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Le Conseil Municipal a attribué de nouvelles subventions municipales exceptionnelles dans le cadre du plan de relance des associations puisque la plupart a été considérablement impactés par la crise sanitaire. Elles sont dédiée au numérique à hauteur de 150€ maximum Des sollicitations nouvelles ayant émané d’associations, la municipalité a souhaité prolonger ce dispositif jusqu’à la fin de l’année 2021. C’est le cas pour l’Association des généalogistes de Vanves, Expograph Vanves, la Jeune Chambre économique de GPSO, Le Petit Caisson, Les Paniers Vanvéens, l’Œuvre Participative, Mikado, les Petits Chanteurs du Val de Seine, Simon de Cyrène
ECOLE PROVISOIRE DU PARC
A l’occasion d’une réunion publique en visio-conférence sur les travaux de l’ecole du Parc, voilà quelques semaines, les vanvéens ont eu quelues précisions sur l’école provisoire qui sera installée sur le terrain du garage et des ateliers municipaux dont les bâtiments ont été détruit. C’est un véritable systéme modulaire qui est mis en place actuellement et pas de vulgaires bungalows réaménagés comme cela avait été le cas pendant les travaux du groupe Scolaire Cabourg. «L’école temporaire ne sera pas au rabais » a tenu à préciser la municipalité. Ainsi 137 modules seront installés sur 2 étages pour constituer cette école qui ouvrira à la Rentrée de Septembre 2022. Leur accés se fera par l’escalier de la rue Larmeroux face au gymnase André Roche, l’école maternelle état plus proche de la rue de l'Avenir, l’école primaire de l’escalier. Un cheminement devrait être signalé et sécurisé ente l’actuelle école, et l’école provisoire
DES ENQUETES EN SERIE
Les vanvéens sont très sollicités actuellement : Après l’enquête sur la «modernisation de la gestion de la relation à l’usager, les vanvéens sont invités à donner leur avis sur le commerce à partir de questions simples comme : Quels sont vos besoins en termes d'offres commerciales ou de services à Vanves ? Quelles sont vos attentes ? Dans le cadre de son action en faveur du développement du commerce de proximité, la Ville souhaite en savoir plus sur les habitudes de consommations des vanvéens qui ont jusqu'au 15 janvier, donnez leur avis par le biais d'un questionnaire en ligne sur vanves.fr . Enfin GPSO fait aussi son enquête dans le cadre de l’établissement de son PLU Intercommunal (PLUI) : «Pour déterminer ensemble les priorités du territoire de demain, donnez votre avis sur de nombreux sujets : logement, déplacements, espaces verts, culture, sport.. » indique GPSO sur son site internet, invitant les habitants des 8 Communes concernées dont Vanves à prendre quelques minutes pour répondre à notre questionnaire en ligne sur www.seineouest.fr/plui
Les Vanvéens ont eu l’occasion de répondre à une enquête sur la «modernisation de la gestion de la relation à l’usager» ces dernières semaines qui a fait l’objet d’une question orale du groupe LREM au dernier conseil municipal : « Le projet nous interpelle cependant sur un certain nombre de points :Il est indiqué que ce travail est constitué de différentes étapes définies « en concertation parallèle avec les agents municipaux et les Vanvéens ». Qui sont les Vanvéens qui ont été sollicités pour la définition de ce cadre de travail ?. Nous avons également noté qu’un état des lieux des pratiques existantes a été réalisé en juin dernier : cela a-t-il été effectué à partir des statistiques de fréquentation et des démarches effectivement réalisées auprès des services municipaux ? Si tel est le cas, est-il pertinent de consacrer la moitié de l’enquête à un nouvel état des lieux sur les pratiques des Vanvéens, le précédent ayant été réalisé il y a moins de six mois ?L’article de Vanves Le Mag (de Novembre) nous apprend également que des ateliers participatifs ont été organisés en octobre 2021. Au-delà des services municipaux, au cœur du dispositif, des Vanvéens, pouvant contribuer à la réflexion en tant qu’usagers, ont-ils été associés à cette étape ?Parmi les propositions d’évolutions à prioriser par les Vanvéens, l’une d’elles est d’offrir la « possibilité de ne donner qu’une fois ses pièces justificatives pour l’ensemble des démarches » : si cela était effectivement le cas, quelles mesures seraient prises pour assurer la protection des données personnelles des Vanvéens et garantir la confidentialité de leurs différentes démarches ?Nous notons enfin qu’un cabinet de conseil expert a été mandaté pour accompagner la Municipalité. Quelle est sa mission précise (gestion de l’enquête, animation des ateliers, recommandations, mises en place opérationnelle des évolutions ?) et quel est le coût de son intervention ?» a demandé Jean Cyril Le Goff (LREM) qui a tenu à préciser que « nous tenons néanmoins à préciser que nous soutenons toute évolution permettant de faciliter les démarches des Vanvéens auprès des services municipaux mais que nous resterons vigilants sur la qualité des solutions proposées, leur pertinence dans le cadre d’une évolution épanouissante des missions des agents municipaux et l’absolue nécessité de maintenir un service public accessible à tous, que ce soit en matière d’inclusion numérique ou d’accompagnement personnalisé aux démarches pour nos administrés les plus fragiles»
