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  • VANVES DANS L’ACTUALITE BRULANTE

    MOBILISATION POUR VENIR EN AIDE AU MAROC

    A l’exemple de nombreuses collectivités franciliennes, Vanves s’est mobilisé suite au séisme meurtrier qui a touché le Maroc voilà maintenant presque une semaine, son maire ayant réagi sur les réseaux sociaux apportant « son total soutien à nos amis marocains » et en ayant « une pensée particulière pour tous les Vanvéens ayant un lien particulier avec le Maroc » D’autant plus que des vanvéens étaient encore là bas en famille pour les vacances comme ce commerçant de la rue Victor Hugo qui y séjourne régulièrement - qui a donné des nouvelles rassurantes à ses voisins -  ou ont des proches là bas comme Vanv’En Poup place du Val (De Lattre de Tassigny) qui s‘est mobilisé de son côté.  À l’initiative de l'association vanvéenne Tous Ensemble, et en partenariat avec la Ville, une collecte de dons de matériels et financiers est organisée. La ville indiquait que l’espace Jean Monnet et l'espace Albert Gazier accueillent les Vanvéens désireux d’apporter leurs dons.

    La Métropole du Grand Paris dont fait partie Vanves devrait voter lors de son Bureau le 2 Octobre et de son conseil métropolitain le 12, une aide de 500 000 €. «Notre Métropole s’honorerait ainsi de soutenir le peuple marocain dans cette épreuve » a déclaré Patrick Ollier son  président. La Ville de Paris s'est engagé le 11 Septembre  à verser 500 000 € à l'Association internationale des Maires Francophones  (AIMF) afin que celle-ci puisse venir en aide aux régions sinistrées et à leurs habitants, et de répondre à leurs besoins immédiats, tout en accompagnant la reconstruction des collectivités touchées, en particulier Marrakech, membre du Bureau de l'AIMF. En complément de cette aide exceptionnelle, la Ville de Paris a invité tous les Parisiens qui souhaitent participer à l'acheminement d'une aide d'urgence à la population marocaine à faire un don aux associations et organisations humanitaires.

    Dans le cadre des relations d’amitié franco-marocaines, les sept Services publics urbains du Grand Paris auquel adhère vanves, comme le SEDIF présidé par André Santini, ont annoncés qu’ils se tiennent à la disposition des autorités marocaines et de leurs partenaires qui auront la responsabilité importante de la reconstruction : « Au-delà de l’assistance immédiate requise dans le cadre de la gestion de l’urgence, l’expertise de chacun de nos syndicats pourra également être apportée au long des différentes étapes de la reconstruction que ce soit en: eau potable, assainissement, traitement et valorisation des déchets, fourniture en gaz, en énergie électrique, photovoltaïque et solaire, réseaux numériques, soutien à l’étiage et prévention des inondations»

    TOURNAGE A COTE DE VANVES DE «DE GAULLE»

    Les riverains comme les piétions ou les automobilistes qui empruntent la rue du Septembre (sur la photo), ont été surpris au début de la semaine par la neutralisation des places de stationnement pour permettre à une floppée de camions de tournages  de pouvoir stationner depuis mercredi. Car les équipes de tournage de «France libre », titre provisoire donné au biopic sur le général de Gaulle, s’étaient installé dans la copropriété Matrat-Voisembert pour tourner quelques scénes dans un appartement , après avoir aussi tourné dans paris, notamment placedu Panthéon. A priori, le film sortira sur grand écran d’ici 2025. Et suivra la vie et l’engagement politique de De Gaulle entre 1940 et 1945, en retraçant son évolution vers une carrière politique. Le général de Gaulle est  incarné par l’acteur français Simon Abkarian.. Le film est réalisé par Antonin Baudry

  • UNE RENTREE A VANVES MARQUEE PAR LE RETOUR DU COVID ET D’UNE CERTAINE CRAINTE

    La rentrée  à Vanves et en Ile de France, est marquée par le retour sur le devant de la scéne du Covid-19. L’auteur du blog s’en est même aperçu, lors d’un dimanche d’Août lorsque se promenant parc F .Pic,  où il fut témoin d’un échange assez vif mais courtois entre  un jeune homme qui  voulant s’asseoir sur l’un des bancs des ses allées bien ombragée à côté d’une dame bouquinant un livre, lui demanda si cela ne la gênait pas, s’entendit répondre. « Vous ne pouvez pas rester là. Le covid est de retour. D’ailleurs vous ne n’avez pas de masque ! ». C’était quelques jours après les premières informations faisant état d’une légére recrudescence de l’épidémie qui manifestement terrorisait certains d’entre nous. Il ne put s’empêcher, en se levant du banc, de lui faire remarquer qu’elle ne portait pas de masque, ce qui n’était pas très prudent de sa part… 

    Il est vrai qu’au 30 août, Santé Publique France relevait 2081 cas, soit 916 de plus par rapport aux résultats enregistrés 15 jours avant en Ile de France. Le nombre de passages aux urgences pour suspicion de Covid était, lui aussi, en hausse, avec 518 cas enregistrés contre 282 il y a trois semaines. La situation actuelle n’est pas une surprise pour les observateurs de l’épidémie. Depuis trois ans maintenant, le même scénario se répète. « On a une circulation qui reste élevée, avec des vagues qui démarrent généralement au mois d’aout et s’accélèrent à la rentrée, à la faveur des contacts qui se font dans le monde professionnel et scolaire, où les contacts entre les individus se font plus fréquents » analysait un épidémiologiste  dans les médias.

