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  • AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : ATMOSPHERE TRES RAFRAICHIE, UN PEU MIELLEUSE ET SURTOUT TRES DEBATTANTE

    Les conseillers municipaux ont trouvé un petit du « Miel de l’Ile de Vanves »  à leur siége en arrivant : « Il vous est offert gracieusement. ? C’est la première récolte faite à Vanves. On peut espérer une récolte plus importante » a déclaré Bernard Gauducheau en parlant « d’une qualité particulière » de  ce miel récolté dans les ruches installées dans la petite île du parc F.Pic. La plupart était présent, sauf 2 ou 3 pour cause de grippe, et un parce qu’il est devenu « papa » ses deerniers jours : Julien Gazel a une petite fille qui se dénomme « Prune ». Il a été applaudi par l’ensemble des élus. Par contre peu de monde dans le public, le groupe UMP ayant invité militants et sympathisants à assister à cette réunion, mais sans beaucoup de succés, à cause du froid assez vif qui régnait  dehors et se faisait sentir jusque dans la grande salle Henri Darien  - les conseillers municipaux ayant remis leurs manteaux et même de son bonnet pour l’un d’entre eux. 2 à 3 militants seulement étaient présents. Ils se sont retrouvés dans le bureau d’Isabelle Debré, à la fin du Conseil, et non à la permamence comme prévu. Il est vrai qu’ils sont mobilisés pour préparer la venue du ministre Laurent Wauquiez (Université et Recherche) à Vanves à l’école du Parc le Jeudi 16 Février 2012 à 19H30.

     

    18 questions étaient inscrites à l’ordre du jour de cetter séance dont la principale était les « orientations budgétaires » sur lequel le Blog reviendra, qui doit précéder le vote du budget municipal prévu le 27 Mars prochain. Dans son exposé, Bernard Gauducheau a indiqué qu’en 2011 « une grande partie de nos engagements ont été tenu malgré la crise financière » grâce « à la ténacité del’équope municipale » et « la justesse de ses choix ». Il a  insisté sur les points forts de ce futur bidget 2012 qui concerneront la petite enfance (rénovation de la créche Boule de Gomme, création d’une nouvelle structure rue de Chatillon), la sécurité (gros travaux aux écoles Larmeroux, et Marceau pour remédier aux malfaçons)  et l’accessibilité des bâtiments  et les économies d’énergie. Il a surtout annoncé que le Conseil Communautaire de GPSO a décidé le 2 Février dernier de supporter totalement la charge supplémentaire représenté par la péréquation qui se met en place entre les collectivités locales (35 M€) et que ne supporteront pas ses 7 villes membres. « 133 000 € aurait dû être supporté par Vanves si GPSO n’avait pas pris cette décision » a indiqué Bertrand Voisine, Maire adjoint chargé des finances en précisant que deux gros chantiers seront menés par GPSO en 2012 : la fin du réaménagement de la rue Sadi Carnot en mail et « zone 20 » et le début du chantier du Conservatoire. Il a confirmé la stabilité fiscale « pour aider les vanvéens à faire face à la crise »

     

    Le groupe PS a souhaité, concernant les priorités, que des efforts soient renforcés sur « la jeunessse et les personnes en difficulté » selon Anne Laure Mondon  satisfaite que « les impôts (locaux) n’augmentent pas alors qu’ils sont les plus élevés du département ». Jean Cyril Le Goff s’est réjoui que « GPSO ait pris ses responsabilités en prenant en charge le coût de cette péréquation » grâce à un  vote unanime, l’opposition (de gauche) au Conseil communautaire demandant que leurs doléances soient prises en compte. Par contre il s’est étonné de « l’augmentation substantielle du budget de la culture qui est consacré essentiellement à Artdanthé où 80% des spectateurs ne sont pas vanvéens » et des tarifs d’entrée pratiqués notamment lors des derniers spectacles (de 5 € à la gratuité). « Heureusement qu’il y a des fêtes populaires, seuls moments conviviaux dont le budget baisse ». Tout comme Claire Papy (EELV) – qui est moins critique sur ArtDanthé -   il a été choqué par les 60 000 € en moins du CCAS « alors que l’on voit de plus en plus de gens qui ont besoin d’aides ».

     

    Le groupe EELV s’est interrogé de savoir pourquoi les services rapportent beaucoup plus qu’ailleurs – « sont ils plus attractifs ou plus onéreux ? »  – regretté les dépenses importantes entraînés par les mal façons de l’école maternelle Marceau, ou l’achat d’une caméra de vidéoprotection (23 000 €), le budget dérisoire prévu pour les économies d’énergie – alors que « le théâtre de Vanves est une vraie passoire thermique ». Lucile Schmid a posé 3 questions sur les effets (à Vanves)  de la suppression de la Taxe professionnelle, et la montée de  « l’interco » qui « donne une vision très complexe des choses pour les non avertis », sur l’impact des nouveaux arrivants à Vanves et le potentiel fiscal qui « est le principal levier pour mener nos actions ». Elle est revenu sur la culture en demandant « qu’est-ce qu’on en attend pour une ville comme Vanves ! C’est un choix que Vanves soit une référence au niveau de la danse contemporaine avec ce festival Artdanthé. Et il fait faire venir les vanvéens ».

