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chantiers

  • DES CHANTIERS ET DES INITIATIVES DANS LE COUR HISTORIQUE DE VANVES

    Les chantiers réalisés, en cours ou à venir, ont été le théme central de cette réunion publique de quartier qui s’est déroulé lundi soir à l’hôtel de ville. La soixantaine de participants ont pu échanger avec Kevin Coster, président de ce Conseil de Quartier, à partir d’un power point présentant des photos de ces réalisations et leurs coûts.

    Parmi les réalisations : Le caniparc sadi Carnot (5000 €) avec le barrièrage de ce petit square au pied du centre administratif. Un jardin du Souvenir (Colombarium) au cimetiére (101 745 €) derrière le carré militaire avec la plantation de 11 Arbres et l’installation de bancs. L’aménagement de l’espace Sadi Carnot de la médiathèque dans l’ancienne bibliothéque à côté du théâtre qui a déjà ré-ouvert depuis quelques mois sera inauguré le 20 Novembre et vient compléter la médiathéque : Ce site est dédié à la jeunesse. La requalification des rues René Coche et Victor Basch (950 000 €) que viendront parachever les plantations, à côté de la gare dont les travaux de remodernisation ont été inauguré le 4 Octobre dernier.

    Il en est de même pour le carrefour Larmeroux/République/Marcheron, dont le chantier  (535 000 €) qui n’était pas prévu, s’est terminé en Septembre, au lieu de la Toussaint, pour le sécuriser. L’installation du mobilier urbain et les plantations sont prévus en Novembre. Quant à l’école du Parc, le bâti est terminé, les travaux intérieurs commencent.

    Parmi les chantiers programmés :

    -Le square François Mitterrand  avec la réfection de ses grilles et des murs de soubassement afin de leur donner un aspect harmonieux

    - Le carrefour de l’insurrection qui devrait être beaucoup plus végétalisé. Le département a réalisé des études sur les réseaux afin de voir quelles plantations seront adaptés

    - La rue Raymond  Marcheron dont les travaux de requalification commenceront le 4 Novembre et devraient durer dix mois avec la circulation dans un seul sens comme ce fut le cas pendant les travaux de canalisatin pendant deux mois. L’objectif  est de créer des passages surelevés aux carrefours, 9 chicanes, élargir les trottoirs lorsque c’est possible, planter des arbres (9), des massifs, jardinières ou arbustres

    - Les glacières du parc F.Pic dont les travaux de restauration devraient débuter le 4 Novembre : Il s’agit de les revaloriser, dégager les talus, réaliser des travaux intérieurs et extérieurs, avec réaménagements des abords, avec la requalification des jeux, de nouvelles plantations, massifs et pelouses

    Il est intéressant de noter que Kevin Coster a présenté les initiatives  lancées par le Conseil de Quartier notamment sur l’aspect historique avec la réalisation de panneaux rappelant l’historique du nom de certains sites comme les lavandières, le château des Condé, la voie ferrée. Il en est prévu aussi dans le parc F.Pic

  • ETONNANT CHANTIER A VANVES DANS UN CABINET DENTAIRE DE LA RUE MARCHERON, MAIS PAS TANT QUE CELA !

    Actuellement, la plupart des chantiers du BTP (Bâtiments/Travaux Publics) sont suspendus jusqu’à nouvel ordre. Pour une raison simple : « Nous n’avons pas envie d’envoyer nos salariés à l’abattoir» explique  Jean-Luc Tuffier, président de la Fédération française du bâtiment (FFB) pour le Grand Paris.  Comme ses collégues, il juge très difficile de de redémarrer à court terme les innombrables chantiers arrêtés à cause de l’épidémie de Covid-19. Ainsi tous les chantiers immobiliers de la ville de Vanves sont arrêtés par exemple, prés de la gare SNCF Vanves-Malakoff, de  l’hôtel de ville, au Clos Montholon, ainsi que celui du Grand Paris Express, notamment la future gare Fort d’Issy.Vanves/Clamart….

