux pavillons, 42 arbres dont une dizaine serait centenaires.    

  • L’APPLICATION A GEOMETRIE VARIABLE DU PRINCIPE DE PRECAUTION ET DE PRENVENTION A VANVES

    Cette semaine a démontré que la ville de Vanves, très rigoureuse parait il sur le principe de prévention, pour éviter à son maire d’être mis en cause "intitue personae" en cas d’accident, l'applique à « la petite semaine ». Un article du Parisien, lundi dernier,  a fait état d’une  longue démarche d’un parent d’éléve Laurent Delrieu et de procédures pour lever l’opacité de la municipalité sur la présence d’amiante dans des écoles (Larmeroux, Le parc, Marceau). Ce  qui a provoqué une question orale de Severine Edou (LREM) au conseil municipal qui lui a valu cette remarque du maire : « Merci de nous rappeler à nos obligations qui nous auraient échappés ». Preuve qu’il y a eu une sorte de défaut de la municipalité dans l’application de ce principe.

    Par contre, autre exemple, les stadistes vanvéens attendaient depuis lundi dernier à l’occasion de la levée du pass sanitaire et du masque, que l’accés par la rue Jean Baptiste Potin du PMS A.Roche,  soit possible, comme ce fut la cas à la fin du confinement au printemps 2021. La mairie a fait avoir que ce n’est pas possible à cause de Vigipirate, alors qu’il n’y pas eu une hausse du degré de vigilance par rapport au printemps 2021 lorsque l’accés avait, de nouveau, été ouvert. Ce qui est incompréhensible  aux yeux des habitués, d’autant plus qu’il n’y a aucun contrôle de l’accés à l’entrée du Docteur Arnaud par les gardiens, souvent absent, alors que ce n’était pas le cas lorsque le pass-sanitaire était exigé,  comme l’ont constaté nombre d’habitués. A Croire que le mairie de Vanves applique plutôt le principe « d’enmm… » . Mais beaucoup l’expliqueraient par l’hostilité du service des sports qui date de mathussalem à cet accés au PMS où pourtant ont été installé une caméro de viéoprotection, avec et un tourniquet  pour justement sécuriser les entrées du PMS.  

    «Vous avez été alerté à plusieurs reprises et par de nombreuses voies administratives sur la présence d’amiante dans des locaux municipaux accueillant du public, plus particulièrement dans les écoles Larmeroux, Marceau et du Parc, ainsi que la bibliothèque municipale. Si nous savons, enfin, que ce n’est pas de l’amiante dégradée et que cela ne fait pas particulièrement courir de risques à nos enfants et aux personnels techniques, nous souhaitons avoir de plus amples précisions quant aux actions menées en termes de désamiantage et d’information aux populations concernées» a déclaré Séverine Edou lors du dernier conseil municipal mercredi dernier en prenant l’exemple de l’école Larmeroux : «Comme vous le savez, la présence d’amiante a été détectée dans le préau de l’école (poteaux) ainsi que dans la colle du sol d’une salle destinée à l’accueil des enfants. Il en est de même dans la chaufferie et sur les allèges des fenêtres. Nous pensons que les allèges des fenêtres du bâtiment des logements de fonction en cours d’aménagement en Centre de loisir sont également concernées, or la construction d’un escalier extérieur jouxte ces fenêtres, et seul le rez-de-chaussée a fait l’objet d’un désamiantage».

    Et de la bibliothèque municipale : « Ses 600m2 de plafond contiennent de l’amiante non dégradée et protégée par de faux plafonds. Un désamiantage est-il prévu lors de sa prochaine rénovation ? Nous souhaiterions savoir si des travaux sont prévus sur l’ensemble des bâtiments municipaux concernés afin de prévenir tout risque futur de dégradation ? Si la municipalité a mis en place un plan d’information des risques à l’attention des personnels techniques intervenant dans les chaufferies ? Si des études et diagnostiques amiante ont-ils été menés avant la destruction des locaux techniques de la ville pour y construire l’école provisoire du Parc ? Nous vous remercions des réponses et précisions que vous apporterez sur ce sujet de santé publique qui engagent la responsabilité de la ville de Vanves et la vôtre en tant qu’employeur et 1er magistrat de notre commune.» a-t-elle demandée

    «S’il est vrai que la ville a été sollicitée par un même administré pour des demandes de transmission de diagnostics techniques amiante (DTA) de certains bâtiments communaux, je tiens à vous rassurer et vous assurer que la présence d’amiante dans les bâtiments est-elle en revanche connue et suivie par les services qui en ont la gestion »a assuré Pascal Vertanession maire adjoint à l’urbanisme en entrant dans les détail : «Concernant l’école Larmeroux, les allèges des fenêtres du bâtiment des logements de fonction amené à devenir le futur centre de loisirs sont dépourvus d’amiante au regard des diagnostics avant travaux réalisés. Un désamiantage a déjà été opéré suite aux diagnostics avant travaux et à la validation, par les organismes officiels compétents, du plan de retrait en découlant, conformément à la réglementation en vigueur .Pour la bibliothèque, un désamiantage est bien prévu. Il a été contractualisé dans l’appel d‘offres dédié à ces travaux (lot 1) et sera exécuté, comme explicité préalablement, conformément à la réglementation en vigueur qui s’impose» a-t-il indiqué..