     

    Ainsi ce conseil municipal a vu se ré-éditer non seulement  l’éternel débat sur les choix culturels de la ville et de son théâtre avec le festival ArtDanthé, mais aussi sur la vidéosurveillance et la politique de prévention de la ville à la suite des questions de la toute jeune conseillére municipale Valérie Mathey (PS) qui découvre ses dossiers depuis qu’elle a remplacé Guy Janvier à l’automne dernier. Le Blog de Vanves Au Quotidien renviendra dessus bien sûr avec ls réponses de l’exécutif municipal. Mais ce conseil municipal a été marqué par d’autres décisions : la désignation d’un représentant de la commune au Conseil  de Surveillance de la SGP (Société du Grand) qui a nécessité un vote par bulletin demandé par Jean Cyril Le Goff  pour désigner soit B.Gauducheau (NC), soit P.Toulouse (EELV). «Qu’est-ce qui vous a pris M.Le Goff ! C’est pour voter Bernard Gauducheau » a demandé Isabelle Débré (UMP). « Et que va faire le groupe UMP ?  » a répliqué Fabian Estellenao (PS). Bernard Gauducheau a été désigné par 26 contre 6 Pour Pierre Toulouse, 2 pour Claudine Charfe qui n’était pas candidate et 1 nul.

     

    Pierre Toulouse (EELV) a été le seul à voter contre la décision de conseil municipal de donner le nom d’Heri Louis Barolet à la salle des cinéastes de la Piscine, « parce que je suist contre la personnalisation de lieux et d’équipements publics » a-t-il confié à Vanves Au Quotidien. Fabien Estallano (PS) a proposé de mettre une plaque explicative dans ces lieux qui porte le nom d’un vanvéen qui a rendu des services à sa ville. « Il est important que les gens savent qui est F.Estallano » a répondu le maire avec humour en trouvant l’idée excellente. Enfin, le Conseil Municipal a donné le nom de « Gargantua » à l’allée qui relie la rue Raymond Marcheron à l’espace Cabourg.

  • RENCONTRE AVEC MARC LIPINSKI (EELV) : le Monsieur « Recherche » de Vanves et de l’Ile de France a sorti un livre sur « les sciences, un enjeu politique »

    Il n’y a pas que Lucile Schmid à faire parler d’elle. Les autres Verts de Vanves font parler d’eux comme par exemple Marc Lipinski, biologiste, citoyen engagé, élu vert au conseil régional d’Ile-de-France, vice-présidence de la région en charge de la recherche entre 2004 et 2010. Il a publié depuis quelques mois avec « les Sciences, un enjeu citoyen » (Edt Les Petits Matins), une réflexion nourrie de cette expérience, mais aussi du vaste mouvement de contestation de la politique gouvernementale qui a secoué les laboratoires en 2004 et les universités en 2009, qu’il a rédigé entre Janvier et Juillet 2011

     

    Vanves Au Quotidien  – Pourquoi ce Livre ?

    Marc Lipinski : « En n’étant plus Vice Président du Conseil Régional, j’avais plus de loisirs pour réfléchir. J’étais retourné dans mon laboratoire. Et je me suis dit comment puis je être utile à la communauté scientifique, à la réflexion en général sur les questions que j’estime comme étant vraiment importante pour les orientations du pays. Je me suis dit : « Comme nous sommes à la veille d’échéances importantes en 2012, je vais à la fois d’essayer de raconter ce qui s’est passé depuis quelques années, pas simplement en Ile de France mais dans le pays en général, sur les questions de politique de la recherche et d’innovation. Et faire quelques propositions à mettre en débat pour les campagnes de cette année. 

     

    P.H. – Qu’est-ce que vous racontez justement ?

    M.L. : « Pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui, il faut faire un peu d’histoire. Le livre commence en 1981, car cette année a une configuration qui ressemble un peu à la notre. Dans le monde de la Recherche, c’était le dernier moment où on a vraiment eu l’occasion de réfléchir à ce qu’était la Recherche, et à discuter au niveau national. Une fois Mitterrand élu, il y a eu un an de grandes discussions avec des augmentations de budgets. Il y avait une précarité dans le monde de la Recherche qui ressemble beaucoup à ce qu’il y a aujourd’hui. Cela m’a paru intéressant de revenir sur l’histoire et surtout de m’apesantir sur ce qui s’est passé en 2004 avec le mouvement sur la recherche qui a mobilisé des centaines de milliers de gens….

