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Aménagement local - Page 14

  • REUNION PUBLIQUE SUR LES PROJETS WOODEUM (REVISITE) PORTE BRANCION ET LE PLATEAU

    «Cette réunion publique n’est pas spécialement apprécié par tous. Mais nous sommes toujours en crise sanitaire. Certains personnes ne se rendent pas aux réunions publiques (en présentiel) à cause de cela. J’ai toujours échangé en vidéo » a d’emblée déclaré Bernard Gauducheau pour justifier cette réunion via le web concernant les projets Woodeum à Vanves. «Ce qui est important, est le contexte qui concerne l’aménagement du Plateau, et notamment ces immeubles de bureau entre les rues Auguste Comte et Louis Vicat qui datent des années 70 et ont besoin d’être rénové poyr rendre ces voies publiques attractives. L’appel à projet «Inventons la Métropole» de la MGP nous a permis d’élargir ce périmétre de réflexion avec la ville de Paris sur la porte Brançion» a expliqué le maire en présentant ces jeunes entrepreneurs  «qui sont venus le voir avant d’acquérir ces immeubles de bureaux, pour présenter ce projet qui permet de valoriser ce quartier, qui a fait l’objet d’études, tant ces bureaux que cette porte entre Paris et Vanves» a-t-il ajouté en laissant Richard Drakes, son directeur de cabinet, d’animer la réunion en prenant le soin de poser tous les questions posées par une partie de la soixantaine de vanvéens présent sur le web.

    Deux projets ont ainsi, été présentés :

    Tout d’abord MOSAÏC concernant ces trois bâtiments de bureaux (26 000 m2) avec 180 m de façades entre les rues Louis Vicat et Auguste Comte  qui devraient être rénovés et étendues à 29 000 m2 dont 500 m2 à destination de commerces pour un coût de 180 M€ avec comme maître d’ouvrage Mata Capital, et architecte Philippe Chlambarreta. «Nous avons l’habitude de travailler sur de tels projets » expliquait Philippe Mageot. «On veut valoriser l’existant, en réintroduisant un lien inexistant entre ces immeubles de bureaux et son quartier, pallier à l’absence de lieux de vie, développée la végétalisation. Ce projet va libéré des espaces publics, en créant desespaces communs, avec démolition du bâtiment de restauration collective, déplacé au dernier étage avec terrasse, des commerces et services au rez-de-chaussée, rue Auguste Comte, des accés plus vastes côté rue Louis Vicat» a-t-il présenté illustré d’un power point avec plusieurs photos. Il prévoit des bureaux plus lumineux, des balcons végétalisés, une protection thermique extérieure, une façade qui reflétera la lumière sur la rue piétonne…  

    Ensuite la résidente étudiante prévue l’angle des rues Jean Bleuzen et Louis Vicat dans le cadre de l’appel à, projet «Inventons la Métropole du Grand Paris » remporté par Woodeum pour réaménager cette porte Brancion, avec cette résidence sur Vanves, mais aussi deux autres bâtiments, coté paris, au dessus du Périph : un fioer pour jeunes, et un espace sportif dont pourraient profiter les jeunes vanvéens, avec création de circulations douces, un parvis végétalisée, une sécurisation des passages piétons. «On a recrée un bâtiment arrondi (sur la photo) en réduisant son emprise avec 60 logements étudiants au lieu de 100, pour mieux végétaliser ce secteur, en plantant 30 arbres » a expliqué Cyrille Le Bichon, architecte, «avec un grand accès au rez-de-chaussée, de larges fenêtres, une toiture végétalisée, un commerce pour animer la petite place devant ». Ce bâtiment sera en structure bois massif et bénéficiera d’une conception bas carbone   

    Enfin, de nombreuses questions ont été posées sur ses deux projets qui devraient livrée fin 2024, avec un débit des travaux fin 2022 : Sur les nuisances sonores du chantier des bureaux  - « On va mettre des bâches acoustiques avec un approvisionnement côté louis Vicat » avec mise en place d’un systéme d’infos et d’une sentinelle comme c’est la cas maintenant pour tout chantier – sur la création de bureaux en pleine crise sanitaire – «On est dans un secteur dynamique bureaux, proches du Périph, ce qui intéressent beaucoup les entreprises, d’autant plus que Vanves en a besoin pour générer des services et de l’activité » - sur les installations sportives actuelles rue Louis Vicat : «Il n’esr pas question de les enlever ; On travaille à la redéfinition du Fun Park, et une relocalisation dans le quartier ,d ’espaces plus modernisés »

