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  • LES RENDEZ VOUS D’UNE SEMAINE OU VANVES SE GELE APRES UN DIMANCHE ENNEIGE

    Le froid sibérien avec cette bise glaçante s’est abattu la semaine dernière sur Vanves comme sur tout le reste du territoire francilien et français, avec de la neige depuis dimanche matin. Beaucoup se sont mobilisés pour venir en aide aux SDF mais aussi aux personnes les plus vulnérables ou les plus isolées, grâce à l’ouverture de gymnases (comme à Paris) et de places d’hébergement supplémentaires dans les Hauts de Seine (55) à des maraudes qui sont effectuées par le SAMU Social et des équipes mobiles de la Croix Rouge et de l’Ordre de Malte, à des intiatives comme Voisins Solidaires qui invite à de petits gestes solidaires (sortir faire des courses, promener le chien, prendre des nouvelles régulièrement, veiller à ce que leur systéme de chauffage fonctionne correctement, déblayer les entrées eneigées de leur pavillon. « Les services sociaux font un travail remarquable au quotidien. Mais il est indispensanle de mobiliser aussi les habitants pour renforcer le lien social » déclare l’infatigable Atanase Perifan qui a lancé bien sur un kit « grand froid » avec son association Voisins Solidaire. La Neige a mobilisée dans la nuit de Samedi à Dimanche, les services de GPSO surtout pour saler les principaux axes couplés avec ceux du département et des communes puisque l’agent technique de permanence a dû lui aussi avec son équipe, sabler certains lieux publics. Mais ils avaient pris leurs précautions en pré-salant dés Vendredi. Comme le parc F.Pic était fermé, certains parents ont emmenés leurs enfants profiter de la neige au PMS André Roche sur les terrains de boules Lyonnaises et aux abords des cpirts de tennis, avec même une ou deux luges.

     

    Ce week-end a été marqué par le Loto du Lion’S Club de Vanves-Malakoff-Montrouge qui a réunit prés de 200 participants à l’école Marceau samedi soir, et la grande messe dominicale à Saint Remy où l’association Simon de Cyréne a été accueilli dans la comunauté paroissiale, avec une partie des résidents de la Maison-relais. L’un de ses responsables a présenté à la fin de la messe, après quelques mots de bienvenue du pére-curé Vincent Hauttecoeur, cette association qui a 20 ans d’existence. Il a expliqué que l’on veut aller plus loin avec ses maisons-relais et ses appartements « où l’on vit comme dans une grande famille tout en ayant la possibilité de se retrouver personnellement ». Le maire était présent tant à la messe qu’au vin chaud qui a suivi. Il les avait d’ailleurs accueilli dans la grande famille vanvéenne au début de la semaine dernière lors de la soirée d’accueil des nouveaux vanvéens. Enfin, en fin d’après midi le prieuré Ste Balthilde accueillait l’ensemble des communautés religieuses du diocése à l’occasion de la fête de la vie consacrée dans les Hauts seine : Trois d’entre elles ont témoigné comme les Petits Fréres de l’Evangile, 5 religieux vivants à Villeneuve la Garenne et l’Ile Saint Denis,  la Communauté de St Joseph installée à l’école Ste Geneviève d’Asnières et bien sûr nos bénédictines qui ont accueillie l’association Simon de Cyréne. Des échanges ont précédé les Vêpres et un dîner où ils ont pu échanger, notamment sur la proposition de l’un des témoins : « Nous sommes partie prenante de la pastorale du diocése. Comment peut on prendre en compte les orientations de notre Evêque, leur donner corps (dans nos communautés )? »

     

    Mardi 7 Février 2012

    A 18H à l’espace Cabourg : Inauguration du restaurant « Saliha Boustaoui »

    Mercredi 8 Février 2012

    A 19H à la Marie : Conseil Municipal avec 18 délibérations inscrites à l’ordre du jour avec notamment le débat sur les orientations budgétaires pour 2012, des demandes de subventions pour la vidéoprotection urbaine, pour le contrat local desécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD), une convention de partenariat entre la ville et la CCIP 92 (Chambre de Commerce et d’Industrie des Hauts de Seine), une convention d’objectifs entre le ville et le Stade de Vanves, les  dénominations d’une allée et d’une salle municipale,  la désignation d’un représentant de la commune au Conseil de Surveillance de la Société du Grand Paris…

