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militants

  • LES MILITANTS REPUBLICAINS TRES PERTURBES A VANVES

    Les militants et sympathisants des Républicains n’en sont pas à dire « Fillon on n’en veut plus » mais ils sont extrêmement perturbés comme c’était le cas au marché, samedi matin alors que certains d’entre eux avec Isabelle Debré, distribuaient le fameux tract tiré à 4 millions d’exemplaire. « Je ne voterai pas Fillon maintenant. D’ailleurs j’ai voté pour Alain Juppé à la primaire. Et je m’étais fait une raison pour voter pour le candidat L.R officiel.  Mais là, ce n’est pas possible ! Qu’il se retire ! Et puis je n’irai pas tracter, ni boiter  » expliquait cette militante très dèçue qui a repris, malgré tout,  sa carte à LR pour 2017. Un sentiment partagé par plusieurs d’entre eux. Quant au plan B, personne n’y croit : « Juppé, pourquoi pas ? Sarkozy ? Jamais ! Surtout pas !  » répond un autre alors que des rumeurs persistantes font état d’un retour de l’ancien chef de l’Etat dans le landerneau politique. Mais ils n’en sont pas encore prêt à aller voter pour Macron : « Quel est son programme ?» demandent ses militants qui s’interrogent sur ce qu’en pensent Isabelle Debré. « Quand même, c’est sortit deux jours après notre galette des rois ! » s’indignent ils   

  • LE CENTRE ANCIEN DE VANVES : UNE REUNION DE QUARTIER TRES MILITANTE

    Une partie de la salle des fêtes de l’hôtel de ville était remplie, mardi soir, en dehors de quelques vanvéens non encartés et de fonctionnaires municipaux, d’élus, de conseillers de quartiers et de militants UMP, UDI et Modem. D’ailleurs, pour un observateur averti cela se sent tout de suite. Par exemple, par des questions sur un sujet qui n’en suscite pas généralement, comme se fut le cas après la présentation du budget 2013 par Bertrand Voisine, maire adjoint des finances, et qui ont été sûrement suscités car extrêmement bien préparées. Ou par une invitation à poser la question à un participant en l’appelant par son prénon. Mais le sumum a été atteint à la fin de la réunion, lorsque le maire s’en est pris carrément au modem de Vanves qui a fait circuler un tract où ses auteurs lui posaient des questions. Ce qui a eu le don particulier de l’énerver et l’amener à leur rappeller qu’il organise de telles réunions pour que les vanvéens puissent justement le questionner – les deux militants son restés étonnament silencieux pendant ses deux heures – et qu’il est souvent en ville où les vanvéens peuvent l’aborder très facilement pour le questionner et discuter avec lui.

    Ainsi ses quelques signes  montrent les premiers et très timides prémices d’une campagne municipale qui est déjà dans la tête de tous les politiques vanvéens. Et notamment quelques explications comme celles-ci : « Je ne porte pas de jugement de valeur sur ceux qui nous ont précédé. On a fait un travail formidable depuis 10 ans. Notre sauveur est GPSO. Sans lui, nous n’aurions pas pu faire tout cela.  Surtout avec une baisse de ressources dû au départ de SFR. Or, il est important de ne pas s’arrêter à ce que fait la mairie. En faisant jouer les leviers, on a eu des initiatives publiques et privées, car des gens ont compris qu’ils pouvaient investir dans Vanves. Malheureusement les prix des métres carrés ont augmentés à 7000 €, 7500 € bientôt. L’écart entre l’ancien (5000/6000 € le m2) et le neuf (7000/7500 € le m2) se réduit. Les dépenses d’éclairages et de voiries représentent des sommes énormes. Nous allons peut être entrer dans une phase où l’on dépense moins pour éviter de jouer sur la fiscalité, alors que les familles font attention à leurs dépenses ! »

     