  • VOILA 10 ANS, L'ILOT CABOURG ETAIT INAUGURE EN GRANDE POMPE

    Enfin, voilà10 ans déjà, l’îlot Cabourg avec ses écoles, son centre de loisirs et son espace Jean Monnet (ESCAL) qui avaient ouvert à la Rentrée 2011, étaient inauguré le 15 Octobre en présence du préfet Pierre André Peynel, des députés André Santini et Pierre Christophe Baguet, du Vice président du Conseil Général Paul Subrini,  du député européen Jean Marie Cavada rejoint en cours de visite par le ministre Frédéric Lefebvre. Il est intéressant des se rappeller que cette opération a été lancée en 2003 par Bernard Gauducheau, en commençant par un coup de théâtre, en réunion publique. Ce projet qui s’étendait alors sur 9500 m2 et prévoyait  la reconstruction du groupe scolaire entre le commissariat qui devait alors déménager dans l’ancienne gendarmerie et le square Jean Monnet avec le LEP Dardenne. Entre cet établissement et le Tribunal d’Instance, sur une superficie  sur 500 m2, une centaine de logements devait être édifiés avec un parking public de 60 places.

    L’opposition accusait le maire de dilapider le patrimoine communal et de densifier alors que la Majorité expliquait que ses équipements publics seraient financés grâce à ses logements. Une association de riverains et de parents d’éléves dénommé « Ilot Cabourg » s’était tout de suite constituée pour veiller au grain, défendre leur environnement et leurs écoles, et surtout avoir un droit de regard.  Ils craignaient que ce projet confié à un promoteur, celui-ci « ne refasse Max Fourestier avec une école en rez-de-chaussée et des immeubles au-dessus ». Face à une opposition très remontée tant associative que politique, Bernard Gauducheau en Juin 2004 leur  avait  coupé l’herbe sous les pieds alors qu’elle s’apprêtait à demander l’organisation d’un référendum local -  en annonçant  que la ville gardait la maîtrise foncière totale de l’opération avec l’abandon du projet de construction de logements et d’extension du tribunal d’instance, en proposant de réfléchir à la reconstruction de l’école élémentaire derrière le Tribunal d’Instance, avec dans son prolongement, le long de la rue J.Cabourg, une salle polyvalente ou de sports de 400 m2, le déménagement du Centre de loisirs dans les bâtiments du Commissariat.  Depuis l’eau a coulé sous les ponts et Bernard Gauducheau se montre aujourd’hui intransigeant face aux oppositions contre ses projets immobiliers et notamment la tour hôtellière de Viparis contrairement à Issy les Moulineaux dont le maire a accepté de revoir la hauteur de l’hotel prévu rue du Sptembre avec modification du PLU, avalisée au dernier conseil municipal de Vanves

    Cette opération rondement menée en deux ans a fait partie des chantiers franciliens du plan de relance en 2009. Les deux écoles avaient déménagés pour la maternnellle dans les locaux de la CPAM/PMI, l’école primaire dans les bungalows du lycée Michelet, avec un service de car pour amener les écoliers de primaires de Cabourg aux bungalows situés dans le parc du lycée côté rue Michelet, les parents ayant refusé une solution « pédibus » via le parc du lycée Michelet.  La municipalité avait veillé ce que ce soit  un chantier propre surtout pendant la démolition et la construction des bâtiments, c'est-à-dire le gros œuvre. D’où des nettoyeuses-laveuses pour nettoyer la voirie, et des ouvriers dédiés au lavage des roues des camions lorsqu’ils sortaient du chantier. Enfin, limiter le bruit pour le voisinage en réduisant les travaux de nuit.

