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logement - Page 4

  • LE MARCHE IMMOBILIER DE VANVES DANS L’ANCIEN : DES RECORDS AUTOUR DU LYCEE

    Il est intéressant de noter que le secteur sud-ouest de la ville, où se trouve le triangle d’or du Clos Montholon, proche de Clamart avec la future station du Grand Paris Express, et loin des commerces et des transports, n’intéresse pas, pour l’instant, de possibles acquéreurs en dehors des promoteurs qui font monter la pression, comme l’ont noté les professionnels de l’immobilier lors des dernières enquêtes menées par les magazines dans leur spécial immobilier. «Nos acheteurs sont des Parisiens qui ont l'habitude d'avoir une station de métro et des boutiques au pied de leur immeuble, préférent plutôt les quartiers du Plateau, du lycée, du centre Ancien» expliquaient ils concernant Vanves. Occasion de faire le point sur le marché de l’ancien aujourd’hui, et du neuf demain  

    «Jouxtant le XVéme arrondissement, Vanves est une ville discréte, niché entre les communes d’Issy et Malakoff. Moins populaire que cette dernière, elle accueille un grand nombre de parisiens et d’issisois ( ?) en quête de prix plus abordable que dans leur ville respective ou d’une pièce supplémentaire pour le même montant »lisait on dans ces magazines  qui relevaient deux phénoménes : un prix moyen au mètre carré dans l'ancien qui dépasse à peine les 6.000€ (selon MeilleursAgents.com), mais bat des records dans les rues qui longe le lycée Michelet  (6800 €/le m2 en moyenne) : une maison de 130 m2, rue Jullien ² a été vendue au prix de 1,5M€,  un 5-piéces rue V.Hugo l’a été à 888 000 €.

    Vanves fait partie des marchés immobiliers porteurs de la petite couronne. «En l'espace d'un an, les prix de la commune ont flambés de 5,5%, un point de plus que la moyenne des Hauts-de-Seine. L'une des raisons : l'existence de grandes surfaces et de maisons de ville, des atouts plutôt rares en banlieue proche. A Vanves, les appartements à partir du T3 sont très prisés par les familles, qui recherchent une résidence principale » expliquait on chez l’agence Laforêt. Dans les autres quartiers prisés, l’Express relevait un 2 piéces lumineux d’une surface de 48m2, en bon état dans un immeuble des années 50 Sur le Plateau, avec ascenseur, mais sans cave, vendu à 301 000 € (6270 €/Le m2). Dans un immeuble des années 30 rue J.BLeuzen, un 3 pîèces de caractére d’une surface de 67 m2 s’est vendu à 395 000 € (5895 € le m2)

     

    A SUIVRE

  • LOGEMENT, METROPOLE, REGION, LE MAIRE DE VANVES ET SES COLLEGUES EN PLEINE CONFUSION

    A l’occasion des questions orales qui ouvrent chaque séance du conseil régional, comme ce fut le cas, jeudi dernier, Bernard Gauducheau est intervenu au nom du groupe UDI pour faire part de l’inquiétude des maires de la petite couronne. Tout simplement parce qu’à la suite du transfert de compétences au profit de la Métropole du Grand Paris (MGP) prévu par la loi NOTRe, la Région, dépossédée de ses prérogatives en matière de logement social, a  mis un terme à la mobilisation des financements régionaux en faveur du logement familial. Comme l’avait si bien exprimé Brigitte Marsigny (LR) maire de Noisy Le Sec qui a pour dircab, unex-collaborateur du maire de Vanves, lors du dernier conseil métropolitain : « On est dans la confusion la plus totale. La Région nous dit que ced n’est plus de sa compétence, et la MGP nous dit d’attendre. Alors à qui doit s’adresser ? A L’Etat ? Cela mérite de dénouer cet enchevêtrement ! ». Patrick Olier, président de la MGP avait alors répondu qu’il souhaitait que « Valérie Pécresse se rende compte, avec ses services, qu’il faut régler cette question »  

    Du coup, Bernard Gauducheau a interpellé la présidente de Région : «Si le transfert de compétences est bien effectif depuis le 1er janvier 2017, la loi Egalité et Citoyenneté indique que la MGP ne prendra la plénitude de la compétence logement, dont le financement du logement social, qu’à la date de l’adoption du Plan métropolitain de l’habitat et de l’hébergement (PMHH) à savoir au plus tard au 31 décembre 2018. Dès lors, nous nous retrouvons dans une situation inextricable : la MGP n’est pas en situation de pouvoir prendre le relais de la Région qui, conformément à la loi, a dû arrêter son financement, laissant supposer que la compensation provienne de l’Etat. En conséquence, de nombreux organismes se retrouvent actuellement en difficultés financières du fait de la remise en cause d’opérations déjà largement engagées. En 2017, le logement social a perdu 30 M€ de financement » a-t-il expliqué. « Rappelons que l’enjeu est d’autant plus important que 55% des agréments 2016 concernent le territoire de la MGP, dont une partie devrait donner lieu à des demandes de subventions auprès du Conseil régional en 2017 » a-t-il conclu en demandant de connaître les solutions existantes pour assurer la continuité de l’intervention publique en matière de logement social pendant cette période de transition 

