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pierre meige

  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE SAINTE

    Mardi 12 avril 22

    A 19H à l’espace Tuileries : l’association Rives Méditérranéennes reçoit l’écrivain PIere Meige pour son nouveau roman « Réglements de compte à l’EHPAD »

    Jeudi 14Avril

    A 20H à Saint Remy, à 19H30  chez les bénédictines : Célébration de la Céne avec lavement des pieds

    A 20H30 sur le site internet de la paroisse : Veillée de prière et d’adoration

    Vendredi 15 Avril

    A 12H15 à Saint Remy et à 15H à Saint François : Chemin de Croix

    A 15H  chez les Bénédictines : Chemin de Croix, avec Simon de Cyréne pour les sœurs

    A 19H chez les Bénédictines et à 20H à Saint Remy : Célébration de la Passion et de la Mort du Christ

    Samedi 16 Avril

    A 21H à Saint Remy et 22H chez les Bénédictines : Vigile Pascale

    Dimanche 17 Avril

    A 10H30 chez les Bénédictines et à 11H15 à Saint Remy : Messes solennelles de la Résurrection du Christ

  • LE DERNIER POLAR DE PIERRE MEIGE TRES D’ACTUALITE : « Réglements de compte à l’EHPAD »

    Pierre Meige (sur la photo lors d’un Forum des Associations) qui est l’auteur de plusieurs livres vient d’écrire  écrit un polar « réglements de compte de l’EHPAD » publié chez un éditeur vanvéens : Les Editions Au bout de La Rue.

    Inspiré peut être par ces animations dans certains EHPAD de Vanves, dont celui de Larmeroux, cotoyant ses résidents et son personnel « J’ai travaillé pendant plus de quinze ans dans ces usines à fric comme musithérapitre indépendant. Quand je jouais de l’accordéon et que je voyais un ancien ou une ancienne sourire et retrouver la mémoire en se rappelant les paroles d’un air doré de sa jeunesse, je me sentais utile le temps d’un après chantant. Par l’intermédiaire d’un roman noir, j’ai voulu décrire, par l’intermédiaire d’un justicier coriace de 80 piges, le quotidien des ehpadiens que j’ai pu passer dans ces établissementds de fin de vie» explique-t-il

    « Lorsque nous évoquions avec des proches, notre fin de parcours terrestre, au seul mot EHPAD prononcé, nous perdions tout sens de l’humour et nous déclarions solennement : Tout mais pas ça ! ». Et il raconte dans ce livre,  ce Georges Lamardin qui n’a pas eu le choix : «Sa fille a bien manoeuvré pour le placer dans un lieu de fin de vie pour papays un peu trop dérangeant. Dés qu’il a franchit la porte d’entrée et qu’il a vu dans quelles conditions survivaient ses congénéres, il s’est senti l’âme d’un justicier. Ainsi est né Klilly Papy, le justicier du mouroir soi-disant doré. » Ce n’est pas son premier livre dans le genre car il a participé à la collection Detectivariul, Vampires à sang pour sang (tome 18), Trop Robot pour être vrai (tome 34) et en 2014 à un recueil de nouvelles, Mystérieux aux Editions du bout de la rue

    Ce vanvéen qui habitait villa Quincy  depuis des années s’est installé en grande couronne à la campagne, a consacré toute sa vie jusqu’à présent à la musique : chanteur dans des groupes éphémères et pianiste de bar dans le quartier Saint-Germain-des-Prés,  signant six albums chez RCA…mais en cultivant une passion :écrire des essais extrèmement documentés, des romans noirs ou fantastiques, bâtir des poèmes dont on ne se lasse pas de répéter les strophes. Ainsi, il a publié son premier ouvrage De l’autre côté du périph, recueil de poésies (Éditions Bérénice). D’autres ouvrages suivront : La Dame blanche, Noël noir, Les poètes du rock (Éditions de l’Ours Blanc), Mémoire de la cité du 2152 (Collection du patrimoine du 93), Actes de naissance, L’heure injuste (Éditions la Passe du vent), Bains douches (Éditions Arcadia), Gueule d’Ange, Paroles Vanvéennes, A vos plumes poétes, Dites le avec des femmes (Édition du bout de la rue) Manuel historique, poétique et féerique des Hauts-de-Seine et Dernières nouvelles du fond (Édition de l'Ours Blanc), Et Vian Revoilà Boris (Édition Chapitre Douze), 18 extrême rock (L’écailler du sud), Les fantômes de Paris et La poésie m’a sauvé la vie, CD livre (Édition de l'Ours Blanc)….

