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  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    FAMILLES EXPULSEES

    A L’occasion de l’audition annuelle du préfet des Hauts de Seine devant le Conseil Départemental, des Hauts de Seine, vendredi dernier, celui-ci a été amené par Marie Héléne Amiable (FG/GC) maire de Bagneux  à apporter quelques précisions  sur ses familles hébergées à l’hôtel qui se sont vu notifier par un courrier un avis d’expulsion. Objet d’un vœu présenté au dernier conseil municipal de Vanves :   «Il y a eu, à la fin du 1er semestre 2017, des difficultés pour financer les nuitées d’hôtels. 4400 personnes étaient concernées (+57%). J’ai demandé de régler ce problème financier. Mais on n’a pas assez de places d’hébergement dans le département et on a un problème de saturation du marché hôtelier. On n’arrive plus à trouver des hôtels acceptant ce public ou qui  changent d’avis entretemps. Si j’avais davantage de logements sociaux dans le département, on pourrait loger ce public vulnérable. J’ai aussi un problème de contingent  pour ses gens vulnérables ! » a-t-il reconnu en laissant entendre « une certaine réserve de la part de réservataires qui pourraient nous aide

     

    UN CESEV AUDITE ET REFORME

    «Nous avons fait un audit du CESEV parce qu’i y avait des choses perfectibles et l’adapter pour mieux fonctionner » a indiqué Bernard Rochen au Conseil Municipal du 27 Juin en reconnaissant que « tout n’a pas été parfait durant le premier mandat. On a cherché à le redynamiser en permettant à de plus petits groupes de travailler sur un sujet en un temps limité par exemple. Valérie Mathey (PS) a demandé que le rapport annuel du CESEV soit publié, ou tout au mois certains travaux. JC Le Goff (LREM) a entendu la déception de certains de ses membres  sur son fonctionnement. Guillaume Moucheroud (EELV) a reconnu la possibilité donner au CESEV de travailler avec les services, ce qui n’était pas le cas auparavant. Mais la vraie question reste en suspens ! Comment va se traduire la mise en oruvre des propositions faites 

  • HAUTS DE VANVES : LE CHANTIER DE LA GARE DU GRAND EXPRESS DANS LES TEMPS !

    Eclairs et coups de tonnerre ont rythmé et accompagné cette première réunion publique de quartier du printemps 2018 pendant 2H30/3H dans le préau de l’école élémentaire Larmeroux, lundi soir, avec tout d’abord, deux exercices obligatoires qui se renouveleront aux deux autres réunions de quartiers prévu le 7 Juin pour le Centre Ancien (à la mairie), et le 11 Juin (à l’école Marceau) : La présentation du budget 2018 par Bertrand Voisine, maire adjoint, et le renouvellement du CESEV (Conseil Economique, social environnemental de Vanves) par Bernard Roche qui a insisté, comme le maire de Vanves, sur les améliorations apportées à ce dispositif de participation et de démocratie locale qui a été imaginé à la place des comités consultatifs. « Nous avons allégé et réduit les équipes, avec un CESEV de 40 Membres, des groupes de travail de 12 personne sur un théme sur lequel elles plancheront 5 mois » 

    L’autre exercice obligatoire pour les Hauts de Vanves est le point sur le chantier de la gare du Grand Paris Express, Fort d’Issy/Vanves/Clamart, avec les responsablesdu chantier et des relations avec les élus et les riverains. Ce point d’actualité intervenait alors qu’après les annonces du gouvernement sur le calendrier, la mise en service de cette ligne 15 Sud (Pont de Sévres-Noisy Champ) est reportée de 2022 à 2024, avec son complément 15 Ouest (jusqu’à la Défense) reportée à 2030 contre lequel des maires des Hauts de Seine ont protesté avec Patrick Ollier, président de la Métropole.

    A Clamart, le chantier de génie civil de la gare est dans les temps, malgré un calendrier chargé. Il a été le premier à débuter, voilà 2 ans, u u 1er Juin 2016. Après tous les travaux préparatifs pour permettre le ripage de la dalle qui sera le toit de la gare à la mi-Août 2017, et surtout la pose des parois moulées, le terrassement a commencé avec, depuis la fin de l’été 2017, le creusement des 4 niveaux de la gare - Les ouvriers en sont au 3éme niveau – qui lorsqu’il prendra fin,  laissera place à l’aménagement de la gare et des équipements systémes. Pendant ce temps là, le tunnelier conmmencera à creuser du Pont de Sévres à Clamart

    Deux gros chantiers sont prévus durant le second semestre de 2018. Dés Juillet, un gros collecteur d’assainissement devrait être renforcé, avant l’arrivée du tunnelier, pour ne pas créér desproblémes. Ce qui conduira à neutraliser quelques places de parkings de parkings Bd desFréres Vigouroux jusqu’En Septembre. Dés Septembre (et jusqueen Décembre),  sera entrepris la démolition de cet ex-café mitoyen de la ligne SNCF, côté rue du Clos Montholon (sur la photo), à côté de passage souterrain, pour permettre l’aménagement du petit parvis prévu de ce côté vanvéen de la gare      

    Des riverains se sont plaints des nuisances ocassionés par les camions du chantier, notamment un affaissement de la chaussée de la rue R.Marcheron, et des habitués de la garede Clamart, des dysfonctionnements répétés des ascenseurs de la passerelle piétonne. A la suite du Comité de Suivi de la semaine dernière, la SNCF aurait prévu qu’il y ait un de ses agent pour accompagner les utilisateurs sur un ouvrage qui n’est que provisoire.