    Et tant Patrick Ollier que Bernard Gaducheau se sont fait renvoyé sur les roses : Comme elle l’a expliquée à plusieurs occasions, depuis le début de l’année, Valérie Pécresse a indiqué « que la Région a décidé de réorienter son action sur la Grande Couronne, car elle n’a pas à jouer les doublons de la MGP, ni à se substituer à elle si elle tarde à adpter son PMHH. C’est un choix assumé au regard du millefeuille » a répondu la présidente de Région. « Durant cette période transitoire, la Région examinera au cas par cas. Elle continuera à financer le logement des jeunes et des étudiants » a-t-elle précisé en indiquant que la Région venait de voter 4 M€ pour financer ce type de logements dans les départements Seine Saint Denis et Val de Marne. En attendant, les maires de la métropole sont bien embêtés, car ls ne savent pluscomment faire concernant les aides financières pour le logement social, les aides à a rénovation et à la réhabilitation, etc… Une nouvelle preuve que cette métropole complexifie plus qu’elle ne simplifie la vie de nos édiles

  • ROSIER ROUGE : LE CHANTIER DES RESIDENCES ETUDIANTS ET JEUNES ACTIFS DEMARRE CET ETE A LA MI AOUT A VANVES

    Le chantier de la résidence étudiante et de jeunes actifs derrière le Rosier Rouge  a été relancé ces derniers temps et devrait même démarré à partir de la Mi-Août 2016. Il a fait l’objet d’une réunion publique avec les riverains lundi soir au Rosier Rouge où Toit et Joie, maître d’œuvre  et l’architecte ont rappelé  que ce projet avait été présenté voilà 3 ans et avait déjà été modifié à la suite d’une concertation avec les riverains. « Il a fallu apporter de nouvelles modifications pour ajuster de nouveau ce projet, concernant le traitement des façades,  les panneaux solaires qui  ont été remplacés par des toitures végétalisées par exemple,  boucler son financement par les différentes collectivités, et mettre en place les conditions de sa gestion par le secours Catholique » ont ils expliqué

    Cette résidence constituée de deux bâtiments sera construit sur les terrasses derrière le bâtiment du Rosier et à l’emplacement d’un bâtiment en béton (garage) qui servait de dépôt de vêtements. Ces deux bâtiments de R+3 ou R+4  comprendront chacun une soixantaine de logements avec des salles au rez de chaussée, notamment pour accueillir une créche, avec un parking de 44 places. L’accès véhicule s’effectuera côté avenue du Général de Gaulle, résident du côté de la rue de l’Abbé Derry, avec l'accès pompiers et livraison. Les riverains de la copropriété mitoyenne du Rosier Rouge du côté de l’avenue du Général de Gaulle, se sont inquiétés des nuisances sonores notamment au niveau de l’accès parking, du remplacement des arbres qui devront être abattus, de la végétalisation de ce site, à travers de multiples questions. Mais des précisions ont été apportées avec quelques rappels  puisque l’accès parking entre cette copropriété et ses nouveaux bâtiments avait été re-travaillé avec une rampe d’accès complétement recouvert par une terrasse planté, comme c’est le cas pour le bâtiment (de la halte garderie et de la créche)  face à cette copropriété qui a été reculé de quelques mètres, donnant ainsi la possibilité de préserver les arbres auxquels tenaient les copropriétaires et même d’en planter de nouveaux.

    Le chantier devrait connaître deux phases, précédé en Juillet/Août d’un référé préventif dans  les immeubles et villas riverains, avec visite d’un expert qui fera l’état des lieux. Le chantier de démolition est prévu du 16 Août au 14 Octobre 2016 avec curage, défrichage de cette parcelle démolition de l’ancien dépôt de vêtements en béton par des pelles hydrauliques pour  croquer le béton. "On craint des massifs de béton plus  conséquent dans les fondations qui nous obligeront à utiliser des engins plus conséquents".  La phase d’évacuation des déblais devrait durer 2 semaines avec la circulation de nombreux camions, sachant que l’accès du chantier s’effectuera uniquement du côté de la rue de l’Abbé Derry, avec un homme trafic pour tout réguler.

    La construction démarrera dans la foulée pour durer 17 mois, l’entreprise générale qui en sera chargée est en cours de sélection par appel d’offres. A ce moment là, l’entrée du chantier s’effectuera côté avenue du Général de Gaulle et sa sortie coté rue abbé Derry, avec l’installation d’une grue bien sûr. Les riverains se sont inquiétés de l’installation d’une centrale à béton qui génére beaucoup de bruit comme ont pu s’en  rendre compte les habitants de la rue JB Potin sur un autre chantier. Alors qu’il y a des centrales à béton toutes proches, prés de la Seine à Issy les Moulineaux. Les responsables de Toit et Joie les ont prévenu : « Il y aura du bruit, de la poussière, des camions… «   Mais ils seront attentif au respect des horaires, de la charte que chaque entreprise du BPT menant un tel chantier signe avec la ville de Vanves, avec un référant pour l‘entreprise de construction, et une sentinelle pour les riverains du quartier