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vanvesauquotidien - Page 385

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    ENTREE EN CAMPAGNE

    Si l’on parle beaucoup des régionales dans les médias, sur le terrain comme à Vanves, c’est plutôt les Départementales : A l’occasion de ce week-end de Pentecôte, les candidats étaient sur le terrain, surtout samedi, jour de marché, devant la Poste, place de Lattre de Tassigny, sur le Plateau, chaque binôme LR/UDI ( Sandrine Bourg et Yves Coscas), EELV (David Huynh et Adeline Beving), LREM (Sonia Damlamian et Martin Garagnon) qui ont reçu le soutien du porte parole du gouvernement, Gabriel Attal venu place du Val pour la photo traditionnelle. Tous ont distribué leur premier tract. Le blog va cette semaine présenter tous ces candidats à la succession d’Isabelle Debré et Jean Didier Berger dans ce canton de Vanves Clamart

     

    DECONFINEMENT PROGRESSIF

    Les terrasses des cafés-restaurants et les commerces non essentiels ont ré-ouvert depuis mercredi dernier, mais le temps n’était pas au rendez-vous  pour ceux qui souhaitaient retrouver le plaisir d’un café ou d’une bière sur une terrassse. Beaucoup ont bravé la fraicheur du temps raisonnablement puisqu’il n’y a pas eu d’excés contrairement à Paris, les vanvéens ont respecté le couvre-feu. La ville de Vanves a remis à chaque commerçant, un pack « réouverture » comportant comportant des totebags, du gel hydroalcoolique et des outils de communication incitant les Vanvéens à revenir dans leur établissement. Les passionnés du 7e art ont pu retrouvé leur toileau Théâtre Le Vanves qui avait programmé plusieurs films à l’affiche : «ADN» de Maïween, « Deux » de Filippo Meneghetti, « Honeyland » dicumentaire de Tamara Kotevska,  Ljubonir Stefanov

     

    UN NOUVEAU CURE A LA RENTREE

    Le Père Xavier Schelker a été nommé curé de Vanves par Mgr Rougié, évêque du diocése des Hauts de Seine, Bertrand Auville étant nommé curé des paroisses St François de Sales de Clamart et du Plessis Robinson. Xavier Schelker enseigne actuellement l’histoire de l’Église et coordonne le 1er cycle (1re et 2è années de Philosophie) du séminaire de Saint Sulpice à Issy les Moulineaux. Guillaume Leclerc, le séminariste accueilli à la paroisse a été appelé à devenir prêtre par l’évêque de Nanterre qui célébrera son ordination,  le 19 juin

     

  • FETE DE LA PENTECOTE A VANVES

    VANVES AU QUOTIDIEN 

    VOUS SOUHAITE

    UNE BONNE FETE DE

    DE LA PENTECOTE

    ET VOUS DONNE

    RENDEZ-VOUS

                           A MARDI

  • VANVES AU CŒUR DE L’HISTOIRE DU GRAND PARIS QUE PIERRE MANSAT A COMMENCE A ECRIRE

    «6 juillet 2006. Dans la salle des mariages de la mairie de Vanves, sous le buste de Marianne, le maire Bernard Gauducheau ouvre la séance constitutive de la Conférence métropolitaine. Cinquante‑trois maires et présidents de collectivités, installes autour de grandes tables couvertes de feutre vert, ont repondu a l’invitation de Bertrand et de vingt‑six autres maires. L’initiative m’en revient. Je jubile. Le climat est excellent ; tous les participants souhaitent travailler ensemble. Daniel Guiraud, maire PS des Lilas, met les points sur les i : Nous ne sommes pas le syndicat des voisins de Paris, c’est notre avenir commun qui est en jeu». Cet événement historique pour la Métropole du grand Paris est rappelé dans un ouvrage fort intéressant pour ceux qui s’intéressent au Grand Paris vient de paraître à point nommé alors que la métropole du Grand Paris est en panne et la réforme de la gouvernance de la région métropole se fait attendre : «Ma vie en rouge» est signé de Pierre Mansat, adjoint communiste au maire de Paris, entre 2001 et 2014,  aux éditions Presse Universitaires de Grenoble 

    «Ce pourrait n’être que le récit  politique engagé de l’un des porteurs de la vision métropolitaine du Grand Paris. Ce pourrait n’être qu’un roman de genre, polar noir politico‑financier avec suspens et meurtre à la clé. C’est les deux à la fois. Tissant habilement réel et fiction, il nous invite, sur les traces de Pierre Mansat à plonger au cœur de l’invention métropolitaine du projet du grand Paris, aux côtés de Bertrand Delanoë. En parallèle du récit sincère et enlevé de Pierre Mansat, une autre partition se joue, en intermèdes : celle d’un roman noir de pure fiction, signé Christian Lefèvre» indique l’éditeur dans sa présentation.

    Mais le socle, la colonne vertébrale du livre  est son récit personnel, détaillé et : «très politique de l'émergence de la question métropolitaine / grand Paris dans le débat public». Il s'efforce de décrypter comment se fabriquent les politiques publiques, les espoirs, les avancées, les obstacles. Ce texte écrit avec ses tripes est un récit de l'engagement, et peut être le seul récut de l’histoire tout récente du Grand Paris qui manque. «J’ai pensé intéressant d’écrire ce libre, parce qu’il y a une curiosité sur ses années 2001- 2014  qui ont été importantes pour la capitale – aprés on peut avoir un jugement sur ce qui a été fait -  du point de vue démocratique, de politique du vélo, des transports, du logement social, des politiques écologiques… qui n’a pas été raconté. Il n’y a aucuns ouvrages, ni d’articles qui fassent un bilan de ces 13 années. J’ai pensé que cela pourrait interésser d’avoir un regard de l’intérieur, sous un angle particulier certes, que l’on raconte ces années Delanoë qui me semblent être extrêmement intéressantes pour l’histoire de Paris et du Grand Paris. Je voulais, alors qu’il y a beaucoup de commentateurs et d’analystes qui ont réduit l’affaire en «Delanoë veut s’entendre mieux avec les communes voisines», montrer que certes cela a existé, mais qu’il y avait bien la volonté de modifier fondamentalement la gouvernance de cette partie métropolitaine» confiait il ces jours-ci à l’auteur du Blog