     

    P.H. – Lorsque vous êtes arrivé à la vice présidence Universités/Recherche de la Région ?

    M.L. : « Les choses actuelles ont commencé fin 2003/début 2004, avec une loi votée en 2006, le Pacte pour la Recherche, qui reprenait un certain nombre de choses qui avaient été proposé par les Etats Généraux de la Recherche en 2004 …mais de manière un peu perverse de mon point de vue. Et l’arrivée du duo Sarkozy/Pécresse. Et je mêle le national avec le régional où j’ai mis en place pas mal de chose  sur lesquels je suis revenu en Novembre dernier lorsque la Région a labelisée les nouveaux DIM (Domaine d’Intérêt Majeur) : Des politiques innovantes en ciblant des interventions politiques sur le soutien à la recherche dans un certain nombre de domaines, en créant les conditions pour que les chercheurs y travaillent en réseau, en organisant le Centre Francilien de l’Innovation dans lequel nous avons mis des moyens qui permettent de soutenir de façon ciblé des innovations que l’on estime utile, allant dans le bon sens. Ce qui permet de voir la différence avec la politique national du crédit impôt recherche qui est tout azimuth où ce n’est qu’une simple déclaration des entreprises qui disent faire de la recherche pour avoir des crédits d’impots. C’est devenu une des niches fiscales qui a explosée avec 4,5 milliards au dernier budget 2012, sans aucun contrôle, ni aucune évaluation

     

    P.H. – Pourtant c’est grâce à cela que Microsoft est venu s’installer en France à Issy les Moulineaux ?

    M.L. : « C’est probablement vrai ! Et alors ! Est-ce que cela vaut 4,5 milliards de faire venir Microsoft à Issy les Moulineaux ? Est-ce que c’est bien que des entreprises multinationales mondiales qui gagnent des milliards ne paient pas d’impôt ? Cela ne me parait pas normal !

    Et la question du citoyen est assez centrale dans ce livre puisque j’estime qu’il y a un grand nombre de sujets sur lesquels on ne s’occupe pas du tout de faire de la démocratie. L’exemple caricatural est le nucléaire ! Notre pays qui est le plus nucléairalisé du monde du point de vue civil, n’a jamais tenu un débat d’orientation démocratique pour dire que l’on s’engage dans le nucléaire. C’est pareil au niveau de la recherche : Il y a de grands choix technologiques qui peuvent être décidé comme le projet ITER sur lequel  la France s’est battue pour l’avoir sur son territoire à Cadarache (Alpes de Provence) sur un  terrain simisque. Un  prototype de quelque chose qu’on nous vend comme étant préfigurateur et qui produira de l’énergie dans 50 ans. Peut être ! A coup de milliards d’euros. Mais les coûts explosent déjà  alors que seulement du béton a été coulé. On est train de chercher dans le budget européen où l’on va trouver de l’argent pour les surcoûts, en prenant généralement l’argent sur la politique de la recherche et la PAC. Personne n’en discute. Les politiques ne sont pas plus armés sur ces questions complexes que les citoyens. 

     

    P.H. – Quelles propositons faites vous dans ce livre ?   

    M.L. : « On ne pourra pas se passer de réunir à nouveau tous les acteurs car  nous avons besoin de réfléchir pour savoir qu’est-ce qu’on veut faire du systéme français de l’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation. Car il est à refonder. Et j’explique que l’on ne peut pas démarrer du haut. C’est une action de très long terme. Il fait une génération pour y arriver. Si l’on veut avoir de la bonne science innovante en France, il faut changer l’enseignement dés le primaire. J’avais dans le Contrat de Plan Etat Région en cours,  fait inscrire plusieurs choses assez nouvelles dont l’opération « questions de chance, enjeu citoyen » sur laquelle la Région et l’Etat ont mis 4 M€ : Ainsi chaque année, une association qui s’occcupe de culture scientiique, anime des débats sur un théme unique choisi en commun : Arpés l’alimentation, la biodiversité, l’argent actuellement. Il faut ajouter la Maison d’initiation et de sensibilisaton aux sciences  (MISS IDF) : L’idée, pour les écoles primaires, est d’avoir des lieux où pouvoir organiser des classes de sciences, où les jeunes viendraient s’immerger pendant 15 jours pour faire un projet scientifuique, dans un lieu scientifique. Car je pense que l’enseignement en France n’est pas orienté  vers la recherche. Ce livre aborde la question du rapport avec les grandes écoles et l’université, de l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifique qui est censé discuter des grandes orientations de la science et de la technoogie dont on n’entend jamais parler et qu’il faudrait ouvrir. Il revient sur les structures mises en place par la ministre Pécresse (agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieure, l’agence nationale pour la recherche) sur lesquels il faut revenir…