    « Ensuite, sur la question de savoir si des travaux sont prévus sur l’ensemble des bâtiments municipaux concernés afin de prévenir tout risque futur de dégradation. Les matériaux amiantés repérés (matériaux de la liste B de l’annexe 13-9 du code de la santé publique) sont soumis à une recommandation d’effectuer une évaluation périodique qui consiste à contrôler périodiquement que l’état de dégradation des matériaux et produits concernés ne s’aggrave pas et, le cas échéant, que leur protection demeure en bon état de conservation sans que la réglementation n’impose de fréquence d’évaluation. Par conséquent les services de la ville se conforment à la réglementation et il n’est pas prévu d’autres opérations de désamiantage à ce jour. Concernant votre question sur le plan d’information des risques à l’attention des personnels techniques intervenant dans les chaufferies, je vous confirme que les entreprises intervenantes ont eu transmission des documents au lancement d’exécution des marchés correspondants. Enfin, concernant l’école du Parc, des diagnostics amiante avant travaux ont bien eu lieu afin de définir le périmètre qui sera soumis à la mission de désamiantage, les cahiers des charges étant en cours de rédaction par la maitrise d’ouvrage déléguée et la maitrise d’œuvre désignée pour cette opération».

  • BUDGET 2022 DE VANVES : LES SUBVENTIONS AUX ASSOCIATIONS S’ELEVENT A 964 536 €

    Le montant des subventions versées aux associations s’élévera 964 536,50 € en 2022 (1,040 184,10 € en 2021),  sachant que Vanves compte 195 associations actives sur le terrain sur 300  qui ont leur siége dans la ville. Cette aide de la ville à ces associations marque le retour après la rise à une activité riche, la ville ayant fait preuve d’indulgence après ces deux années difficiles, concernant les critéres d’attributions selon Erwan Martin, maire adjoint chargé de la vie associative

    CULTURE : 216 750 €   : Acides Animés (300),   Les Amis des Arts (150 €) ; Art Evolution : (1 000 €  ; Ateliers d’Expression : 12 000 € ;  Biblioclub 195 000 € ; Les Caractéres : 500€  ; Image Vanves (CIV) : 800 € ;  Cie Files : 200 € ; Cie des Muses (En) : 200 € ;  Compagnie l’Echaugette : 1000. Du Grain à Moudre : 200€ ; Hauts de Seine Chansons : 900 €; Impro Vanves : 300 € ; Lézards en Scéne : 400 € ; Lire et Faire Lire : 400 € ; Musici Artis Paris : 1300 € ; Œuvre Participative : 500 € ;  Orgues de Vanves: 700 € ; Les Petits Chanteurs du Val de Seine : 500 € ;  Rives Méditéranéenne : 200  €; Vanves Art &Culture : 200 €

    SPORTS : 423 080,50 € :  ASLD (Asssociation Sportive du Lycée Louis Dardenne) : 1000 €; Association Sportive Expogaph  A section féminine de football : 2500 € ; ASSEV (Association Sportive Saint Exupery de Vanves) : 5 600  €;  Arc de Seine Kayak : 200 € ; Arts Matriaix Fang : 1000 €.  Stade de Vanves : 375 000 € pour ses activités , 7800 € pour le sport de haut niveau, 14 080,50 € pour l’aide à l’administration générale ;  Comité des Médaillés de la Jeunesse et des Sports 92 (CDMJDS 92) : 100 € ;  Institut de Goryyuju Karaté Do France : 12 000 € ; UACM/UALM (Union Athlétic du collége et du lycée Michelet) : 3800 € 

    SANTE, SOCIAL, SOLIDARITE  : 14 800 €  :  ASTI : 300 € ; Balmaya : 350 € ;   La Croix d’Or (Alcool Assistance) : 250 €;  La Croix Rouge : 1000  € ;  Du Sport et Plus : 500 € ; Ecole des Sables : 300 € ; Enfance Benin :300  € ; Institut Lannelongue pour le fonctionement : 5000 €  et pour l’accueil de Jour : 5500 €;  La Licra : 200 € ; Medra : 100€. Protection civile de Vanves-Malakoff : 1000  ; Solidarité Vanves – Mali : 300  €

    ANIMATIONS ET LOISIRS : 128 400 € : Club d’échec de Vanves (200 €), Club Vanvéen de Danse Sportive (350 €) ;  La Fabrique à Brac ( 450 ); Les Généalogistes de Vanves (150) ; Grainenville (400) ; IRIS  fonctionnement (35 000) ; IRIS personnezl (90 000) ; Saint Exupery Amitiés ( 600 ) ; Mikado (150) ; Vanves Billard Club (600 €) ; Scrabble club de Vanves 150). Zeste de Zen  (350 €)

    ENFANCE ET  JEUNESSE :  : Scouts Unitaires de France (St Benoit Issy-Vanves) : 8000 ; En sortant de l’Ecole : 500 ; Randscouts et randguidesde Vanves : 400 €

    MEMOIRE : 2550 €  : AOR 92 (Association des Officiers et Militairesde Réserves des Hauts de Seine) : 200 € ; FNACA :750 € ; Société d’Entraide des Membres de la Légion d’Honneur : 450 € ; Souvenirs  Français (subvention exceptionelle pour le 60e annivrdaire du cessez-le-le feu de la guerre d’Algéri) : 200 € ; UNC : 750 €

    RESSOURCES HUMAINES : 92 000 €  : Caisse de Solidarité du Personnel communal : 92 000 € 

    SECURITE : 500 €  :  ADAVIP 92 (Association d’aides aux victimes d’infractions pénales) : 200 € ; Association Sportive et culturelle des policiers de Vanves : 200 € ; Prévention Routière : 100 €

    PETITE ENFANCE/EDUCATION  : 83 055 € : Coup de Pouce : 1500 € ;  Elphy (Jardin d’enfants)  : 45 175 € dont une aide exceptionnelle de 7000 € pour la prise en charge des loyers ;  Association Grenadine : 2717 € ; Les P’titesCanailles : 33 663 €

    VIE ECONOMIQUE : 3000 € : Challenger Club : 3000 €