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  • APERO POLITIQUE DE L’UDI VANVES SUR LA METROPOLE FRANCILIENNE : « Histoire de ne pas s’emmêler les pattes »

    Cet apéro politique très suivi lundi soir à la pizzeria Il Giardino a eu un grand avantage : permettre aux élus, adhérents et  sympathisants vanvéens de s’y retrouver entre Paris Métropole et la Métropole de Paris pour éviter de ne pas confondre un Syndicat Mixte d’Etudes (Paris Métropole) et un projet de loi (Métropole de Paris) grâce à deux invités – et ce n’est pas fait exprés – Philippe Laurent maire de Sceaux et Laurent Lafon maire de Vincennes, qui a quelque peu semé la confusion dans l’esprit du maire lors des présentations entre le président de Paris Métropole et le président du groupe UDI au Conseil Régional. Ajoutez à cela, André Santini qui a failli rester « en rade » devant Il Giardino. Son chauffeur n’arrivait plus à faire démarrer sa limousine, à cause, bien sûr, de l’électronique, et surtout du nieman. Heureusement, cela n’a duré que 10 mn grâce au savoir-faire de son conducteur.  

     

    Cet apéro politique qui a rassemblé prés de 80 élus et adhérents UDI majoritairement de Vanves avec quelques isséens, a été très pédagogique finalement sur les enjeux de la Région Ile de France : « Il s’agit de vous tenir informé des tendances justement après le conseil des ministres qui a examiné l’acte III de la Décentralisation » a déclaré Bernard Gauducheau en donnant la parole à ses 2 invités. Laurent Lafon a finalement rappelé tout l’historique de Paris Métropole dont l’origine revient à Bertrand Delanoë, maire de Paris,  qui, voilà 7 à 8 ans s’est tourné vers ses voisines – ce qui était nouveau – alors qu’elle renvoyait vers la banlieue, ses usines d’ordures, ses habitations sociales… et à Vanves où s’est tenu le 7 Juilllet 2006 la première réunion Conférence Métropolitaine et qui a donné naissance, par la suite, au syndicat mixte d’études Paris Métropole. « Nous avions un certain nombre de problématiques qu’on n’arrivait pas à résoudre pris isolément dans nos communes » a-t-il expliqué en citant les transports, le logement, les inégalités territoriales      

     

    Occasion de refaire l’historique du projet de super métro tout autour de Paris – Grand Paris Express devenue Le Nouveau Grand Paris – en insistant sur le fait que les centristes y ont joué un grand rôle après l’impulsion donné par Nicolas Sarkozy, avec trois secrétaires d’Etat au Grand Paris, Christian Blanc, Michel Mercier et Maurice Leroy, surtout,  qui a réussi à faire l’unanimité sur un projet où tout le monde était divisé, et qui n’a pas été remis en cause depuis. « C’est un dossier centriste, car nous sommes les seuls capable de prendre le temps de négocier, à expliquer aux gens » ajoutait André Santini.  L’Etat a décidé de créer sa structure avec la SGP (Société du Grand Paris) « présidé avec beaucoup de diplomatie par André Santini » selon Laurent Lafon – encore un centriste qui est toujours à la tête du Conseil de Surveillance et confiait lors de cet apéro politique : «  Lorsque Duflot a été  nommé au gouvernement en charge du Grand Paris, j’ai mis à disposition ma fonction de président du Conseil de Surveillance. Mais ce n’est pas rémunéré ! C’est pour cela qu’il n’y a pas eu de prédateurs ! ». Et qu’il est toujours en poste.  Occasion pour Laurent Lafon de ne pas cacher sa crainte, à l’époque, de voir  confier la réalisation de ce super métro au STIF « car il n’aurait pas vu le jour !». Mais les orientatioons sur le Nouveau Grand Paris de Jean Marc Ayrault prévoit de tout mettre sous la tutelle du STIF, puisqu’il va gérer et exploiter ensuite ces nouvelles lignes. « Est-ce que la Société du Grand Paris va revenir dans le droit commun ? En tous les cas, nous faisons du lobbying pour éviter qu’elle se retrouve sous la tutelle du STIF ! » a indiqué André Santini.