  • CAMPAGNE LOGEMENT 92 A VANVES : BIENTOT UNE PERMANENCE DALO

    Il est beaucoup question de logements dans le cadre cette campagne présidentielle et notamment dans le cadre du Grand Paris. Tous sont mobilisés notamment  à Vanves, les politiques avec EELV qui organise son prochain café politique sur ce théme, le 13 Février à 20H au Relais de Vanvres, les associatifs avec cette campagne Logement 92 et notamment le Secours Catholique qui devrait prendre l’initiatuve d’ouvrir une permanence DALO ses prochaines semaines 

     

    Une Réunion s’était déroulée au niveau départemental le 14 Janvier dernier à laquelle avait participé des vanvéens du Secours Catholoque, de SNL,  de Saint Vinent de Paul, où avait été dressé un premier bilan, un an après le lancement de cette campagne  qui  a suscité la création  de groupes locaux réunissant citoyens, associatifs, paroissiens  qui ont mené trois actions : C’est le cas à Vanves où ils avaient analysé la situation dans la commune avec un premier bilan d’étape en Mai dernier. Rappelons alors les chiffres donnés : 1000 logements vacants à Vanves, c'est-à-dire autant que les demandeurs de logements sociaux. Il s’agit de logements privés, à cause de problèmes de successions pour certains, déclarés comme tel pour ne pas payer de taxe d’habitation bien sûr. 527 de ses logements sont vacants depuis plus de 3 ans (4, 5 et même 10 ans).

     

    Et autant de demandes de logements sociaux : 916 dont 284 nouvelles demandes et  262 radiations sachant qu’il faut une moyenne de 6 à 8 ans d’attente. D’autant plus que dans les 3000 logements sociaux publics et privés que compte la commune, il  y a peu de rotations, et encore moins d’échanges : 173 ont pu être attribués,  soit 5,78% (194 en 2008). « Aucune construction nouvelle de logement social n’a eu lieu depuis 2001 » selon les responsables de ces associations, « même s’il y en a eu de livrés, leurs consdtructions ont été initiés par les prédécesseurs du maire actuel. Et si Vanves atteint le taux de 26% c’est grâce tout d’abord à l’association Simon de Cyréne et la communauté des fréres Jésuites de la rue Marcheron mais avec des logements sociaux pour les handicapés pour la première, et pour les péres retraités pour la seconde ; ensuite grâce à Icade, filiale de la Caisse des Déports et Consignations qui a vendu ses logements devenus sociaux à l’OPH92 qui les a repris (une cnquantaine sur la ville). Ainsi ll n’y a rien pour les familles ». Enfin 10 dossiers Dalo ont été remplis en 2010 et 3 familles relogées en HLM, sur une centaine de déposés et non abouties.

     

    Le second objectif de Camlpagne Logement 92 est justement de favoriser la mise en œuvre du Dalo (droit au logement opposable) en ouvrant par exemple une permanence Dalo. Ce qui est le cas à Antony, Asnières, Boulogne, Clichy, Puteaux. Le Secours Catholique a décidé d’en ouvrir une à Vanves qui serait tenu au même endroit que la permanencee « Scribe » qu’elle organise au Centre Jean Monnet : Sur les 173 familles reçues en 2011, 56 étaient venus pour recevoir une aide dans leurs démarches de demandes de logement (pour remplir un dossier). Ses responsables cherchent des renforts pour tenir cette permanence DALO, pour aider à recevoir les gens, constituer les dossiers  qui sont longs et compliqués à monter, à gérer etc…. D’autant plus « que les assistantes sociales de la Circonscription de la Vie Sociale  ne peuvent plus s’occuper des recours DALO, ni le service logement de la ville »  les entendre. Et ils cherchent à s’associer ave d’autres communes proches comme c’est le cas à Asnières et à Puteaux, en citant Issy les Moulineaux, Malakoff, Clamart, peut être Montrouge, Châtillon.

     

    Le troisiéme est d’aider les personnes en difficulté de logements à travers les différents dispositifs d’accompagnement et de mise à disposition de logements privés  comme à Bourg la Reine, Châtillon, Courbevoie, Issy, Vanves. La réunion qui s’est tenue le 5 Mai 2011 à Saint Remy avait permis de présenter deux dispositifs : Le  bail glissant accompagné mis en place par le Secours Catholique notamment dans notre ville (3 familles en profitent) et le bail à réhabilitation mis en place par SNL92. Ces deux associations vont reprendre leur bâton de pèlerin et profiter de la campagne de carême 2012 pour sensibiliser de nouveau les vanvéens sur ces dispositifs qui pourraient justement intéresser certains des propriétaires de logements vacants