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emploi

  • LE PREMIER MINISTRE REPOND AU MAIRE DE VANVES SUR LES EMPLOIS AIDES

    Le Premier Ministre Edouard Philippe a répondu au maire de Vanves qui lui avait adressé un courrier concernant les emplois aidés début Septembre, en lui faisant part de ses inquiétudes. « Ils ne sont pas une solution satisfaisante au problème de l’emploi précaire, faiblement rémunérés, ils sont en outre peu efficaces en matière d’insertion professionnelle (dans le secteur non marchand, seuls 26% des emplois aidés débouchent sur un emploi durable) alors même que leur coût est élevé pour les dépenses publiques » lui écrit en lui expliquant qu’il est nécessaire de procéder à une transformation en profondeur de notre économie et de notre politique de l’emploi à travers les ordonnances sur le travail présentées à la fin Août et de la réforme de la formation professionnelle et de l’apprentissage que le gouvernement s’apprête à engager.

    « Il ne s’agit pas toutefois de supprimer les contrats aidés mais de les cîbler en priorité vers les personnes qui sont les plus éloignées du marché du travail et là où le recour sà ce dispositif est indispensable à la cohésion sociale et territoriale. A l’avenir, les contrats ont vocation à être déployés prioritairement à destination de l’Outre-mer et des communes rurales, pour l’accompagnement des enfants handicapés et milieu scolaire et pour répondre à l’urgence en matière sociale et de santé » lui précise t-il. Les Préfets de région et le service public de l’emploi seront particulièrement mobilisés pour garantir la mise en oeuvre de ses priorités, en veillant à éviter les « sorties séches », en suivant les personnes dont les contrats arrivent à échéance, pour leur proposer une formation qualifiante ou un reclassement.

    Il lui annonce qu’en 2018, « ce sont prés de 200 000 contrats aidés qui seront conclus sur la base d’un taux moyen de prise en charge de 50% avec un accompagnement systématique en matière de formation. Les contrats qui sont en CDD à temps partiel n’ont pas et n’ont jamais eu, d’ailleurs, pour vocation derépondre à des besois pérennes. Ils ont vocation à constituer des instruments d’insertion pour l’emploi ».  Et que le gouvernement va permettre le déploiement de10 000 contrats de professionnalisation expérimentaux. « Ouverts aux jeunes, aux demandeurs d’emplois et à ceux qui ont bénéficié d’un emploi aidé, ils assurent une formation sur mesure pour accompagner au mieux les personnes en difficulté et les aider à sortir de leur précarité ».

  • ISABELLE DEBRE SENATEUR DE VANVES ET REFERENT FILLON POUR LE 92 : « Fillon est le meilleur choix pour notre pays !: »

    Isabelle Debré vice présidente du Sénat  LR sera aux côtés de François Fillon, ce soir à 18H30, à Issy les Moulineaux (au PACI) pour un « rassemblement pour le plein emploi » avec 7 personnalités de la société civile qui interviendront pour  montrer que « le plein emploi est possible en France grâce à la mise en place d’actions précis» sur plusieurs thèmes qui seront abordés  comme l’accès des jeunes à l’emploi, le travail indépendant, la libéralisation du marché du travail….«Le plein emploi est un impératif pour redonner aux français confiance en l’avenir et permettre à la France de retrouver son rang de première puissance européenne. Depuis trois ans, F.Fillon travaille aux côtés de chefs d’entreprises, de professeurs, de juristes, de fonctionnaires… pour construire son projet » explique son équipe qui a répondu au souhait de l’ex-premier ministre d’en faire un «événement interactif» en donnant la possibilité de poser des questions via les réseaux sociaux et en faisant voter des résolutions à la fin de chaque intervention Evidemment, tous les observateurs n’ont pas manqué de noter  cette réunion intervient le jour où débute l’examen du projet de loi sur le travail à l’Assemblée Nationale, dans un département où il s’est déjà rendu le 9 mars dernier à Boulogne et bénéficie déjà du soutien d’élus comme Isabelle Debré

    Vanves Au Quotidien -  Pourquoi soutenez-vous François Filon ?

    Isabelle Debré : «  En France, l’élection présidentielle est un temps fort de la vie démocratique. C’est pourquoi le choix des candidats à cette élection revêt une si grande importance. Dans ce cadre, ma famille politique va présenter plusieurs candidats à la primaire. Et naturellement, quel que soit l’élu, je le soutiendrai.  Parmi eux, François Fillon, dont je suis convaincue qu’il est le meilleur choix pour notre Pays.

    VAQ - Pourquoi ?

    I.D. : « Je le connais bien, j’ai confiance en lui et en ses qualités d’homme. Il possède une vrai expérience, locale, nationale et internationale. Depuis trois ans, il s’est attelé à bâtir un programme, se nourrissant de ce qu’il a appris au cours de sa vie politique, en réfléchissant à ses réussites comme à ses échecs, et en consultant les personnes les mieux qualifiées. Ainsi, il propose de refonder notre économie et nos rapports sociaux en s’appuyant sur les valeurs de liberté, de vérité et d’autorité. J’adhère pleinement à sa vision de ce qu’il convient d’entreprendre pour construire un pays rassemblé et modernisé.

    VAQ-  En quoi consiste votre rôle de référent dans le 92 ?

