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  • UN ETRANGE ET EXPRESS CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES D’ENTRE DEUX TOURS D’ELECTION

    C’est un étrange conseil municipal d’entre deux tours qui s’est déroulé, mercredi soir,  à Vanves, pour la première fois, alors qu’il n’y avait aucune urgence que la date limite du 31 Mars. Toute collectivité locale doit avoir voté son budget avant cette date là. Vanves aurait très bien pu le faire le 30 ou le 31 Mars, d’autant plus que les élus s'asbtiennent de tenir une telle assemblée dans une période aussi chaude qu’une campagne électorale, pour éviter les invectives, les déclarations à l’emporte pièces…. Heureusement, il n’en a rien été. Ce conseil municipal de Mercredi soir a été d’un calme étonnant, presque aussi monotone que cette campagne électorale, sans questions orales, ni échanges vifs, ni même allusion d’un côté ou de l’autre de l’échiquier politique local. A croire que tout le monde, et tous les conseillers municipaux étaient présents, avait autre chose en tête ce soir là. Le Blog Vanves Au Quotidien reviendra, la semaine prochaine,  sur le débat budgétaire où il a été beaucoup question d’économies, et les différents points de l’ordre du jour. Il a d’ailleurs débuté par  une présentation du projet de la gare Fort d’Issy-Vanves-Clamart du futur métro automatique Grand Paris Express qui aurait pu rallonger les débats comme tout le monde s’y attendait. Il  a suscité quelques questions de la part de deux élus vanvéens, mais sans rallonger un Conseil qui s’est terminé à 21H50.

    LA GARE FORT D’ISSY-VANVES-CLAMART EST  SUR LES RAILS

    Le projet de la  gare« Fort d’Issy-Vanves-Clamart » du GPE (Grand Paris Express) est sur les rails. «  A l’origine, elle n’était pas prévue. Grâce la mobilisation des élus, elle a été inscrite. Elle sera la première à sortir de terre. ON entre dans la phase opérationnelle. Il me semblait important que l’assemblée communale soit informée » a déclaré Bernard Gauducheau en laissant la parole à deux représentants de la Société du Grand Paris. Cette gare est donc l’une des 22 prévues sur le tracé de cette ligne 15 Rouge Sud qui desservira 22 communes sur 4 départements entre Sévres Noisy-Champs.

    Elle est  entrée dans une nouvelle phase de réalisation avec le début des travaux préparatoires avec les opérations de déviations des réseaux souterrains existants (gaz, électricité, télécom, eau…) réalisés par les concessionnaires  à partir  de la fin Avril. Ils doivent préparer les travaux de génie civil qui commenceront début 2016, tout en permettant de reconnaître le terrain pour parfaire les méthodes de construction, afin de permettre aux équipes d’ajuster le dimensionnement des ouvrages (tunnel, gares, puits de travail) et d’adapter les méthodes constructives. Ses travaux préparatoires qui investissent l’espace public, et engendreront quelques perturbations, ont fait l’objet d’une charte d’engagement des travaux préparatoire le 8 Décembre dernier. « Il s’agit d’en faire un chantier exemplaire de matière de sécurité et de protection de l’environnement. Les engagements qui portent sur la limitation des cheminements encombrés, du bruit, des salissures, des manœuvres d’engins et du désordre visuel, traduisent la grande vigilance portée à la qualité de la vie quotidienne des habitants et des riverains des chantiers »  explique t-on à la SGP.

