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  • VANVES DANSLE CREUX DE L’OREILLE

    POIVRE ROUGE : Un ex-chef cuisinier restaurateur  dont la famille est très connu à Vanves, inaugure ce soir un restaurant à Bretigny sur Orge (91). Il s’agit d’Eric Pottier qui a tenu pendant 2 à 3 ans les Platanes. Il inaugure ce soir à partir de 20H ce restaurant qu’il tiendra avec son épouse, Audrey. Il fait partie d’une chaine de restaurant/Grill à l’ambiance chaleureuse, familiale et conviviale qui propose notamment, parmi ses spécialités, des pièces de bœuf incomparable. Ce qui le changera de ses habitudes, car les vanvéens l’avaient surtout apprécié pour ses moules dont il était le spécialiste

    AUTOLIB’ :  Le Conseil syndical Autolib/Vélib Métropole (SAVM) qui fédère la centaine de communes adhérentes d’Autolib' dont fait partie Vanves,  devrait se prononcer par vote le 21 juin sur la résiliation du contrat passé avec le groupe Bolloré. «Le groupe Bolloré ne nous a pas laissé le choix. La résiliation d'Autolib' est l'opportunité de mettre au service des usagers de nouvelles solutions» a déclaré la présidente du  SAVM en jugeant que «le service se dégrade et que les usagers s'en plaignent».  Pour qu'une probable résiliation «ne pèse pas sur les usagers», le syndicat promet de faire «le maximum pour que le service ne s'arrête pas du jour au lendemain», mais en appelle pour cela à la «responsabilité du groupe Bolloré pour prévoir une transition acceptable». Le groupe Bolloré, qui a pris acte de cette éventuelle résiliation : « la décision du SAVM de voter sur l'arrêt du service nous paraît totalement absurde » indiquait la fille de Bolloré, alors que des rumeurs faisait état d’un arrêt total, brutal et rapide de ce service, en représailles. Aprés avoir tué Les Guignols et Canal+, Bolloré va tuer Autolib'

  • VANVES VICTIME DU FIASCOLIB

    L’état d’une partie des trottoirs de la rue de la République illustre parfaitement le fiascolib dénoncé par les groupes LR et UDI de la Métropole et de la ville de Paris. Le chantier de cette station Vélib’ n’est pas terminé, avec encore des barrières qui réduit le passage des piétons au niveau de la Banque Populaire et de l’entrée de l’immeuble, avec une partie encore en terre au lieu d’être bitumée depuis le début de l’année, alors que des vélos commencent à être présent. Les riverains commencent à en avoir assez 

    C’est tout à fait symptomatique de la situation vécu par les abonnés, car Smovengo a pris du retard pour transformer les stations Vélib. Le groupe LR du Conseil de Paris a demandé qu’au cours du mois de Juin, un hackaton du système Vélib soit organisé pendant un week-end  pour le fiabiliser et améliorer l’application Web en réunissant des développeurs (amateurs). «Ils pourraient travailler par équipe pour proposer des améliorations concrétes de l’application mobile utilisée par les abonnés, mais aussi du système informatique sur lequel repose le service» explique t-on au groupe LR qui demande à Smovengo  de s’engager sur un calendrier d’un retour à 100% de Vélib. 

    Les élus Constructifs (en voie d’être LREM) demandent au maire de Paris de s’engager, dans le cas où le nouveau calendrier ne serait pas respecté par l’opérateur, à envisager avec le syndicat, une modalité de sortie du contrat et les conditions de service public du Vélib. La France Insoumise (LFI)  propose carrément que la ville de Paris engage la municipalisation du service. Quand aux écologistes parisiens, ils  ont proposé la mise en place exceptionnelle pour l’année 2018 d’une aide financière à la location longue durée de vélo chez les loueurs privés pour tout abonné vélib’ longue durée en faisant la demande, et qui ne souhaitent pas faire l’acquisition immédiate d’un vélo 

    Mais ce n’est pas tout car le syndicat mixte Vélib/autolib  et  la ville de Paris ont engagé un brasde fer avec Bollloré qui veut se faire rembourser une « dette abyssale » d’autolib, chiffré à 340 M€ ne pouvant prendre à sa charge plus de 60 M€, chiffre contestée par le syndicat mixte. La ville de Paris a été confrontée à un système qui n’était pas rentable tout seul, et qui avait besoin de subvention publique pour assurer l’équilibre. Ce service a connu une baisse de fréquentation dû à l’apparition d’Uber. Et le fait d’en faire un service métropolitain avec des bornes installés dans des endroits moins rentables, dans les villes riveraines, auraient aggravés sa situation financière.

    Mais voilà, le modèle change et évolue : les systèmes mis en service avec DSP (délégation de service public) se heurtent aux nouveaux modèles de free flotting électriques qui atteignent leur rentabilité au bout de deux ans. «On devrait revoir le code des marchés publics pour pouvoir gérer la mobilité car si les infrastructures durent, les services évoluent très vite. Et il faut rendre agile les collectivités locales» expliquait Jean Louis Missika, adjoint au maire de Paris (Urbanisme) en parlant tant d’autolib que de Vélib. D’ailleurs, Anne Hidalgo a évoqué une nouvelle piste de systèmes d’automobiles en «free-floating» : «Des constructeurs ont des propositions opérationnelles, il n’y a aucune raison d’attendre». Une commission devrait être prochainement créée, où siégeront l'ensemble des élus parisiens et métropolitains, «pour suivre l'évolution du sujet».