VANVES AU QUOTIDIEN
VOUS SOUHAITE
UN BON WEEK-END
ET PREND UNE SEMAINE
DE VACANCES
COMME LES VANVEENS
ET VOUS DONNE RENDEZ-VOUS LE 11 MARS
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VANVES AU QUOTIDIEN
VOUS SOUHAITE
UN BON WEEK-END
ET PREND UNE SEMAINE
DE VACANCES
COMME LES VANVEENS
ET VOUS DONNE RENDEZ-VOUS LE 11 MARS
LE MOT DE LA SEMAINE :
Gabriel Attal, secrétaire d’Etat à la Jeunesse, n’a pas mâché ses mots face à la colére de Martine, maire de Lille – vous savez la dame des 35 H – face à deux ministres venues visiter le CHU de Lille sans la prévenir, en la qualifiant de «ronchonne» « On a le droit d'être un peu agacé, effectivement, si un mail est parti trop tard et si on n'a pas été prévenu. Mais maintenant, il faut aussi être un peu mesuré de temps en temps. Moi, le côté Madame Ronchonne et toujours à se plaindre, et toujours à ronchonner en permanence, ça va un moment... ! » expliquait l sur Europe 1 en début de semaine
LA SANCTION DE LA SEMAINE
Lourdes sanctions pénales pour deux vanvéens qui ont comparu devant la Cour d’Assise des Hauts de Seine pendant six jours pour avoir violé et agressé sexuellement six enfants. Anaurd P. et Antoine G ont été condamné respectivement à 22 et 15 ans de réclusion criminelle avec une peine de sûreté des deux-tiers, un suivi sociojudiciaire de dix années, et le retrait de l’autorité parentale pour Arnault P.
LA MESURE DE LA SEMAINE
IL a fallu attendre une semaine pour que le préfet de police se décide après une semaine de pics de pollution aux particules (MP10) de mettre en place la circulation différenciée sur le périmétre intérieur de l’A86 qui incluait pour la première fois des communes comme Vanves, alors qu’auparavant, elle ne concernait que Paris Intra Muros. C’est à dire que seuls pouvaient circuler les véhicules munis d’une vignette Crit’Air de 0 à 3 m durant la journée de Mercredi. « L’Etat doit prévoir des restrictions de circulation immédiates dès que les experts annoncent un pic de pollution» demandait Anne Hidalgo en se faisant le porte parole de nombreux élus qui souhaitent que l’Etat instaure à l’avenir une automaticité des mesures antipollutions et n’attende pas le seuil critique, comme mercredi alors que cette décision est intervenue trop tard puisque la situation a commencé à s’améliorer le lendemain grâce à l’arrivée d’une perturbation venue de l’ouest qui a dispersé les polluants. Pour une fois le ministre du développement durable a déclaré qu'il était favorable à ce «qu'on n'attende pas que le pic de pollution se produise (...) pour prendre des mesures. Mais il faudra assumer que ce soit sur la base de prévisions et non plus simplement de pollution constatée» tout en évoquant des mesures «jamais très populaires, ni très faciles à faire appliquer » à juste raison. Car tout dépend de son déclenchement, même si cette ZFE lancée par la MGP entera en vigueur le 1er Juillet prochain et sur lequel le conseil municipal de Vanves s’est prononcé favorablement le 20 Février dernier, à l‘unanimité
Le Débat d’orientation budgétaire est un rendez-vous immuable comme le vote du budget, le premier s’est déroulé le 21 Février dernier, le second est programmé le 3 Avril. Occasion d’un échange très républicain, entre majorité et opposition municipale, apaisé comme l’a constaté le maire de Vanves, que le blog avait déjà, mais en partie, traité concernant les échanges sur l’urbanisme et les nouvelles constructions (voir blog du 22 Février 2019).
Bernard Gauducheau a reconnu que le climat est plus favorable sur le plan financier entre l’Etat et les collectivités locales, même si depuis deux ans, rien de miraculeux ne s’est passé. « On a gagné de la stabilité rendu possible par une phase de croissance qui a eu un effet direct sur les droits de mutation en hausse de 30% (2M€), et la taxe de séjour (1,7 M€) grâce à l’attractivité de Vanves (et au succés du Paris Convention Center au parc des Expositions) » a-t-il indiqué. Mais il reste des inquiétudes : le devenir institutionnel du Grand Paris et de l’ile de France, le déficit public, le sort qui sera fait à la taxe d’habitation : « comment sera traité cette onde de choc ? » s’est il interrogé. « Ces incertitudes nous incitent à la prudence » en privilégiant trois axes : La qualité des services publics locaux avec un maintien de la politique tarifaire au niveau de l’inflation, une dette basse (13 M€) depuis 10 ans, une épargne nette de 2 M€, des efforts sur la sécurité, avec un renforcement de la police municipale, et un plan d’investissement en matiére culture (médiathéque, espace Gazier), d’éducation (construction-réhabilitation de l’Ecole du Parc), de sports ( tribune et nouveaux bâtiments du PMS A.Roche, aménagement de la salle omnisports sous la piscine, modernisation de l’espace extérieur de la pataugeoire et du solarium ) et d’espace vert (replantation de l’allée principale du cimetière) sur lesquels est revenu en détail Bertrand Voisine, maire adjoint, chargé des finances, dans un trop long exposé surtout pour quelqu’un atteint d’un début de grippe
Anne Laure Mondon (PS) n’en a pas moins relevée « qu’il s’avère clairement que les équilibres budgétaires reposent essentiellement sur l’attractivité de notre commune et plus précisément sur ses nouvelles constructions », allusion aux droits de mutations qui devraient augmenter compte-tenu des nombreuses livraisons et ventes à venir, même si comme cela est indiqué « un tassement de l’immobilier n’est pas à écarter en lien avec la remontée des taux d’intérêt ». Elle n’en a pas moins relevé, et cela depuis plus de deux ans, la problématique, à terme, d’offre d’équipements publics face à un niveau de construction relativement important : «Les centaines de nouveaux logements livrables ces deux prochaines années (sans compter les constructions liées à la future gare du Grand Paris Express) engendrent inévitablement des besoins nouveaux en équipements, ces besoins en nouveaux équipements entraînent des investissements importants… Comment pourrons-nous financer ceux qui ne sont pas encore budgété sans recourir encore à l’emprunt… Comment ferons-nous pour réduire notre dette et dégager assez d’autofinancement alors que, contrairement à ces dernières années, nous n’avons plus de réserves foncières disponibles à la vente » s’est elle interrogée
«Vous souhaitez, pour mener cette « politique d’équipement ambitieuse », préserver les équilibres indispensables et vous mettez en avant le fait que l’encours de la dette ait été divisé par deux (moins 14 millions) entre 2014 et 2018… Mais si cette réduction de la dette a été possible cela est uniquement dû à la vente du terrain Briand dont 12 M€ ont été affectés au remboursement de nos emprunts !... Le bâtiment de la rue Diderot acquis pour 2 millions d’€ en 2015 pour y réaliser à terme un équipement sportif constituera-t-il une nouvelle variable d’ajustement ?» s’est elle interrogée. Alors que Boris Amoroz (FG./PC) demandait « s’il n’allait pas être nécessaire de vendre l’Hôtel de ville ? » Il s’est étonné des 75 000 € de pénalités dû au non respect de la loi SRU, » alors qu’on était en équiibre dans les constructions de logements HLM et qu’on était en dessous du seuil ! ». Bernard Gauducheau a répondu que « Vanves était à 23,5% de logements et qu’elle a du mal à arriver à 25%, avec ses nouvelles constructions. Mais on continue à faire du logement social ! »