     

    Laurent Lafon a terminé par la gouvernance, sujet plus complexe et plus difficile, qui est traité par ce projet de loi sur les métropoles et notamment des métropoles de Lyon, Marseille et de Paris. Philippe Laurent a pris le relais en rappelant deux choses : Regarder ce qui s’est passé depuis 50 ans dans les grandes métropoles régionales, avec notamment le Grand Lyon depuis 50 ans, où le Maire de Lyon (PS) a passé un accord avec le Président du Conseil Général du Rhône (UDI) pour intégrer dans le Grand Lyon la partie urbaine de ce département. Et l’Ile de France où cela ne s’est jamais produit sauf quelques gros syndicats intercomunaux (SEDIF, SIAAP…) et quelques grandes interco, mais toutes les communes n’en font pas partie comme Vincennes. « Paris Métropole  qui permet aux maires de se parler, d’échanger sur de nombreux sujets (transports,  logements) a beaucoup travaillé sur cette gouvernance pour qu’elle soit plus simple, plus lisible, en cherchant la bonne formule  progressivement en travaillant sur les points de discussions, de désaccords » a expliqué son Président

     

    En tous les cas, comme tous les deux l’ont bien dit et expliqué : les maires sont en désaccords avec ce projet de loi « Métropole de Paris » qui créé des intercomunalités de 300 000 habitants dans les départements de la petite couronne, un échelon supplémentaire avec la structure qui portera la Métropole présidé par le maire de Paris où siégeront les présidents de la Région, des Départements et des Interco…sans les maires. Et qui aura notamment la compétece logement. « Ce qui est contesté ». Philippe Laurent n’a pas caché que « la structure départementale est dépassée. Nous le voyons bien avec une interco comme les Hauts de Biévres sur deux départements (92 et 78), la Vallée Scientifique de la Biévre sur trois (78-92-94). La notion de territoire prend toute sa valeur ! ». André Santini est beaucoup plus sévére et inquiet : « C’est une façon de régler le conflit Huchon/Delanoë (qui ne se représente pas) ! Je crains le coup de grisou ! ».     

  • VANVES ET LA REGION : LE PS MOBILISE L’ILE DE FRANCE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE

    Le gaspillage alimentaire s’éléve en France à plus de 9 millions de tonnes par an, soit l’équivalent de 137 kg par personne, sans compter les pertes de la production agricole et des industries alimentaires. Chaque français jette au moins 20 kg de nourriture par an : 7 kg d’aliments encore emballés et 13 kg de restes de repas, de fruits et de légumes abimés et non consommés qui représentent une perte de pouvoir d’achat de 400 € pour une famille de 4 personnes. Alors que dans le même temps, on constate que le nombre de repas distribués par les Restos du Cœur a augmenté de 27% entre 2007 et 2012, et que 3 millions de personnes sont dépendantes de l’aide alimentaire selon la  fédération française des banques alimentaires. Enfin 54% des français considèrent que la lutte contre le gaspillage alimentaire est un acte important auquel il faut penser quotidiennement.   

     

    Ce constat a amené le groupe socialiste du Conseil Régional à proposer jeudi prochain d’engager un plan régional de lutte contre le gaspillage alimentaire. La Région n’est pas en retard dans ce domaine avec son plan d’action régional pour agir en faveur de la réduction des déchets (PREDIF) adopté en Juin 2011 qui cible en particulier le développement d’actions de lutte contre le gaspillage alimentaire avec un volet « exemplarité » (lycées) repris dans le cadre de l’Agenda 21 régional. Il  évaluait à 13 168 tonnes le potentiel de réduction pour les foyers en 5 ans, si seulement 20% d’entre eux changeaient de comportement.  « Les nombreux établissements dont il a la charge devront entrer dans une démarche de « chasse au gaspillage » et de redistribution, quand ce n’est pas déjà le cas : cantines du siége,  des organismes associés, des lycées  des CFA, lors d’organisations d’événements avec réceptions et coktails…notamment les déjeuners et dîners organisés à l’occasion des séances plénières » explique le groupe PS.   65 collectivités franciliennes sont déjà  engagées dans un programme local de prévention : le Syctom qui a créé un kit de « lutte contre le gaspillage alimentaire » pour les collectivités et les associations. Des lycées ont menée des actions de ce sens avec l’aide de l’association « de mon assiette à notre planéte » qui ont abouti au bout d’un mois d’expérimentation à réduire de 21%  le gaspillage alimentaire, comme ce fut le cas au lycée Feyder d’Epinay sur Seine…

     

    Les lycées sont particuliérement visés où 40 millions de repas sont servis chaque année, d’où sont issus 137 gr de biodéchets par repas servi en restauration collective soit 5500 tonnes pour ces lycées franciliens si on applique cette moyenne, avec un accompagnement des établissements volontaires dans le cadre de la démarche Lycées Eco-responsables, en prenant en compte une difficulté : beaucoup d’établissements font face à des contraintes qui ne permettent pas toujours d’élaborer des repas d’une qualité optimale à cause du développement des cafetérias, fast-food, sandwicheries en leur sein, dénoncé par une étude de l’association UFC Que-Choisir. Ce qui ne les empêche pas d’organiser la valorisation des aliments non consommés en créant un espace de tri dans le réfectoire, en distribuant les restes secs aux associations, en installant un composteur .. et de mobiliser les conseils de vie lycéenne (CVL), lieux de réflexions privilégiés au sein des établissements pour définir des modalités d’aplication de projets de lutte contre le gaspillage alimentaire

