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  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES : UNE VANVEENNE EXPLIQUE POURQUOI LE CLIMAT EST L’OUBLIE DE LA CAMPAGNE

    A L’occasion d’un dossier du quotidien Le Monde sur «le climat l’oublié de la présidentielle», une vanvéenne s’est exprimée au travers d’un interview sur «l’écologie (qui) reste traitée comme une question de second ordre» : Lucile Schmid, vice présidente du think tank La Fabrique écologique, ex-conseillère municipale et candidate PS et EELV aux élections législatives dans la 10e circonscription des Hauts de Seine (Issy-Vanves). Le Monde lui demandait de réagir sur son enquête qui montrait que «même si 94%des français estiment que le déréglement climatique est un enjeu capital, le débat public fait l’impasse sur le sujet « car la plupart des candidats esquivent ce théme » que «le climat n’intéresse pas les journalistes politiques, trop technique, anxiogéne…  Ils sont autant dans le déni que les candidats »

    « Au cours des derniers mois, le débat sur le sujet a été assez pauvre. Les discussions ont été notamment portés sur la production électrique et la chasse qui sont des sujets importants mais qui ne correspondent pas à l’ampleur des enjeux qui sont devant nous. L’écologie reste traitée comme une question de second ordre » expliquait elle dans le Monde du 18 Février en y mettant un  bémol : Le discours du président à Belfort le 11 Février «qui a toutefois eu le mérite de montrer qu’il n’existe par un seul modèle pour articuler l’urgence  écologique au projet de société. Cela arrive par le biais du nucléaire, mais le «presque candidat » s’est tout de même positionné en mettant en avant un projet baésue la fierté nationale, le réindustrialisation, la poursuite de la croissance et la technologie. D’autres candidats comme Yannick Jadot, par exemple, portent clairement un autre discours, axé plus sur la sobriété. Ceci dit, il y a tout de même une focalisation sur le nucléaire, et l’énergie, alors que les enjeux écologiques sont bien plus complexes» explique-t-elle en souhaitant parler plus d’aménagement du territoire interactions entre biodiversité et climat, des enjeux de la protection de la nature, de la place de la croissance et des technologies, ainsi que du financement

    Lucile Schmid a son explication sur cette absence de positionnement des candidats : « Ils  semblent tétaniser par la crainte de de voir se reproduire un nouvel épisode des «Gilets jaunes »… Ils peinent surtout à trouver une mesure de transformation écologique qui puisse convaincre la majorité de l’opinion : Les proposition restent très ségmentées sur le vélo, l’alimentation, l’agriculture… Seul le choix énergétique permet peut être de rassembler, au moins, une importante minorité » explique-t-elle en jugeant que « concernant l’écologie, il faut accepter de ne pas tut connaître, d’explorer. Il faudrait promouvoir le tatônnement politique plutôt que la certitude permanente, accepter une autre relation au savoir ». A ses yeux  «les médias ont un rôle déterminant pour structurer le débat. Installer de la profondeur, introduire de la nuance, décrire les horizons possibles… mais de nombreux sont soumis sans ce sceau court terme et à l’audience. Il est nécessaire d’imaginer de nouveaux espaces et des formats différents, notamment à la télévision…Il faut peut être envisager le journalisme politique autrement, élargir les angles et sortir de lac description stricto sensu des mœurs politiques »

  • UNE EVICION BETE, STUPIDE, RARE ET SECTAIRE A VANVES DANS UN CONSEIL DE QUARTIER

    Evenement très rare à Vanves pour être noté dans les annales : Un membre d’une instance participative a été démissionné par lettre recommandée par un maire adjoint de Vanves. Il s’agit de Guillaume Benhamou, membre du conseil de quartier du centre Saint Remy.

    Il est vrai qu’il a été absent à des réunions plusieurs fois et non excusées, et que le réglement intérieur des Conseils de Quartier le prévoit en cas d’absence répétée (Article 4.1 du Règlement Intérieur) comme l’a expliqué Kevin Cortes maire adjoint et président du Conseil de Quartier du Centre Saint Remy,  dans un courrier daté du 17 Février, envoyé en recommandé. Dans les annales de l’histoire des Conseils de quartier depuis leur création lors du mandat du maire socialiste Guy Janvier (1995-2001). cela doit bien être la première fois. Car généralement dans ces instances consultatives, les absences répétées ne sont pas sanctionnées, sachant que la présence des membres s’éffiloche au fil du temps, sans avoir besoin de l’acter par un tel courrier

    Mais manque de pot pour la municipalité, cette décision touche un vanvéen handicapé physique qui se déplace en fauteuil, et qu’elle a sollicitée, par  ailleurs, ans le même temps, pour tester ces aménagements rendant accessible certains bâtiments comme ce fut le cas ses derniers jours pour les accès de l’église Saint Remy réaménagés.

    Mais comme le note l’intéressé, l’adjoint au maire concerné n’a même pas pris contact avec lui pour l’informer,  ni tout autre personne de la mairie pour le prévenir, alors qu’il rencontre certains élus  lorsqu’il se rend chaque samedi au marché. A croire qu’il a été évincé parce qu’il a soutenue une liste concurrente à la majorité municipale aux dernières élections municipales. Il a d’ailleurs remarqué, comme beaucoup de vanvéens, que les élus de la majorité municipale n’adressent jamais la parole à ses opposants. Ils ignorent le dialogue républicain et citoyen dans une attitude particulièrement sectaire qui en choque beaucoup..