    Ils mettent en avant le manque de masques car les professionnels ont du mal à en trouver, alors qu’ils remuent beaucoup de terres, de poussières, et qu’il faut protéger leurs ouvrier. Le deuxiéme est une inquiétude au regard de la responsabilité qu’ils encourent sur le plan civil et pénal dans la mesure où ils craignent d’être accusé par leurs collaborateurs et leurs employés de ne pas assurer leur protection maximale. La distanciation peut être difficile dans certaines situations. Et cela concerne tant les grosses entreprises de BTP que les petites, et notamment les plombiers, électriciens, serruriers, peintres,  dont la plupart ont mis au chômage partiel leurs employés, ou simplement parce ce que leurs clients ne souhaitent qu’ils viennent assurer les chantiers dans ce contexte d’épidémie,  et se bornent aux interventions urgentes, le petit chef d’entreprise prenant lui-même sa caisse à outil pour intervenir comme en témoigne les dirigeants des Chambres consulaires (CCI et Chambre des Métiers). Et pourtant ! Rien n’interdit de maintenir des chantiers, à leurs risques et périls, et certains les prennent,  comme les artisans qui rénovent un appartement, en l’absence de ses occupants, d’un cabinet dentaire, en dehors des urgences.

    Et pourtant quelle ne fut pas la surprise des habitants de la rue Raymond Marcheron de voir le 23 Mars  des ouvriers sans casques, sans masques  intervenir dans un cabinet dentaire. Les riverains confinés dans leurs appartements ont été choqués, car « ils  toussaient sur les habitants et occupaient l’espace public en obligent les vélos/voitures à se détourner,  avec 2 à 3 camions stationnés où ils transportaient de gros débris devant les passants qui se croisaient sur un espace réduit à moins de 20 cm, ne respectant pas les distances de sécurité »  témoignait une riverain qui s’interrogeait : «Est-il normal que ce chantier ne respecte pas la règlementation en terme de sécurité sur le droit du travail ? Est-il normal que ce chantier ne respecte pas la règlementation en terme de sécurité sur le droit du travail ?» Après quelques appels à la mairie, un conciliateur s’est déplacé sans obtenir quoique ce soit  

    «Pour faire suite à votre message du 23 mars relatif aux nuisances générées par les travaux en cours à l’intérieur du cabinet dentaire sis 50, rue Raymond Marcheron, je vous informe qu’il s’agit d’un chantier privé qui ne requiert pas d’autorisation spécifique d’occupation du domaine public. Par ailleurs, les directives gouvernementales prescrivant un principe de confinement pour les personnes dont l’activité peut être assurée par télétravail, ont été précisées par l’arrêté préfectoral du 24 mars 2020 . Celui-ci n’interdit pas formellement les activités liées au bâtiment et à la construction dès lors qu’elles « sont  organisées dans le respect des mesures d’hygiène et de distanciation sociale » (art. 7) » a répondu le maire de Vanves en ajoutant : « Dans ce contexte, j’ai demandé à la Police Municipale de contrôler à nouveau ce chantier en veillant, d’une part, à ce que le stationnement des camions de chantier ne constitue pas une gêne pour le cheminement des piétons et, d’autre part, à rappeler aux ouvriers le respect des « gestes barrières ».

  • LA PHOTO DUJOUR A VANVES : DES EMBOUTEILLAGES ET DES CHANTIERS

    Premiers embouteillages sur le circuit «rues d’Issy-Gaudray-Jean Baptiste Potin » provoqués par l’inversion du sens unique de la rue Pruvot. Il faut reconnaître qu’il était difficile de circuler hier à Vanves, à cause des multiples chantiers de constructions, notamment dû à des démontages de grues, rues V.Hugo et S.Carnot, sans compter les énormes camions des chantiers des maisons de ville de S.Carnot, et de la résidence du promoteur Legendre devant la Mairie qui n’arrivent pas à se croiser dans les petites rues de Vanves, sans compter ceux qui stationnement rue Jullien comme c’était le cas hier