     

    UN CHANTIER SPECTACULAIRE EN AOUT 2017

    Le Timing du chantier est très serré car la SGP a un rendez-vous très important avec Transilien/SNCF exactement les 16 et 17  Août 2017 lorsqu’il s’agira d’installer le plafond de la gare à « découvert ». Un des chantiers spectaculaires de cette ligne qui doit être programmé très tôt, qui aura des répercussions sur le trafic routier et la vie quotidienne des riverains. D’autant plus que cette gare se trouvera sous le faisceau ferroviaire Paris-Montparnasse, et qu’il faudra riper ce plafond. Une grande salle d’échanges permettra aux piétons de traverser entre Vanves grâce à deux accès sous une immense verrière, avec escaliers mécaniques et acenseurs,  et Clamart d’un côté et Malakoff de l’autre, de plein pied avec le Bd des Fréres Vigouroux. Elle permettra d’accéder au réseau transilien en surface et au métro automatique en souterrain, les quais se trouvant à 26 m de profondeur

    UN SOUCI D’INFORMATION ET DE CONCERTATION

    A cette occasion, et comme elle l’a fait au moment du lancement du projet GPE, des premières enquêtes publiques, la SGP insiste beaucoup sur l’information et la concertation, grâce à des outils d’informations qui seront spécifiquement développés : Les concessionnaires diffuseront des « Flashs infos » proposant une information localisée dans le temps pour prévenir des perturbations,  des lettres d’informations permettront de faire régulièrement le point sur l’état d’avancement du projet. Une maison du projet sera prévue sur certains  sites comme ce sera le cas à la gare d’Issy RER. Des formulaires de contacts sont prévus sur Internet  avec un site dédié, ainsi que la mise en place d’un Comité de suivi des travaux avec des élus, des riverains « afin que l’information soit claire, que l’on atténue les inquiétudes ». A ce niveau, la SGP est ouverte à toute initiative, comme la mise en place de sentinelles comme ses représentants l’ont expliqué en répondant à quelques questions 

    REUNION PUBLIQUE LE 5 MAI PROCHAIN

    Boris Amoroz (FdeG/PC) a posé plusieurs questions : Tout d’abord sur les propriétaires riverains de pavillons ou d’immeubles de cette ligne. « Des inventaires et des diagnostics du bâti ont été réalisé pour connaitre parfaitement l’état des ouvrages à côté à proximité du tracé. Des relevés topographiques, la pose de capteurs, de piézométres, des mesures de bruits et de vibrations…vont avoir lieu ». Ensuite sur l’accessibilité : « La gare sera accessible, avec 2 ascenseurs pour chaque quai ». Enfin sur l’évacuation des déblais par voie ferrée : « Il se feront dés que le tunnelier sera installé et commencera à creuser. 50% des déblais devraient être évacuer par voie ferrée, le reste par camions ». Lucie Schmid (EELV) est revenu sur « la mécanique complexe de ce chantier qui a un impact très fort le public » et « sur la façon dont la SGP souhaite y associer le grand public sur une longue durée ? » - « On a vu l’intérêt de la population sur ce projet car beaucoup de gens sont venus participer à chaque  réunion. Nous allons travailler avec les communes dont nous avons récemment réuni tous les directeurs de la communication ! » lui a répondu le représentant de la SGP.  Le chantier de cette gare devrait faire l’objet d’une réunion publique le 5 Mai prochain à Vanves qui sera sûrement plus calme qu’à Clamart, car ironie de l’actualité, le projet de cette gare fait polémique du côté de Clamart, à cause des projets immobiliers du maire. Mais il n’y a même pas été fait allusion lors des questions.

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    PMS ANDRE ROCHE : L’ABERRATION DE LA FERMETURE DE L’ACCES JB POTIN