    Les températures élevées enregistrées actuellement dans la région peuvent également avoir un impact sur la propagation de l’épidémie. «Avec les fortes chaleurs, on a tendance à se calfeutrer, à fermer les fenêtre pour ne pas laisser entrer la chaleur. Ça peut favoriser la transmission», détaillait il. D’autant plus chez ceux qui ont l’air conditionné

    Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau  qui dirigé l’ARS (agence Régionale  de Santé) d’Ile de France, pendant la crise sanitaire, estimait que  « le rebond de l’épidémie n’était pas particuliérement inquiétant » ajoutant qu’aujourd’hui, « l’OMS n’émet pas d’alerte ». Mais la situation reste à surveiller. « Si on se place du point de vue de la saturation des hôpitaux, la situation n’est pas inquiétante. Du point de vue des nouvelles infections et des risques qu’elles supposent, c’est plus inquiétant. On a toujours des grosses incertitudes sur les conséquences à moyen ou à long terme d’une contamination. Même si c’est difficile à ce stade de bien évaluer cette littérature, des études tendent à montrer que le virus peut augmenter le risque de développer un certain nombre de pathologies chroniques après l’avoir contracté, comme le diabète. Être infecté, même si vous êtes vacciné, ne vous protège pas totalement de développer un Covid long ou qui évolue plus tard en une maladie chronique. La meilleure façon d’éviter ça, c’est encore de ne pas être contaminé » expliquait l’épidémiologiste

    À l’heure actuelle, le suivi de l’épidémie s’effectue essentiellement par le biais des résultats de tests PCR et antigéniques. Le nombre de cas relevé est sous-estimé par rapport au nombre réel de contaminations, parfois asymptomatiques. Et c’est le sous-variant d’Omicron, EG5, aussi appelé Eris, qui est le plus répandu sur le territoire national. « Il est plus transmissible, c’est pour ça que c’est lui qui domine. Il n’y a pas de données particulièrement inquiétantes sur sa dangerosité. A priori, le nouveau vaccin qui va arriver devrait être efficace pour le contrer » indique l’épidémiologiste.

    Pour éviter la circulation du Covid-19, les moyens sont désormais bien connus, à travers les gestes barrières et le port du masque. Mais la prévention passe aussi par l‘adaptation des bâtiments contenant du public. « Il faudrait améliorer la qualité de l’air intérieure dans les lieux comme les crèches, les écoles, les hôpitaux, les lieux de soins… Les contaminations étant favorisées dans les lieux clos, le développement de purificateur d’air dans ces structures devrait être une priorité publique », estime-t-il. Des aménagements ont déjà été mis en œuvre dans notamment dans 300 lycées franciliens qui disposent de purificateurs d’air grâce une aide financière de la région en 2022. Mais dans la plupart des cas, la principale solution à privilégier en attendant de nouveaux équipements est le masque bien sûr comme le conseillait cette vanvéenne

  • VANVES DANS LE CREUX DE l’OREILLE

     RENTREE PASTORALE POUR LE PERE CURE XAVIER SCHELTER

    « L’année pastorale 2023-2024 sera l’occasion pour toute l’église et de par le monde de préparer le jubilé de l’incarnation de 2025. Etre chrétien consiste à suivre et à imiter le Christ. Or cela fera 2025 ans que Jésus est venu sur la terre. Nous préparoons cet anniversaire avec tous les autres chrétiens » écrivait le pére-curé de Vanves, Xavier Schelter,  dans l’éditorial du premier numéro de Sel et lumière où il souhaitait la bienvenue au nouveau foyer d’accueil à Saint François d’Assise, Marie-caroline, Raphaël et leur enfants  qui prennent leurs fonctions pour trois ans, au père Pierre Molinié jésuite de la Communauté de Vanves « qui viendra régulièrement assurer des services dans nos églises » auprès des péres Elom Gayibor, Antoine Rouleau qui assurent avec lui, le ministére presbytéral auprés des vanvéens.

    RENTREE CHEZ LES SOEURS BENDICTINES SOUS LE SIGNE DE LA MUSIQUE SACREE

    Après l’inauguration du nouvel orgue restauré du prieuré Saint Bathlide, voilà prés un an, un projet a mûri et sera présenté à l’occasion des JEP, le Centre de Musique et d’Art Sacré Sainte-Bathilde, par  Loïc de Lacombe, Maître du Chœur des Petits Chanteurs du Val de Seine et titulaire des Orgues de la paroisse de Vanves (sur la photo). «La présence d’une communauté qui célèbre, celle du Chœur qui travaille, la restauration de l’Orgue, l’espace libéré dans nos locaux suite à la réorganisation de l’AIM, la beauté de ce lieu pendant l’exposition du Centenaire, a permis de faire fructifier les dons reçus pour aboutir à  ce projet. Nous avons écouté les réalités présentes, l’Esprit et les amis interpelés et nous avons créé une Association pour porter ce projet. Elle est née le 30 novembre, et déclarée au JO le 6 décembre. Nous sommes à pied d’œuvre pour lui donner vie ! » annoncent les Sœurs Bénédictines sur leur site Internet. Une première manfistation est prévu le week-end des 11-12 Novembre  avec une « Pause Psaumes » animé par Marie Dominique Pacqueteau et Sr Marie Madeleine Caseau, avec des exercices detenue desouffle etde voix pour chanter libremet, avec chant et écoute de psaumes