     

    Le conseil régional peut agir auprès d’autres collectivités locales en prévoyant une déclinaison de sa stratégie régionale, en jouant un rôle de facilitateur et de pilote, et en déployant des leviers avec la poursuite de l’aide aux associations de don alimentaire (3,7 M€ de subvention). Il pourrait  proposer une feuille de route au CERVIA en inscrivant le thème de la lutte contre le gaspillage alimentaire dans le prochain contrat d’objectif et de moyens (en intégrant la gestion du gaspillage alimentaire dans la structuration des filières agricole, en apportant son concours dans la promotion de la lulte contre le gaspillage alimentaire auprès des consommateurs et surtout des jeunes).

     

    « Il est, pour la Région, indispensable de mettre « l’aliment » au cœur de ce projet. Alors que certains français n’ont pas la possibilité d’avoir accés à une alimentation suffisante ou équilibrée, il faut essayer d’autres voies de consommation, dans les meilleures conditions avant d’envisager d’autres options comme le traitement ou la valorisation des déchets. Lutter contre le gaspillage alimentaire, ce n’est pas uniquement traiter des déchets, c’est avant tout sensibiliser à une consommation plus adéquate et « sauver » au maximum les aliments encore consommables. Par principe, les agriculteurs ne doivent pas produire pour donner, encore moins pour que cela soit détruit » explique Guillaume Balas, président du groupe PS.  

  • RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE TRES REGIONALE

    Finalement, Isabelle Debré n’aura siégé que Samedi au Sénat jusque tard dans la soirée, puisque après une suspension de séance, le groupe CRC (FdeG/PC) a décidé de quitter l’hémicycle. Il avait entamé un bras de fer avec le gouvernement et le PS sur le projet de loi sur la « sécurisation de l’emploi ». Du coup, le gouverrnement a appliqué la procédure d’urgence du vote bloqué permettant son adoption dans la nuit de Samedi à Dimanche par 172 voix (PS, RDSE, centristes) contre 24 (CRC), l’UMP et les écologistes s’abstenant. « C’est un nouveau couac qui met en évidence les fortes tensions qui existent au sein de la majorité sénatoriale. Le gouvernement veut museler les communistes en accélérant les débats. Il est difficilement acceptable que sur un tel sujet – l’emploi – on refuse aux élus de la Nation le temps nécessaire au débat. C’est du jamais vu !  Le  Gouvernement panique une nouvelle fois après l’accélération inédite de la procédure concernant le projet de loi sur le mariage pour tous » a déclarée Isabelle Debré au nom du groupe UMP dans un communiqué de presse. « Un nouveau couac qui met en évidence les fortes tensions au sein de la majoriité sénatoriale ». Isabelle Debré devrait siéger au sein de la Commission Mixte Paritaire constituée de 7 députés et de 7 Sénateurs qui devraient soumettre leurs conclusions à une nouvelle lecture de l’Assemblée Nationale et du Sénat.

     

    L’événement du week-end à Vanves a été le « Vanves Games Day » organisé dimanche après-midi à la Palestre,  par l’association Hamber’Game constitué par des jeunes de l’Institut de l’Internet et du Multimédia (IIM) installé au Pole Universitaire Léonard de Vinci  à la Défense (la fameuse fac « Pasqua »). Mikael, l’un de ses étudiants et surtout ex-membre du Conseil Municipal a monté ce projet  dans le cadre de ses études avec une vingtaine d’étudiants en liaison avec Xavier Lemaire, conseiller municipal, qui a mobilisé le Pôle Jeunesse, le Syndicat d’Initiative, l’ASCAL, le PHARE et l’espace Santé Jeune. Ils ont monté ce salon du jeu vidéo qui a attiré plus de 100 jeunes de 11/17 ans dont certains sont venus avec leurs parents. Ce salon était composé d’ateliers de jeux, de de’ssin, de conception de jeux avec des conférence notamment sur les dangers des jeux vidéos, et des tournois avec des lots à la clef.      