    Si les autorités municipales appliquent scrupuleusement les consignes en matière de Vigipirate, ce n’est pas tout à fait le cas au PMS André Roche. Depuis la mise en place du niveau « Alerte Attentat », il n’y a qu’un seul accès, par la rue du Docteur Arnaud, celle de la rue Jean Baptiste Potin étant fermée et cadenassée, pour des raisons de sécurité et de surveillance (rapprochée). Soit disant. Du coup, tous ceux qui ont à se rendre au secrétariat du Stade et aux courts de tennis sont obligés de « faire le grand tour », comme ils disent, certains râlant, non pour le trajet à pied à effectuer, mais surtout  lorsqu’il pleut ou vente. Les sections Boules Lyonnaises et Tennis ne voient plus passer, même en coup de vent, certains adhérents pour venir prendre des nouvelles, saluer les dirigeants ou membres présents… et surtout parmi les plus anciens qui ont du mal à marcher. C’est tout un pan de convivialité qui a disparue à cause de cette porte fermée. Et notamment le dimanche, lors des matchs de football ou de basket, où le PMS est inaccessible par la seule entrée du Docteur Arnaud. 

    Mais là, où c’est le plus aberrant dans cette fermeture de la porte JB Potin, c’est qu’elle ne sert à rien. Car en pleine journée et durant la semaine, un autre accès est maintenant ouvert qui relie directement le parc F.Pic au PMS A.Roche entre 9H et 17H30 pour permettre aux scolaires d’accéder aux équipements sportifs, sans surveillance, comme cela a toujours été le cas, même en dehors de Vigipirate. Et donc tout le monde l’utilise, même les habitants du clos Montholon qui traversent le PMS, car bien évidemment, malgré Vigipirate, on entre comme dans un moulin à vent dans cet équipement sportif censé être plus surveillé qu’à l’habitude. Il y aurait eu même des vols. Les présidents des sections Tennis et Boules Lyonnaises ont adressés un mail à l’adjoint chargé des Sports pour lui demander au moins d’ouvrir cette porte entre 9H et 19H pendant qu’il fait jour. Car à  quoi sert il  de laisser fermer l’accès de la rue JB Potin, si les vanvéens peuvent entrer par le parc ? Mais cet accès du PMS a toujours été source de conflit entre les sportifs et les municipalités qui se sont succédées depuis très longtemps, et a même provoqué une sacré colère de Bernard Gauducheau au dernier bureau municipal lorsqu’il appris ses faits, qui a étonné plus d’un des participants.

    PROCURATION : UN ACCUEIL PAS DU TOUT CONVIVIAL AU COMMISSARIAT DE POLICE

    Les vanvéens se plaignent ses derniers temps d’un accueil pas du tout convivial lorsqu’ils se déplacent au commissariat de Vanves pour déposer plainte notamment ou faire ce qu’on appelle une « main courante ». Et notamment ceux qui ont été victimes des cambriolages ses derniers temps, ou de ses jeunes qui envahissent les résidences autour de la rue de Châtillon que ce soient les parties communes ou les caves, mettant en avant les effets du plan Vigipirate qui les occupent énormément, le manque d’effectifs – 1/3 – au commissariat victime des réductions de personnel entamé sous l’ére Sarkozy etc…Tout cela restait au niveau des « on dit » jusqu’au jour où une élue de Vanves, et pas des moindres, a eu l’occasion de s’en apercevoir tout simplement parce qu’elle accompagne des vanvéens, pour leur rendre service, surtout lorsqu'ils ont des difficultés à marcher,  dans leurs démarches administratives pour obtenir une procuration. L’un d’entre eux, conduit en voiture par  Isabelle Debré, a pu s’en rendre compte. Alors qu’elle l’attendait dans son véhicule, il est entré au commissariat, accueillit  comme dans un jeu de quille au guichet par les permanenciers. « J’ai remis le formulaire que m’avait donné madame Debré, ayant rempli la partie me concernant. Et j’ai entendu : « Mais ce n’est pas le bon formulaire ! Et puis, il faut écrire en majuscule ! » Elle m’en montre un autre en me disant : « C’est celui là qu’il fait remplir ! » - « Donnez le moi, je vous le raménerai ! » - « Non !Je ne  vous le donne pas. Il faut le remplir sur place ». Du coup, je suis parti et j’ai rejoint Isabelle Debré qui attendait dehors : « Vous voyez ! Ce n’est pas long » me dit elle. Et là, je lui explique que je ne l’ai pas rempli…Ni une, ni deux, elle est sortie de son véhicule. On est retourné au commissariat. Et là, lorsqu’ils l’ont vu, ils étaient tous au garde à vous. J’ai été impressionné. Elle demande alors ce qui n’allait pas. Et là, un commandant est   descendu des bureaux. Et j’ai pu remplir le bon formulaire » raconte ce vanvéen qui n’en revient pas encore tout en étant indulgent pour la police. « Mais c’est quand même incroyable d’en arriver là ! On comprend que ce genre de démarches administratives devrait être fait en mairie comme pour les passeports, les cartes d’identité… car la police a autre chose qu’à faire que de l’administratif. Mais il me semble que c’est peut être, pour une raison politique, car une procuration pour une élection doit être délivrée par une autorité neutre sur le plan politique » 