    A 19H30 à Panopée : Présentation dans le cadre d’Artdanthé de  « Figidiunbruttodio  » qui est une satire sur la corruption dans le milieu audivisuel italien présentée par Paulo Mazzarelli et Lino Musella qui viennent du Piccolo Theatro de Milan  avec la compagnie « Mazzarellimusella qui a été  résidente à Vanves

    Jeudi 9 Février 2012

    A 19H30 à Panopée : Présentation dans le cadre d’Artdanthé de  « Crack machine » qui revient sur l’affaire Jérome Kerviel, ex-trader, toujours par  la compagnie « Mazzarellimusella avec  Paulo Mazzarelli et Lino Musella qui viennent du Piccolo Theatro de Milan

    A 20H30 à Saint François : Conférence de Sœur Geneviéve Comeau, xavière et professeur au Centre Sévres, spécialisée dans le dialogue interreligieux sur « l’esprit d’assise, rencontrer aujourd’hui ceux qui croient autrement » dans la cadre des 25 Ans de la recontruction de l’église Saint François et du parcours sur  « Saint François, un homme pour son temps

    Vendredi 10 Février 2012

    A 8h30 au Café « Le Bristol » : Petit déjeuner du maire avec les commerçants du quartier de la rue J.Bleuzen

    A 10H au Conseil Général : Guy Janvier participe à la séance budgétaire du Conseil Général des Hauts de Seine qui débattra des orientations budgétaires

    Samedi 11 Février 2012

    A 14H à l’Espace Jean Monnet : 3éme rencontre des associations

    A 18h: Remise de l'insigne de Chevalier dans l'Ordre National du Mérite à Simone Cottard, Présidente du Club Amitié Détente (CAD) de Vanves

    A 21H au Théätre Le Vanves : Dans le cadre d’artdanthé, présentation de : « Le Scapuler Noir »  de Raphaël Cottin avec sa compagnie « RC2 » résidente à Vanves, spectacle plus classique de dans sur de la musique de Purcell. UN duo chorégraphique de 7 épisodes aux esthétiques différentes qui interrogent la danse et le sacré. Le scrapulaire noir est le nom donné à l’ornement composé de deux petits moreceayux d’étoffe bénite qui sont joints ensemble par deux cordons  et portés autour du cou, en signe de dévotion aux douleurs dites éprouvées par la Vierge Marie par la Congrégation religieuse des Servittes de Marie.  Il avait participé à un événement  où avait été  demandé à une trentaine d’artistes de rendre leur vision de l’univers Pina Bausch

    Dimanche 12 Février 2012

    A 17h à l’église Saint Remy : Concert « Chants Sacrés de la Méditerrannée »

  • VANVES ET LES FORETS FRANCILIENNES : RECONCILIER SES PROMENEURS AVEC SES GESTIONNAIRES

    Et pourquoi ne pas parler de nos forêts franciliennes alors que l’Ile de France se géle durant ce week-end de la Chandeleur. La forêt a aussi ses charmes à cette époque. En tous les cas, c’est un lieu dont les vanvéens profitent durant les week-ends qui occupe 72 500 ha en Ile de France (6% de son territoire)  avec 50 forêts domaniales fréquentés par 80 millions de visiteurs par an, dont les plus proches de l’agglomération parisienne se trouvent dans les Hauts de Seine avec notamment le bois de Meudon. Ces forêts dénommées péri-urbaines sont gérés   par l’ONF (Office National des Forêts) qui  a décidé de lancer un plan d’action destiné à améliorer le dialogue entre forestiers et usagers de ces forêts remarquables. 