     

    Lundi 22 Avril

    A 14H30 au Conseil Général des Hauts de Seine : Commission permanente à laquelle participe Guy Janvier

    A 19H au restaurant Il Giardino : Apéro politique de l’UDI de Vanves avec B.Gauducheau, Laurent Lafon, pdt du groupe UDI au conseril régional et Philippe Laurent, maire de Sceaux et président de Paris Métropole

    Mardi 23 Avril

    A 20H30 au théâtre (Festival art Danthé) chaque soir jusqu’à Jeudi : « Joue à Tom Waits » par l’orchestre d’hommes-orchestres qui propose un événement digne d’un spectacle de foire ou d’un cirque musical. Cet orchestre d’affairés se joue des composition de Waits en utilisant près de 100 objets et instruments inventés sur scéne qu’ils martèlent et caressent au cœur de tableaux vivants déraillés.  Ce collectif d’artistes-musciens indisciplinés (musique, théâtre, performance, danse, arts urbains…) vient de Québec où il s’est formé en 2001. Les quatre multi-instrumentistes délirants de ce collectif, coqueluche de la ville de Québec, jouent l’un devant l’autre, l’un par-dessus l’autre, s’échangent les instruments et les voix, se mettent les doigts entre les cordes, les bâtons dans les roues, la corde au cou. 

    Jeudi 25 Avril 13

    A 9H30 au Conseil Régional : Séance plénière à laquelle participe Benard Gauducheau qui devrait examiner plusieurs rapports : la lutte contre l’échec scolaire grâce à la création de micro-lycées, des communications sur les conséquences des projets de lois de décentralisation sur la Région  Capitale avec la création de la Métropole de Paris, mais aussi le transfert de nouvelles compétences aux régions, sur la conversion écologique et énergétique avec un  compte rendu des travaux d’écociliens, une proposition du groupe PS pour lutter contre le gaspillage alimentaire….

    A 11H15 à la Porte de Vanves : Inauguration du jardin Anna-Marly aménagé au dessus de la dalle qui recouvre  le bd Périph entre les portes de Brançion et de Vanves par Bertrand Delanoë, Bernard Gauducheau et Catherine Margaté qui célébreront en même temps les 40 ans du Bd Périphérique, puisque le 25 avril 1973, Pierre Messmer, premier ministre inaugurait la dernière tranche à la porte Maillot. « Un  contre-pied qui montre que le Périph n’est pas une fatalité » indique t-on à la mairie de Paris qui a confié à l’atelier Arpentière ce jardin de 8000 m2 conçu comme une bande boisée, avec des chemins au milieu des pins, bouleaux ert bruyéres,  un terrain de sport, une aire de glisse, une pelouse, des troncs d’arbres à escalader. Cette inauguration intevient à un moment où il est envisagé de faire passer la vitesse de 80 à 70 km/h sur cette voie rapide de 35 km alors que le trafic a baissé de – 8,9% ses dix dernières années.  

    Vendredi 26 Avril 2013

    A 18H30 à l’Arc de Triomphe : Ravivage de la Flamme par la section UNC de Vanves. Rappelons que chaque jour à 18 h 30, des anciens combattants, et désormais également des associations patriotiques, ravivent la flamme du souvenir, allumée le 11 novembre 1923 par André Maginot, ministre de la guerre, sur la tombe du Soldat inconnu, inhumé sous une dalle avec l'inscription : "Ici repose un soldat français mort pour la patrie   /   1914-1918." C'est un journaliste, Gabriel Boissy, qui a eu l'idée d'une flamme du souvenir, en 1923. Depuis cette date, elle ne s'est jamais éteinte, grâce à la vigilance de l’association « la flamme sous l’arc de Triomphe », désormais « Flamme de la Nation » dont fait partie Paul Guillaud président de la 71éme section de l’UNC Vanves-Malakoff, et qui tient, à juste titre, à faire participer Vanves à cette cérémonie une fois par an.

    Samedi 27 Avril 2013

    A 14H au PMS A.Roche : La Section Boules Lyonnaises du Stade de Vanves accueille une partie du Championnat tête des Hauts de Seine

    à 20H au Palais des Sports de GPSO à Issy les Moulineaux  : Match de basket Vanves Aviators GPSO – Tourcoing S.M. précédé pa un march exhibition à 18H45 entre ml’équipe Mary Patrux VS Aviators & Partenaitres

    à 20H30 à Panopée : Concert de piano à 4 mains dans le cadre du 16éme concours internationak de piano Jean Francaix avec Bruno Canino et Bettrand Giraud

    Dimanche 28 Avril 2013

    A 9H au PMS A.Roche : La Section Boules Lyonnaise’s du Stade de Vanves accueille une partie du Championnat tête des Hauts de Seine

    A 11H45 devant la stéle commémorative des victimes vanvéennes du Nazisme de la place de l’insurrection : Cérémonie  dans le cadre de la Jurnée Nationale du Souvenir des Victimes et Héros de la Résistance

    à 19H à Panopée : Concert des lauréats du 16éme concours international de piano Jean Francaix

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