«L’enquête « Vanves et Moi » s’intègre dans une vaste réflexion engagée au sein de l’administration municipale pour travailler sur l’ensemble des dispositifs, procédures, lieux d’accueil, outils numériques qui sont utilisés dans le cadre de la Relation à l’Usager. La démarche de modernisation et de recherche d’efficience pour cette gestion de la Relation à l’Usager (dite plus simplement GRU) constitue un projet interservices pour l’administration municipale et répond à la promesse faite par notre majorité de moderniser les services publics locaux pour mieux répondre aux attentes des usagers. Cette démarche a commencé par un travail interne de diagnostic réalisé par le Cabinet MENSIA-CONSEIL/INFOTHEP constitué d’une équipe de professionnels habituée à ce type de mission et connaissant parfaitement l’environnement des collectivités. Le travail s’est effectué avec une observation attentive de chacun des services, des entretiens avec les responsables de service, leurs principaux collaborateurs ainsi qu’avec les élus chargés des secteurs directement concernés par les thématiques de la GRU. A l’issue du diagnostic, des ateliers participatifs ont réuni une soixantaine d’agents cadres et non cadres, venus d’une quinzaine de services différents pour travailler sur des propositions d’amélioration. Ces ateliers, animés par chacun des trois représentants du Cabinent MENSIA, ont adopté la technique de la mise en situation, pour faire participer efficacement les agents, réfléchir éventuellement de façon critique sur certains process actuels et surtout susciter des propositions . Parallèlement à ces ateliers, deux enquêtes ont été lancées, l’une en interne parmi tous les agents de la collectivité, l’autre en externe à destination des vanvéennes et vanvéens. Le résultat de ces deux enquêtes viendra s’ajouter et complètera les principaux axes de réforme que proposera le prestataire de la Commune dans son rapport de synthèse. Ce rapport sera décliné en feuille de route après arbitrage de la Municipalité» a répondu Guy Israël maire adjoint chargé des services au public.
« Le process participatif a été au cœur de la méthodologie retenue, il a associé des représentants des élus, de l’administration au sein d’un comité de pilotage conduit par moi-même. Il continuera de l’être dans le cadre de la phase de mise en place de la feuille de route. S’agissant de la prestation du Cabinet MENSIA je vous confirme qu’elle a fait l’objet d’une mise en concurrence dans le cadre d’un marché à Procédure Adaptée. Cette mission est une mission complète englobant la réalisation du diagnostic, la conduite des entretiens, l’animation des ateliers, la rédaction du rapport de propositions, l’organisation des enquêtes et l’analyse de leurs résultats jusqu’à la déclinaison de la feuille de route. Cette première partie de mission a représenté un coût de 64 000 €. La deuxième phase d’accompagnement à la mise en route est une phase optionnelle dont le coût est de 33 000 €. Enfin, l’ensemble des dispositions pratiques qui seront mises en place dans le cadre de cette gestion de la Relation Usager intégrera une dimension RGPD contrôlée et validée par le DPO de la Commune ».
Des «travaux préparatoires» ont été lancés vendredi 10 décembre à Paris sur le site qui accueillera la très controversée tour Triangle, même si le chantier en tant que tel ne devrait commencer que «courant janvier», a indiqué le groupe Unibail-Rodamco-Westfield (URW) à l'AFP qui précisait qu'il s'agissait à ce stade de travaux préparatoires de déblaiement et de sondage. Le projet à quelque 700 millions d'euros - selon des estimations qui ont circulé dans la presse - prévoit une tour de 180 mètres de haut et 42 étages qui sera érigée dans l'enceinte du Parc des expositions de la porte de Versailles. Elle hébergera notamment un hôtel quatre étoiles, plus de 2000 mètres carrés d'espace de travail partagé («coworking»), un centre de santé et un espace culturel.
Plus tôt dans la journée, le maire (LR) du XVe arrondissement Philippe Goujon, opposé au projet, avait indiqué sur son compte Twitter que «malgré l'opposition résolue des habitants, des associations environnementales et de la mairie du XVe arrondissement, les travaux de la tour Triangle commencent: un mastodonte énergivore de 15.000 tonnes de béton, imposé par Anne Hidalgo, qui ne répond à aucun besoin». Il avait accompagné son tweet de deux photos montrant une pelleteuse à l'œuvre sur le site, en train de déblayer des gravats.
En début de semaine, les opposants à ce projet de construction ont saisis le Parquet National Financier pour délit d’octroi d’avantage injustifié». C’est la deuxième plainte déposée au PNF contre ce projet immobilier déposé par France Nature Environnement IDF, SOS Paris, ADHAPE ainsi que la conseillère de Paris LFI Danielle Simonnet. «Comment justifier la construction d’une tour de verre et d’acier, hautement énergivore, de 70 000 mètres carrés de bureaux dans Paris, une ville qui en regorge, dans ce quartier du parc des expositions déjà saturé, et insuffisamment desservi par les transports en Commun, et cela en pleine crise sanitaire et climatique ? On privilégie encore à l’heure du grand Paris des investissements qui ne profitent qu’aux financiers et vont à l’encontre de la ville bioclimatique prônée par la Mairie, du bien-être et de la santé des habitants. Le Conseil de Paris s’est prononcé contre cette tour, les élus de l’arrondissement s’y opposent également" Dans cette situation absurde, les requérants en appellent à la sagesse ! Ils demandent un moratoire sur les travaux de la Tour Triangle en attendant les conclusions du PNF. Il faut arrêter les pelleteuses d’Unibail et Axa qui creusent les sillons d’une affaire politico-financière néfaste à l’avenir de notre cité» insistent les associations qui ont décidé de déposer cette nouvelle plainte au PNF