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  • VANVES ET LE GRAND PARIS EXPRESS : DES EMPLOIS D’INSERTION SUR LE CHANTIER

    Depuis le ripage de l’immmense dalle de béton sous les voies SNCF-Transilien au niveau de la gare de Clamart, à la mi-Août, les ouvriers creusent à l’abri de la dalle de couverture, pour libérer l’espace souterrain, mettant en place progressivement des grands tubes métalliques – appelés butons –  pour soutenir les parois moulées pendant la phase de creusement. Il est intéressant de noter à cette occasion, que ce chantier emploie des personnes en insertion 

    Pendant ce temps là, la Société du Grand Paris  (SGP)signe avec les collectivités locales, concernées par ce vaste chantier des  conventions de partenariat pour le développement de l’emploi dans les territoires intercommunaux traversés par le Grand Paris Express, comme ce fut le cas récemment avec la ville de Clamart et l’EPT  Vallée Sud Grand Paris. Elles visent à soutenir les initiatives des collectivités pour mettre en relation les entreprises et personnes en recherche d’emploi et faciliter les contacts entre les entreprises et les PME locales.  Elles permettent de traduire les engagements de la SGP en faveur de l’insertion et de l’accès à l’emploi. Elle demande à tous les attributaires de ses marchés de dédier un minimum de 5 % des heures de travail aux personnes en insertion (demandeurs d’emplois de longue durée, allocataires du RSA, jeunes non diplômé, etc…). Elle a également inscrit dans les marchés de construction du nouveau métro une part minimale de 20 % exécutée par des PME, en co-traitance ou en sous-traitance. « Cette réalité est déjà concrète sur les chantiers. Par exemple, 12 personnes en insertion ont déjà travaillé sur le chantier de la gare Fort d’Issy — Vanves — Clamart depuis le début des travaux, représentant plus de 8700 heures d’insertion, sur les 15 000 prévues par le marché attribué au groupement constitué de Bouygues Travaux Publics et Soletanche Bachy» a indiqué Philippe Yvin, président du directoire de la SGP. 51 personnes en insertion ont été employées depuis le début des travaux sur les chantiers de la ligne 15 Sud.  La moitié de ces personnes sont des jeunes de moins de 26 ans qui occupent des postes comme agent d’entretien, documentaliste, assistant de gestion ou encore ouvrier d’exécution. Ce groupement s’est aussi engagé à faire exécuter 185 M€ de prestation à des PME et 22 M€, soit 11% des engagements, sont déjà lancés à cette date.

    Les marchés de génie civil attribués pour la réalisation de la ligne 15 Sud représentent au total 1,1 million d’heures en insertion, soit 600 équivalent temps plein annuels. Lorsque les travaux de génie civil tourneront à plein régime, courant 2018, plus de 5000 salariés seront employés au même moment pour la construction de la ligne 15 Sud. «En matière d’insertion, toutes les sociétés ayant commencé les travaux respectent ou dépassent l’engagement de 5 % des heures travaillées dédiées à l’insertion. 106 contrats de travail sont déjà en cours d’exécution pour les cinq premiers des huit lots de génie civil de la ligne 15 Sud. Parmi ces contrats d’insertion, un tiers concerne des jeunes, un autre tiers des bénéficiaires du RSA et le dernier tiers des chômeurs de longue durée. Les huit lots de génie-civil de la ligne 15 Sud représentent 3,7 milliards d’euros. Sur ce montant, 20 % ont été attribués à des PME, conformément à l’objectif fixé par la SGP. 163 PME sont déjà mobilisées sur les chantiers. Un chiffre en phase avec l’ambition de la SGP de faire bénéficier les PME d’au moins 20 % de ses commandes» indique t-il.

     

  • CESE DE VANVES (suite) : LORSQUE SES MEMBRES NE DECIDENT PAS DE DEMISSIONNER, ILS REFUSENT DE PRESENTER LEUR RAPPORT

    La situation devient ubuesque au CESEV (Conseil Economique, social, environnemental de Vanves). La commission développement durable et solidarité a remis son rapport sur « les déplacements à Vanves » sur lequel elle a travaillé avec la commission « espace public », mais les membres de cette dernière qui  ont démissionné  en Juin, pour cause de rétention d’informations et manque de concertation, n’étaient pas présent. Mais ce n’est guère mieux pour la commission Economie et Prospective qui a planché sur le thème   « Quels arbitrages budgétaires pour la ville de Vanves ». Celle-ci n’a pas présenté son rapport remis depuis des mois à la municipalité lors de la séace plénière de jeudi dernier, et tant son président que ses membres étaient absents malgré les appels répétitifs et insistant du président du CESEV.  

    Elle avait été saisie de deux sujets : « Quels arbitrages budgétaires pour la ville ? » et « L’approche prospective des besoins en commerces de proximité au niveau local ». Elle avait  travaillé surtout sur le premier point, recueilli de l'information disponible,  facilitée auprès de services ouverts et disponibles, lui permettant de proposer des pistes possibles pour approfondir son travail et orienter ses avis. Le Rapport mis en forme entre  l'été  et l’automne 2016, a été remis à la présidence du CESEV en janvier 2017, avec 17 propositions d’actions à approfondir, ses membres précisant dans ce rapport : « Il incombera par la suite à M. le Maire de saisir la Commission sur une ou plusieurs des propositions à étudier et à approfondir en fonction de leur pertinence et leur priorité pour la Ville de Vanves ». Mais voilà, huit jours avant la séance plénière du 19 octobre 2017, au cours d'une réunion peu courue en raison d'une fixation tardive de la date et du certain sentiment d'inutilité, les pistes proposées ont été les unes après les autres écartées pour diverses raisons par la municipalité. Il est dès lors paru, à de nombreux membres de cette commission, tout d'abord inutile de présenter un rapport en séance plénière et dans une certaine mesure de s'y rendre, ensuite, insatisfaisant de poursuivre des travaux sur des sujets considérés comme inutiles ou voués à un barrage à priori du fait politique ou des compétences territoriales. « Cela est fort dommageable. Si les choix ne relèvent naturellement pas du CESEV, ses apports en réflexion, sans questionner la technicité des fonctionnaires territoriaux, pourraient bénéficier en pertinence le politique en tous lieux de décision. On peut s'interroger sur les raisons de la mise en place du CESEV, phénomène de mode ou plagiat d'un ancien projet de ville concurrent. Accessoirement, sur la réelle volonté d'en faire un lieu de réflexion et proposition citoyenne» constatait l’un de ses membres.

     

  • FOOTBALL : ST CLOUD BAT VANVES 2 A 0

    « Une défaite logique sur le terrain du leader. Ce match a été disputé sur une pelouse rendue glissante par la pluie, nos joueurs n'ayant pas prévu les chaussures adaptées pour cette surface. Ceci étant à la mi-temps le score de 0/0 est plutôt flatteur. En seconde période les coachs ont fait des réajustements, mais nos adversaires habitués à cette surface prennent l'avantage, puis un second but clôture la marque» témoigne Jean Claude Vignal, président de la section football du Stade de Vanves. Pendant ce temps là, l’équipe réserve jouait pour la première fois sur le terrain d’honneur synthétique (sur la photo), l’équipe première devant l’inaugurer après la trêve des vacances de la Toussaint, avec un match à domicile le 12 novembre prochain