    A Suivre….

  • MARCHE DE VANVES : « ON CONTINUE COMME AVANT, C’EST UN CHOIX ! »

    Voilà quelques semaines, le blog faisait était d’un « marché de Vanves délaissé » en indiquant que le contrat de délégation de service public (DSP) du marché couvert (sur la photo : l’entrée côté rue A.Fratacci avec le maire adjoint chargé du commerce ) confié à la société EGS (le 24 Mars 2010)  arrivait à échéance le 30 avril 2016. C’est la raison pour laquelle le conseil municipal du 30 Mars dernier avait décidé de le prolonger jusqu’au 1er Juillet 2016 pour que la ville et l’équipe municipale se donne le temps pour bien définir les besoins de la ville, et choisir l’attributaire du contrat de DSP dont le nom a été rendu public lors du Conseil municipal qui s’est déroulé hier: Il s'agit toujours d'EGS qui a fait l'offre la plus avantageuse par rapport à deux autres concurrents.

    D’ailleurs, une des commissions du CESEV (Conseil Economique,  Social et Environnemental de Vanves) Economie et Prospective, planchait  sur le marché qui ne donne pas satisfaction à entendre le témoignage de ceux qui le fréquentent et l’apprécient. Des critiques qui sont récurrentes : La présence des commerçants est en baisse, 7 le mardi, environ 20 le jeudi et plus qu’une quarantaine le samedi, ce qui est peu  même pour un samedi et par rapport  au passé, parmi les abonnés. Les volants ont quasiment disparu, alors qu’ils occupaient souvent toute la longueur du trottoir entre la place de l’insurrection et l’accès du parking du marché. Cette situation s’explique aisément : le prix des places et de l’abonnement plus cher qu’à Malakoff.  Une fréquentation en baisse des vanvéens qui préférent pour beaucoup, aller à Malakoff,  où son marché est beaucoup plus vivant, avec plus de commerçants, notamment avec une plus grande variété de plats préparés et à emporter, et  surtout moins cher en ces temps de crise, avec des cafés autour

    C’est la raison pour laquelle beaucoup préconisent de faire revenir le marché à l’extérieur comme cela avait été le cas devant la mairie  après l’incendie, ou devant la poste place de l’insurrection lors du chantier du centre administratif et de la tour d’habitation dans les années 70. Ce qui permettrait à la ville de destiner cet espace à d’autres utilisations qui pourraient lui rapporter des subsides en ces temps de contraintes budgétaires, surtout lorsqu’on voit le prix du métre carré et des locations dans le secteur de Vanves. L’un des interlocuteurs du maire le lui a même expliqué par mail et par vive voix comme ce fut le cas ces derniers temps : « La rémunération par le concessionnaire est de l’ordre de 28 000 € par an. A cela il faut déduire les dépenses d’eaux (9000 € environ), qui ont été payés par la ville entre 2009 et 2014 contrairement au contrat passé  et les remplacements de dalles payés par la commune. Pour une surface de 2780 m2. A titre de comparaison, le loyer du restaurant à l’intérieur du marché est de 1900 € par mois pour une surface de 175 m2. Ce restaurant rapporte plus à la ville que le marché qui est 16 fois plus grand. Au prix du métre carré à Vanves, c’est vraiment impensable alors que ce bâtiment pourrait être loué à une ou plusieurs entreprises qui seraient intéressés pour des bureaux, du stockage… »

    Mais le maire de Vanves a eu l’occasion de répondu aux détracteurs du marché plusieurs fois ces derniers temps : « Je ne suis pas dans une logique comptable, car ce marché, même s’il n’a pas beaucoup de commerçants, rend  beaucoup de services aux vanvéens, et même à des voisins de Vanves qui apprécient de marché couvert. Ses commerçants ne souhaitent pas qu’il soit installé à l’extérieur comme ce fut le cas à la suite de son incendie. Ils n’ont pas envie de se retrouver dehors à  cause des intempéries, du froid, ce qui souvent le cas à Vanves qui n’est pas une ville du sud » répond il tout à fait conscient d’une fréquentation très faible le mardi et le jeudi. Mais finalement c’est un choix qu’il assume, le marché de Vanves étant un marché du samedi qui est une bonne journée pour les commerçants.  « D’ailleurs je note que le jour du marché de Bagneux le week-end a été modifié et qu’il se déroule maintenant le samedi ». Du coup, les membres de la commission Economie et Prospective du CESEV qui travaillaient sur le marché considèrent que leur travail ne sert plus à rien, qu’ils ont perdu du temps parce que le concessionnaire a été choisi et désigné.