    Il n’en reste pas moins que cette réunion a commencé sans le maire qui inaugurait le cabinet d’un nouveau pédiatre à Vanves, par un exposé sur le budget communal 2013, puis selon « l’ordre du soir, et non du jour » selon un « bon mot » de Bernard Roche qui animait ce début de réunion, une présentation des travaux par Yann Texier, représentant territorial de GPSO que le maire-adjoint président du Conseil de Quartier Centre Ancien-Saint Remy a fait monter en grade en le qualifiant de directeur technique : Rénovation de l’éclairage public desrues René Sahors et Falret (50 000 € chacune), ainsi que Marcel Martinie/Pasteur  avec la rénovation de la voirie. Le maire en annonçant, un peu plus tard,  la requalification de la rue René Jézequel pour 2014, a ainsi constaté que c’est tout un axe de la place des Insurgés de Varsovie jusqu’à la gare SNCF qui aura été entièrement renové..en 2015. La ville procédera de la même façon que la rue Louis Dardenne avec consultation des riverains sur leurs désidératas, puis présentation d’un projet, ce qui n’a pas  empêché une riveraine de Louis Dardenne de se plaindre de n’avoir pas été informé de la dernière réunion publique. « Les services ont quelquefois du mal à entrer dans certains immeubles ! Nous sommes en phase de consultation des entreprises. Les travaux devraient se terminer à la Toussaint » a répondu le maire. Il faut ajouter la mise en place de zone 30 avec contre sens vélo dans les rues René Sahors, Guy Mocquet et Marie Besseyre, ainsi que les rues de l’Eglise et Gaudray avec des ralentisseurs comme ceux qui ont été installés rue de la République, et les rues Jullien, Gabrielle d’Estrée et Jullien dans le triangle Parc des expositions, Michelet, Manufacture.

     

    Le maire est revenu sur le chantier du conservatoire qui n’a pas bougé depuis quelques mois : « Les travaux devraient démarrer cet été pour prendre fin en 2014/15, et une ouverture pour la Rentrée 2015. Nous avons eu des difficultés juridiques avec les voisins, des problèmes de sondage et de dépollution (avec l’amiante notamment). Mais nous avions anticipé la démolition pour éviter les squatters ». Puis sur les terrains Aristide Briand (entre Coche/A.Briand et Diderot) qui font l’objet d’une consultation d’architecte : 50 dossiers ont été retirés. 44 seront éliminés. 6 seront retenus par un jury qui a été spécialement créé pour cela, selon plusieurs critères, et notamment la philosophie du projet : « Nous voulons uin projet de très haute qualité. Le théme est retenu : Une architecture d’inspiration contemporaine, avec des espaces verts, de l’eau » a-t-il expliqué en rappelant que « cet aménagement devrait nous permettre de financer le désendettement de la ville provoqué par l’emprunt engagé pour construire les équipements de l’école Cabourg qui fonctionnement très bien, et financer d’autres équipements comme la rénovation du gymnase André Roche ».

    Occasion de rappeler que la ville travaille avec le lycée Michelet, et la Région, pour rénover ses équipements sportifs avec, en contrepartie, la possibilité de les utiliser en dehors du temps scolaire. Par contre, à l’occasion d’une question d’un riverain du LEP Dardenne qui se plaignait que des jeunes trainent dans le hall de son immeuble, car ils n’ont pas de lieu où se retrouver à l’heure du déjeuner, le maire a indiqué que, malgré ses interventions, la région n’a rien voulu entendre, se limitant à dire qu’ils ont la possibilité d’aller déjeuner à Michelet, et ayant même refusé deux propositions de la ville : Un local spécifique dans les équipements publics de Cabourg au moment de sa construction, ou l’aménagement d’un auvant dans la cour du LEP. Sans commentaires lorsque les responsables régionaux expliquent à longueur d’inauguration de lycées qu’ils font tout pour améliorer la vie quotidienne des lycéeens.

     

    Devant le peu de questions, il a continué, en donnant des informations tout d’abord sur l’orgue de l’église Saint Remy, en cours de construction par l’entreprise Kerg, qui devrait être prêt pour la fin de l’année. Ensuite sur les nouveaux commerces : Une parapharmacie devrait s’installer à côté de Picard tenue par les pharmaciens de l’avenue de Verdun, à défaut d’un restaurant. Par contre, il n’y aura pas de pizzeria tenue par la championne des pizzas rue René Coche, à côté de la nouvelle boulangerie, les banques ayant refusées de l’aider ( ?), en parlant aussi d’un cabinet médical. Un participant l’a interrogé sur les nuisances provoqués par certains commerçants et notamment la teinturerie d’avenue Ernest Laval : « J’ai deux soucis  avec BTH et ses 7 camionnettes. Si on leur interdit de se garer rue de la République, BTH ferme. Et on n’a pas trouvé de solutions jusqu’à présent. Pour la teinturie, le niveaj de l’activité – elle est en sur-activité – n’est plus adaptré à ses locaux ! » a-t-il reconnu. Enfin, avec l’ouverture de l’EHPAD sur une partie des terrains de la rue Raymond Marcheron, Vanves dispose de 400 places d’accueil pour les personnes âgées avec Larmeroux, Arpage et Medicis. Il a en tête d’organiser des conférences animés par quelques des 30 prêtres de cet EHPAD qui sont des hommes remarquables.