     

    L’ONF veut réconcilier exploitants et promeneurs grâce à une charte (d’ici Fin 2013) qui vise essentiellement à améliorer la gestion des forêts domaniales en Ile-de-France  en associant davantage les acteurs locaux  (élus, professionnels, associations de protection de l’environnement et représentants des usagers) par le biais des 12 comités de gestion des massifs auxquels ils participent. Un directeur de projet « forêts périurbaines » a été nommé au sein de l’ONF qui  devrait participer à ses réunions, assurer le suivi des travaux de ces comités et faire une synthése de ces attentes qui seront présentés lors d’une réunion régionales au cours du 1er trimestre 2012. « Il s’agira d’aborder les questions techniques, les effets sur le paysage, les modalités et les calendriers d’intervention, les précautions à prendre, les informations à mettre en place avant et pendant les travaux » explique t-on à l’ONF où ses responsables reconnaissent que « pour remédier au problème posé par la perception de ces coupes, auxquels le grand public est très sensible,  il faudrait retravailler la forme et la dimension des coupes, s'interroger sur la répartition de l'effort de renouvellement sur l'ensemble de la forêt, composée de feuillus, chênes et châtaigniers surtout, qui s'exerce par des semis qui se développent quand la lumière arrive » ont il expliqué en abordant notamment « la question dépérissement des chênes lié à la hausse des températures et au vieillissement des chênes. Cela mérite qu'on s'y intéresse car on risque d'avoir en IDF des essences qui vont prendre le dessus sur le chêne ».

     

    Ses responsables vont lancer deux actions spécifiques sans délais : Une réflexion avec les professionnels de la filière bois pour les coupes en site sensibles, aux fins de développer des clauses particuliéres sur ces chantiers pour mieux prendre en compte les exigences paysagères et les attentes particulière, sachant que les revenus financiers de l'ONF proviennent à 40% de la vente de produits sylvicoles. En Ile de France,  la récolte moyenne annuelle se chiffre à 250.000 m3. « Malgré les tempêtes (de 1999 et 2009) il reste un bon réservoir et si demain on va monter des chaudières à bois partout il faudra que le bois vienne de la forêt d'à côté et pas à plus de 200 km » ont-ils souligné parlant d’un énorme effort de pédagogie à faire « car les gens veulent du bois pour la cheminée et construire leurs maison mais ils ne veulent pas qu'on coupe les arbres ». L’ONF a prévu de mieux expliquer et faire comprendre ses actions vis-à-vis du grand public grâce à différents moyens : une information régulière et accessible sera mis en place sur Interner pour chaque massif forestier, l’apposition de nouveaux panneaux avant les coupes dans les forêts, l’organisation de rencontres de quartier préalable à une coupe en lisiére dans le cadre des liens avec les élus pour les sites les plus sensibles, une action en liaison avec le ministére de l’éducation nationale et les collectivités pour favoriser les actions d’éducation à l’environnement, sachant que d’ores et déjà plus de 70 000 enfants sont sensibilisés à la forêt dans notre région

  • LE COMMERCE DE PROXIMITE A VANVES : « Et si les nouvelles technologies pouvaient ramener les clients dans les boutiques »

    Le maire de Vanves a relancé ses petits déjeuners avec les commerçants quartier par quartier en commençant par le Centre Ancien mardi dernier chez « Manu » puis au Bristol Vendredi prochain pour le quartier J.BLeuzen-Verdun etc… sachant que le conseil municipal devrait renouveler sa convention de partenariat entre  la CCIP 92 (Délégation Hauts de Seine de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris) Mercredi prochain. Occasion peut être de révolutionner les choses !  

     

    Elle fait partie des 26 conventions de partenariat qui ont été signé entre la CCIP92 et les communes altoséquanaises  « La CCIP 92 est impliqué dans la défense du commerce de proximité comme toutes les CCI, car c’est celui qui est le plus vulnérable à l’heure actuelle. On considère que le commerce dans la ville est source de vie, d’humanisme, de convivialité, de sécurité. On fait tout pour consolider le commerce de centre de ville (ou de proximité) en association avec les collectivités locales » explique Alain Buat, vice président chargé du Commerce à la CCIP 92  qui était venu inaugurer le Mois du Commerce à Vanves à l’automne dernier en ajoutant : « Il s’agit principalement de monter les dossiers FISAC (Fonds d’Intervention pour les services, l’artisanat et le commerce) pour rénover les commerces de centres villes qui est l’action phare. Elle s’étoffe avec différentes actions comme l’animation commerciale, la décoration des vitrines, le recrutement d’un Manager de centre ville. Nous animons des ateliers du commerce sur des thémes bien précis comme l’e-commerce, l’accessibilité aux handicapés, la loi exigeant qu’à partir du 1Er Janvier 2015, cette accessibilité soit le cas dans tous les commerces »