    I.D. : «  Dans l’organisation mise en place, le rôle des référents départementaux consiste à densifier le maillage territorial de l’équipe de campagne, à animer et informer nos militants et sympathisants, et enfin, bien sûr, à diffuser le plus largement possible les propositions de François Fillon.

    VAQ -  Qui le soutient dans le 92 et pourquoi ?

    I.D. « Certains élus se sont déjà prononcés en sa faveur, le soir du meeting de Boulogne le 9 mars par exemple, ou dans la tribune publiée dans le Monde le 21 mars, et d’autres le feront sans doute un peu plus tard. Comme vous le savez, la campagne des parrainages a commencé et de nouveaux soutiens se manifesteront certainement dans les jours à venir.

  • SDRIF ET METROPOLE DU GRAND PARIS : « LA REGION METTRA LES PASTILLES ET VANVES ENFILERA LES PERLES »

    Cette semaine devrait être très politique en Ile de France avec ce débat sur le Schéma Directeur de la Région Ile de France et les conséquences de la future loi sur la Métropole du Grand Paris. Bernard Gauducheau, conseiller général  UDI  participait dés lundi matin à une conférence de presse de son groupe qui dénonçait la cacophonie sur l’avenir de l’Ile de France  à un moment où le gouvernement fait passer en force la réforme de la métropole francilienne qui va enlever tout pouvoir à la Région.

     

    Il  a rappellé que la version précédente du SDRIF avait été bloquée en 2010, car il ne prenait pas en compte la loi sur le Grand Paris, et affirmé que  le même problème se pose aujourd’hui, puisque la métropole du Grand Paris n’est intégrée, ni en tant que territoire, ni en tant qu’interlocuteur, au sein du schéma directeur francilien ! « Ce texte est obsolète et inopérant, alors qu’il n’est pas encore adopté ! Désormais la Métropole de Paris est seule compétente sur le logement et l’urbanisme, or elle n’a pas été prise en compte dans le SDRIF… Quelle portée peut avoir un texte « mort-né » pour l’avenir des franciliens ? » s’interrogeait Laurent Lafon président du groupe UDI qui constatait que « dans les 800 pages du projet de SDRIF, la Métropole du Grand Paris n’est citée qu’une seule fois, et encore dans le texte introductif ». Pour Bernard Gauducheau, qi s’occupe des questions du Grand Paris et de l’aménagement diu territoire dans le groupe UDI  expliquait que « la donne a changée depuis un an : On laisse se créer une métropole de 124 communes avec pour compétence l’aménagement du territoire, le logement…. Ainsi ceux qui décideront de cette politique n’auront pas compétence sur la Région, ni les territoires qui disposent du foncier libre….en grande couronne.  Et les communes seront dessaisies de leur pouvoir au profit de la Métropole et de ses territoires » avec cette formule : « La Région mettra des pastilles et les communes enfileront les perles ».

     

    Pour Jean Christophe Lagarde député maire de Drancy, « il est incompréhensible que l’Exécutif ne reprenne pas la main »… « peut être à cause de l’absence de poids politique de Jean Paul Huchon » ( ?)….face à « des élus parisiens qui ont décidés de supprimer la Région Capitale » en désignant nommément « l’alliance objective » entre Anne Hidalgo et Jean Maire Le Guen, la première se voyant maire de Paris, et le second Président de la Métropole du Grand Paris. « Cette disparition de la Région a une signification car on sépare au lieu de rapprocher  logement et emploi, logement et transports. Pourquoi voter un SDRIF alors que la métropole du Grand Paris fait disparaître la Région Ile de France. Les socialistes vont commettre la même erreur qu’avec l’Europe : créer un monstre technocratique sur lequel le citoyen n’aura pas de prise. Les maires n’auront plus de pouvoirs alors que c’est le seul élu qui leur soit accessible. Les compétences librement transférées aux EPCI actuels par les communes, seront absorbées par la Métropole du Grand Paris qui décidera à leur place de la gestion de leur médiathéque, de leur piscine, de leurs espaces verts... » expliquait il. « Entre un SDRIF dépassé et une métropole du Grand Paris « usine à gaz », le gouvernement et la majorité entraînent notre région capitale dans une impasse » concluait Laurent Lafon.

     

    Occasion de constater que les deux chefs de file UDI et UMP de la commune de Vanves sont des acteurs actifs dans ce débat sur le projet de loi de Métropole du Grand Paris, Bernard Gauducheau au Conseil Régional, Isabelle Debré au Sénat  où elle était intervenu en citant même Vanves lors des débats, juste au lendemain du Conseil Municipal qui avait voté un vœu défendant les intercos et notamment GPSO : «  Une fois n'est pas coutume, je parlerai de ma ville de Vanves, membre de l'EPCI du Grand Paris Seine Ouest. En conseil municipal, hier, nous avons parlé du projet : il porte atteinte aux équilibres territoriaux et aux liens de proximité patiemment bâtis. Il met en cause l'autonomie des collectivités territoriales du bloc communal, en les regroupant dans une structure sans budget ni autonomie. Il éloigne l'action publique du terrain. Il aura des conséquences financières : financement de la nouvelle structure avec ses nombreux agents et de l'assemblée avec ses centaines d'élus tandis que les EPCI existants perdront des recettes. Nous avons adopté un voeu à une large majorité, ce qui prouve que la question dépasse les clivages politiciens ».