  • RYTHMES SCOLAIRES A VANVES : Une grande attente de changements des parents d’enfants en maternelle !

    Les rythmes scolaires, 8 mois après leur mise en  place, reviennent sur le devant de l’actualité, à l’occasion de questions orales au gouvernement, le 19 Mars au Sénat le 24 Mars à l’Assemblée National. Et de la tenue d’un second comité de pilotage  Vanves le 31 Mars qui réunit 5 représentants des parents d’élèves (2 API, 2 FCPE, 1 Indépendant), 5 du personnels de l’animation, 5 des enseignants, 5 des associations avec l’IEN (Inspectrice de l’Education nationale, l’adjoint au maire chargé de l’école… L’attente des parents d’élèves est importante surtout pour ceux qui ont des enfants en maternelle face à leur fatigue

     

    QUESTION ORALE D’ISABELLE DEBRE AU SENAT

    Isabelle Debré, sénateur des Hauts de Seine a eu l’occasion de poser une question orale, Jeudi dernier, au Sénat sur la réforme des rythmes scolaires qui est « un échec aux dires des enseignants, des parents et des pédiatres : les élèves sont fatigués et beaucoup de communes n'ont pas les moyens de financer les nouvelles activités périscolaires. Que de tergiversations ! Le président de la République insiste sur la maîtrise de la langue française dès la maternelle, la ministre de l'éducation nationale ne veut pas qu'on fasse travailler les enfants avant le primaire. On annonçait la suppression de l'évaluation. On s'est ravisé. De la laïcité à l'anglais, on multiplie les matières dès le CP, alors que l'illettrisme touche un élève sur cinq à la fin de la scolarité obligatoire. La réforme des rythmes scolaires coûte plus de 1 milliard par an au contribuable. C'est une dépense insensée. Quand allez-vous y mettre un terme ? ».

    Malheureusement comme la ministre de l’Education Nationale était à Toulouse pour commémorer la tuerie survenue dans l'école juive, c‘est Patrick Kramer, ministre de la politique de la ville, de la jeunesse et des sports qui lui a répondu : « La réforme des rythmes scolaires était nécessaire. L'école vaut mieux que les décisions qui lui ont été imposées par votre majorité (que la réforme Darcos). Il fallait adapter le rythme scolaire au rythme de l'enfant.Une réforme de cette ampleur ne peut avoir des résultats immédiatement. Pourtant, on en mesure déjà les effets sur la lecture. Il a fallu des ajustements en maternelle, c'est bien normal. Mais l'école ne peut pas tout ! Afin que tous les enfants, quel que soit leur milieu social, aient accès au sport, à la musique, au théâtre, nous avons développé les activités périscolaires et prolongé le fonds de soutien aux communes ».