  • L’EQUIPE SAINT VINCENT DE PAUL DE VANVES ARRETE SES ACTIVITES FAUTE DE COMBATTANTS

    L’une des asssociations caritatives  des paroisses de Vanves vient de se mettre en sommeil,   faute de relève, dans l’indifférence générale : la  société Saint Vincent de Paul très présente à Saint François… Beaucoup connaissent cette association septuagénaire sous le nom de « conférence Saint Vincent de Paul » et se sont demandés pourquoi elle portait ce vocable de « conférence » : Tout simplement parce que cette association caritative  a été créée en 1833  sur le plan national, par de jeunes universitaires qui souhaitaient réagir contre l’anticléricalisme ambiant de l’époque et du quartier latin à Paris, et développer une certaine forme de solidarité. Et c’était un terme à la mode pour désigner une telle association par des étudiants.

    Elle avait choisi pour siège une église et un quartier qui ne ressemblaient à rien  à ce qu’ils sont devenus aujourd’hui : Un ensemble de pavillons, sans caractère, hérissé de quelques immeubles de 3 ou 5 étages, manquant de tout confort, habité par des émigrés des faubourgs du XVéme, des réfugiés des inondations de 1910, de bretons et vendéens voulant rester à proximité de la gare Montparnasse, et une petite colonie russe. En 1941, c’était la guerre et le pére Renaud, alors curé de la paroisse Saint François, décidait de réagir pour aider les familles qui se débattaient au milieu de nombreuses difficultés. Il avait convoqué quelques paroissiens le 13 février 1941  dont Maurice Jardin, qui en fit son premier président, et leur avait proposé de créer un groupe de  charité qui fut agréé ensuite par la société Saint Vincent de Paul le 28 Janvier 1942, apportant ainsi à ce petit groupe local l’appartenance à un grand mouvement de chrétiens laïcs fondé par un jeune homme de 22 ans, Frédéric Ozanam, vers 1833. Cette petite équipe a suivie l’exemple de ces femmes qui, à l’époque de Saint Vincent de Paul, ont créée dans la paroisse Saint Remy, une association semblable, « les dames de la charité », pour venir en aide aux nécessiteux de l’époque. 58 vanvéennes avaient ainsi entre 1461 et 1672/75 sous la houlette de l’abbé Oudin alors prieur-curé de Vanves œuvré dans cette confrérie qui avait son statut et son réglement.

    « Durant la guerre et l’immédiat après-guerre, ce petit groupe a réalisé de véritables prouesses pour apporter une aide matérielle, un réconfort, une amitié à des familles qui se débattaient tout comme eux dans de nombreuses difficultés. Ils fournissaient là, un surplus de nourriture, un meilleur chauffage, l’un d’entre eux n’hésitant pas à aller jusqu’à Monthléry pour aller chercher  du ravitaillement chez des maraîchers. Ils faisaient ici la queue chez des commerçants à la place des impotants, récupérer tout ce qui pouvait l’être pour le redistribuer à des familles dans le besoin, multipliant les démarches pour toucher des allocations ou des tickets supplémentaires, suivre les jeunes en partance au sanatorium car la tuberculose faisait des ravages, soutenant les familles endeuillées… »  racontait l’un de ces premiers vincentien vanvéen.

    Les années ont passées et les situations ont changé en s’améliorant bien sûr : « dans les années 50, cette équipe a lancée les aides ménagères à domicile qui furent reprises quelques années plus tard par la mairie. Un de ses membres donnait des cours de français à des ouvriers algériens dans la salle de la paroisse, faisant de l’alphabétisation avant l’heure ». Plus tard, elle s’est mise à distribuer des aides ponctuelles pour épauler une famille dans une mauvaise passe en attendant l’intervention des services sociaux de la mairie avec lesquels elle entretienait d’excellent rapport. Ses derniers temps, elle participait à la Banque alimentaire, à l’épicerie sociale intercommunale d’Issy/Vanves dont elle était membre fondateur avec le Secours Catholique et la Croix Rouge. Elle a apportée surtout, par des visites, pierre angulaire de son action, une présence suivie auprès des aînés bien souvent seuls, et notamment ceux du Foyer Danton et des maisons de retraites. Elle a longtemps organisé un réveillon le soir même de Noël avec les Petits Fréres des Pauvres, qu’elle a remplacé par une distribution de colis,  continue 2 à 3 fois par an d’organiser ses goûters-spectacles avec notamment Pierre Meige et sa petite équipe, et une excursion par an. Mais depuis la disparition de Geneviéve Poupardin cet automne, qui en était l’âme, tout s’est délité jusqu’à cette décison prise voilà quelques jours de la mette en sommeil…en atendant peut être que des paroissiens plus jeunes prennent la relève