    Il n’y a pas eu trop de soucis « parce que les entreprises ont respecté les délais », quelques retards vite rattrapés par la suite, à cause des intempéries et des périodes neigeuses des deux hivers 2009 et 2010. 7 avenants au marché voté par le conseil municipal représentant 321 000 € d’augmentation (2,62%) sur le prix initial (12 232 127 €) ont permis prestations supplémentaires  : mise en place d’un anti-graffiti sur les façades, d’un arrosage automatique dans les espaces verts, d’un contrôle d’accès par badge pour les bâtiments, de mâts d’éclairage publics conforme à la charte GPSO, la réalisation d’un bassin de rétention pour conformité au rejet à l’égoût, modifications de cloisons, la mise en place de tableaux muraux des salles de classes pour polyvision, l’équipement pour cuisine pédagogique… avec des travaux complémentaires avec la réfection des « hébergés » c’est-à-dire du mur séparant cet espace de la villa Dupont, la démolition-reconstruction du local de Numéricâble, la restructuration du plancher du rez-de-chaussée de l’ancien commissariat, la réalisation d’un voile de souténement en paroi projeté entre la rue J.Cabourg et le local transformateur ERDF, la dépose, l’évacuation et le traitement du transformateur à pyraléne situé dans l’ancien commissariat (15 500 €) etc…. et surtout le ravalement du tribunal d’instance qui s’est terminé les derniers jours précédant l’inauguration.

  • ENTREE DE VILLE : A VANVES LES PROJETS DE TOUR HOTELIERE ET WOODEUM EN PANNE, A MALAKOFF, LA ZAC AVANCE

    Après le report du projet de révision du PLU pour permettre la construction d’une tour hôtelière porte de la Plaine face à l’hôtel Mercure par GPSO, un projet Woodeum inscrit l’appel à projet «Inventez la MGP» en panne, porte Brançion, le seul projet qui avance aux portes de Paris est celui de «la porte Malakoff » à la porte de Vanves grâce à une équipe municipale conduite à Jacqueline Belhomme (FG/PC) qui a souhaité garder la main sur le réaménagement de son entrée de ville après le départ de l’INSEE. Même si l’Etat a changé son fusil d’épaule en souhaitant y installer le ministére des affaires sociales après avoir tervigésé

    Vallée Sud Grand Pari , l’interco similaire de GPSO,  qui regroupe des villes comme Malakoff, Fonteny aux Roses Clamart, Bagneux,  vient de voter en faveur d'une demande de concertation avec l'Etat sur le projet de Grand site de l'Administration centrale à Malakoff sur le terrain des anciens locaux de l’Insee, prés de la porte de Vanves (future porte de Malakoff)  L’Etat souhaite y installer le futur  Ministère des Affaires sociales regroupant la Santé, le Travail et les Sports avance.  En octobre 2020, l’État avait émis une déclaration d’intention relative à sa construction sur un terrain de la ZAC dont il est propriétaire.  Jacqueline Belhomme (FG/PC) maire de Malakoff souhaite cependant organiser une nouvelle concertation publique. Lors de du dernier conseil de territoire de Vallée Sud Grand Paris, ses élus ont délibéré en faveur de «l’exercice du droit d’initiative, en application du Code de l’environnement». Jean-Didier Berger, son président et maire Clamart va ainsi saisir l’État pour demander cette concertation. «Demander une concertation préalable à l’État, c’est notre droit. Ce que nous propose l’État en terme de projet n’est pas tout à fait ce que la population de Malakoff avait en amont défini»

    Dès 2017, une concertation avec les habitants de Malakoff a déjà eu lieu : «Quand l’Insee est partie sur Montrouge en 2015, l’État voulait vendre. Malakoff a tout de suite déterminé un périmètre d’étude sur ce triangle. On a saisi cette opportunité pour redessiner notre entrée de ville et décidé de faire un projet qui correspondrait au mieux à la population» explique Jacqueline Belhomme. Pendant six mois, la mairie a organisé des balades de quartiers, des ateliers participatifs, des réunions publiques et une enquête téléphonique, auxquels ont participé certains vanvéens. Le projet envisagé a été présenté dans une enquête publique fin 2019 pour la création d’une zone d’aménagement concerté (ZAC). «Depuis, l'État a décidé de revenir sur ce terrain qui lui appartient. Il est passé en force, parce qu'il a lui-même fait une déclaration de projet alors que nous avions déjà fait la création de notre ZAC, écrasant notre PLU par la même occasion» explique-t-elle en prenant acte et en  ne s’opposant pas à la construction du futur ministère, mais elle souhaite toutefois consulter les habitants : «Nous avons le droit de demander cette concertation de la population et nous avons bien l’intention de l’obtenir». Un ensemble comportant une école, un équipement polyvalent à dimension culturelle, un équipement sportif et des bureaux sont prévu sur le périmètre d’aménagement de la ZAC