    REACTION D’UNE ENSEIGNANTE VANVEENNE

    Ce qui a fait réagit une enseignante de Vanves qui préfère garder l’anonymat tout simplement, parait il, parce que c’est un sujet extrêmement brûlant, sur lequel l’IEN (Inspection  de l’Education Nationale) exerce des représailles vis-à-vis des enseignants qui s’exprime là-dessus : « Deux choses me choquent: Le bénéfice constaté en lecture!  Concrètement j’aimerais savoir comment ces bénéfices ont été constaté sans évaluation, et comment scientifiquement prouver qu’une amélioration de la lecture cette année a pour origine les rythmes scolaires…Deuxième chose, qui m’agace depuis le début: « l’école ne peut pas tout faire, il faut trouver d’autres formes d’apprentissage donc le périscolaire est là pour cela! ». Ah bon il n’y a pas que l’école qui est formé pour enseigner ? J’ai moi même le bafa et on m’a jamais formé pour enseigner quoi que ce soit, seulement pour amuser… l’inspectrice nous a bien dit qu’on ne devait pas alléger notre part donné au sport ou l’art plastique au profit des fondamentaux sous prétexte des NAP. Donc où est l’intérêt de vouloir partager ces apprentissages ? On a fait en sorte d’alléger les exigences sur l’embauche des encadrants des NAP,  donc on partage les apprentissages pour les donner à des gens non formés et dont la qualification est inférieure aux animateurs d’avant! Ca cela va dans le sens du bénéfice! En bref: ça m’énerve ces gens qui parlent en niant la réalité du terrain!! »

     

    UN COMITE DE PILOTAGE BIENVENU

    Ces interrogations et ces réactions sont intéressantes 7à 8  mois après la mise en place de ces nouveaux rythmes scolaires alors qu’un second Comité de Pilotage sur la mise en place en place des rythmes scolaires devrait se tenir à Vanves le 31 Mars prochain, conformément aux engagements pris sur le projet éducatif territorial. Occasion de faire le point notamment sur les propositions d’évolutions indispensables afin de respecter les rythmes nécessaires aux enfants, et de se projeter sur l’année prochaine  en tenant compte de l’expérience acquise et du contexte actuel. « L'attente des parents est grande, surtout en maternelle » nous indique une parente d’élèves de Vanves : « La fatigue redoutée est au rendez-vous. Les enfants sont encore trop petits pour encaisser les changements d'intervenants. Les enfants sont déstabilises par des rythmes différents d'un jour à l'autre (fin des cours à 15H ou 16H30). L'absence de coupure le mercredi réduit les moments de récupération dans la semaine. Ils sont en pleines croissances » explique t-elle en faisant remarquer « qu’à notre époque, nous avions école le samedi matin et non le mercredi ».

     

    7 PARENTS SUR 10 VIVENT MAL CETTE REFORME

    Selon une enquête récente effectuée pour le Journal des Femmes, 7 familles sur 10 vient mal cette réforme. « Ils sont toujours 69% à juger que cette réforme a un impact négatif sur leur enfant . Et de façon surprenante, alors que l’ajout de la matinée de cours supplémentaire avait pour objectif de mieux respecter les rythmes des enfants, c’est ce principe même qui est remis en cause par plus d’un parent sur deux (56%).  80% des parents trouvent leur enfant plus fatigué depuis la mise en place de la réforme ! Pour 66% des parents, il est devenu plus difficile de tirer les petits du lit le matin depuis la mise en place des nouveaux rythmes,  et le soir, ce n’est guère mieux puisque 38% les trouvent plus turbulents qu’avant. Un  quart des parents « seulement » met en cause le manque de moyens, et 20 % pointent une mauvaise communication, que ce soit entre les institutions elles-mêmes ou envers les familles ». Enfin,  « dans les établissements où des temps d’activités périscolaires (TAP) sont proposés,  65% des parents choisissent d’en faire profiter leurs enfants. Un choix qui n’est pas dû uniquement à l’envie de les faire profiter de nouvelles activités : au global, 32% des parents choisissent de laisser leurs enfants aux TAP parce qu’ils ne peuvent plus s’organiser pour les récupérer directement après la classe »