     

    Les commerçants doivent face à la crise qui s’est traduit par une baisse de la consommation, mais aussi à une mutation où le commerce doit capter des flux. Et la CCIP s’est attelé pour sensibiliser ses commerçants aux  nouvelles techniques et technologies (e-commmerce, m-commerce…) qui ont pour but de ramener la consommation vers le commerce de proximité aussi bien pour les résidents que pour les flux de migration des salariés. Et de mettre en réseau le  maximum de personnes partageant ses préoccupations communes. « Parce qu’en partageant les meilleures pratiques, elles arrivent à s’en sortir, associations de commerçants, manager de centre ville etc… ». Encore faut il que l’action de la CCIP 92 soit connue, ce qui n’est pas toujours le cas comme il l’explique.  « Mais nous sommes en pleine mutation : Du commerce de proximité, où les gens descendaient de leur immeuble pour acheter dans la boutique d’en face, nous allons vers un commerce qui a pour but de capter les flux, parce que de plus en plus, les gens se déplacent pour aller travailler, au spectacle. Ils ont donc besoin de trouver des magasins un peu partout. Si le commerce de proximité veut continuer à vivre et à se développer, il faut qu’il tienne compte de ses nouvelles pratiques.  Nous avons pour cela des outils que nous mettons en place dans le cadre de ses conventions de partenariat (Villa-cités pour analyser le tissu commercial existant et faire des propositions, Eco-Défi pour inciter les comerçants à respecter un certain nombre de contraintes environnementales et obtenir ce label, et les conciergeries d’entreprises) »

     

    Mais la CCIP 92 va bien au-delà en recherchant de nouvelles solutions à mettre en place au profit des commerces locaux et des collectivités locales.   Ainsi, elle a entamé des négociations assez avancées avec la ville de Sceaux, pour mettre en place une conciergerie numérique, s’appuyant sur les moyens de communications modernes. « Les consommateurs pourront commander par leur smartphone, leur ordinateur auprès des commerçants locaux, passer et payer leurs commandes via internet qui sera déposée dans un casier sous digicode  (bientôt réfrigérer pour l’alimentaire) où ils pourront la récupérer. Nous travaillons pour cela en étroite collaboration avec un chercheur de l’ESCP-Europe, Olivier Badot qui est un des rares chercheurs en France sur le commerce. Grâce à lui, nous nous orientons vers des solutions d’e-commerce, de m-commerce (sur mobile) et du-commerce (public writer) c’est à dire que l’on pourra bientôt utiliser un certain nombre de canaux pour faire ses courses.  Nous travaillons sur des bornes émettrices qui permettront lorsqu’on traverse un quartier d’avoir sur son smartphone, l’annonce d’une promotion faîte par l’épicerie du coin.. Ces nouvelles techniques ont pour but de ramener la consommation vers le commerce de proximité aussi bien pour les résidents que pour les flux de migration des salariés ».

     

    Encore faut il que les commerçants soient sensibilisés à l’autre bout de la chaîne sur l’utilisation de ces nouveles technologies : « C’est là que nous avons un travail de fonds à faire et qui sont l’objet de nos réflexions, car nous n’avons pas encore trouvé la bonne solution. D’autant plus que les commerçants ont le nez dans le guidon du matin au soir, n’ayant pas tellement envie de participer à des réunions ou des formations leur jour de repos (lundi). Il faut que nous arrivions à trouver le bon créneau pour les sensibiliser. Mais on y arrivera, car c’est dans leur intérêt. Parce que la survie et le développement du commerce de centre ville en dépendent. Regardez ce qui se déroule dans les gares, comme Saint Lazare, qui sont de véritables Hubbs où l’on trouve de tout. Tout comme bientôt les gares du Grand Paris Express. Il faudra arriver à convaincre les commerçants locaux d’adhérer à ces nouveaux formes de commerce soit en ouvrant des corners dans ces gares, soit en installant des bornes qui émettent des messages commerciaux perçus par les mobiles et smartphones, soit en installant des conciergeries numériques ».