    D’ailleurs, c’est peut être à cause de cette attitude que ses interlocuteurs auraient ainsi pu prendre conscience, comme il s’en est confié à quelques amis, qu’il passe par des hauts et des bas en fonction de sa santé, de son traitement, pas toujours facile à vivre, pesant sur son moral, à certains moments qui le découragent, et le recroquevillent chez lui. Mais il est vrai qu’au sein de la municipalité, beaucoup ne sont pas très, comme on dit, « fute fute »

    Car Guillaume Benhamou, pour ceux qui le connaissent bien, est un hyperactif, que l’handicap, le fauteuil n’empêche pas d’agir pour les autres. N’a-t-il pas été nommé au conseil national consultatif des personnes handicapées mis en place par Sophie Cluzel, ministre des personnes handicapés voilà 3 ans, présidé la Jeune Chambre Economique de GPSO, écrit un livre… Mais comme beaucoup de Vanvéens qui ont siégé dans les conseils de quartier ou au fameux conseil Economique social et environnemental local de Vanves (CESEL), il s’est rendu compte qu’ils ne servaient à rien, véritables chambres d’enregistrement des décisions de la majorité municipale, sans disposer de véritables moyens financiers, et voyant tout projet présenté par des opposants, rejetés, à tel point que les membres d‘une commission du CESEL avaient démissionné lors du précédent mandat

  • VANVES A ECHAPPE A LA PARALYSIE, MAIS PAS AU GALERE DES TRANSPORTS

    Les  vanvéens comme les franciliens ont été confrontés vendredi à une grève de la RATP pour les salaires, la première massive depuis le début de la pandémie, mais Paris n'a pas été paralysée dans la matinée, malgré des bouchons importants sur les routes franciliennes.

    La direction de la RATP a compté vendredi matin «moins d'un quart de grévistes dans l'entreprise, très concentrés sur les métiers de la conduite». Les usagers franciliens ont dû s'adapter, mais ont paru en mesure d'éviter les galères, grâce à la marche, un changement de mode de transport (vélo, trottinette...), ou d'itinéraires…jusqu’au télétravail recommandée tant par la RATP que par Ile de France Mobilités et le ministre des transports Djebbari. Cette option a visiblement été suivie par nombre de Franciliens. Ce qui a permis à ceux qui devaient vraiment se déplacer de respirer un peu.  Les vanvéens usagers de la ligne 12 qui devait être totalement fermées, ont eu de la chance, car elle était finalement en partie ouvertes. Mais les RER, tramways et autobus ont été aussi perturbés. La situation gardait un arrière-goût de la dernière grande grève d'ampleur contre la réforme des retraites, fin 2019, juste avant la pandémie et l'entrée massive du télétravail dans la vie des salariés.

    «Aujourd'hui, c'est plus de 5 millions de voyageurs qui sont pris en otage, des commerces et des services désertés. Attention à ce que la capitale ne finisse par être perçue comme une ville où il est de plus en plus difficile de vivre, de travailler et de se déplacer en toute liberté», s'est plaint Bernard Cohen-Hadad, président de la CPME Paris Ile de France qui regrettait la grève massive du 18 février à la RATP, un mouvement social qui pénalise lourdement les chefs de TPE-PME, leurs collaborateurs, leurs fournisseurs et leurs clients à Paris et en ile de France, alors que les TPE-PME ne peuvent s’offrir le luxe d’un nouveau «stop and go» : «La grève massive à la RATP est d’autant plus nuisible qu’elle est particulièrement antisolidaire et inopportune. Une grève antisolidaire car décidée par une seule catégorie de travailleurs pour une seule catégorie de travailleurs, aux dépens de tous les autres Franciliens, qu’il s’agisse des travailleurs, qui ne peuvent pas tous télétravailler, ou des vacanciers, au premier jour de leurs vacances d’hiver et d’éventuels départs. Une grève inopportune car décidée à peine les restrictions sanitaires levées, alors que l’économie francilienne repart moins vite que les autres régions en raison de sa spécialisation économiques dans des secteurs qui peinent à sortir de la crise (tourisme international, culture, événementiel) et après que les acteurs économiques franciliens ont déjà subi les externalités négatives des gilets jaunes, des grèves dans les transports de 2019-2020 et de deux années de crise sanitaire».

    «Il y a une forme de grève réflexe que, moi, je ne comprends pas» a pour sa part réagi le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, sur BFMTV et RMC, qui  a déploré le timing de la grève, au moment où les Français «aspirent à partir en vacances » et peuvent « retourner sur leur lieu de travail » Aux grévistes qui disent ne pas être entendus par la direction sur les salaires, il a fait valoir qu'« il y a un dialogue social » et que « des choses ont été mises sur la table par la SNCF et la RATP », avec des mesures fortes pour les salaires.  Il a fait valoir «qu'une augmentation des salaires en moyenne de 2,7 % (en 2022 comme proposé par la direction de la RATP), c’est supérieur à ce que constatent beaucoup des Français sur leurs fiches de paie», et qu'« une partie importante des salariés auront une augmentation supérieure à ça, parce qu’ils ont de l’ancienneté ou des fonctions plus exposées» a fait remarquer cet élu vanvéen.