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ville de vanves - Page 168

  • SŒUR MARIE MADELEINE CASEAU, MERE SUPERIEURE DES BENEDICTINES DE VANVES A RENCONTRE LE PAPE FRANCOIS JUSTE AVANT MARSEILLE

    Après ses trois jours de visite du Roi Charles III en France auquel a participé un vanvéen, Paul Guillaud, président de l’UNC de Vanves, puisqu’il était présent à la cérémonie d’accueil et de ravivage de la Flamme mercredi dernier, c’est au tour du pape François d’être accueilli à Marseille depuis hier en d’après midi. Une vanvéenne a eu l’occasion de le rencontrer, une semaine auparavant : Sœur Marie Madeleine Caseau, mére supérieur des Bénédictines de Vanves (sur la photo) qui participait à un congrés international des Oblates bénédictins. Elle lui a remis le livre de Sœur Colomban qui a vécut au prieuré Saint Bathilde « Mémoire d’avenir – fondation d’un monastère de bénédictines sur les hauts plateaux du Viet-Nam (1954-1975) » et une médaille du centenaire de Sainte Bathilde : « C’est pour moi ! » m’a-t-il dit. « Merci beaucoup ! Priez pour moi !» témoigne sœur Marie Madeleine qui a été émue par cette audience privée où il a salué chacun des 170 participants à ce congrés, après une intervention sur l’hospitalité. Pas sur le coup. « Mais c’est lorsque je suis rentré samedi matin au prieuré, lors d’une des priéres du matin, que je suis restée sans voix »  C’est le troisième pape qu’elle a rencontré avec Benoit XVI et Jean Paul II  

    Occasion de rappeler qu’un pape était venu tout à côté de Vanves, au Séminaire Saint Sulpice  dont les murs longent une partie de notre ville : Le pape Jean Paul II était venu  à l’occasion de sa première visite en France. A l’époque, jeune localier collaborant à Point d’Appui, journal municipal d’Issy les Moulineaux et la Tribune Régionale, j’avais couvert son court séjour au séminaire d’Issy les Moulineaux, un certain dimanche 1er Juin 1980. Il était arrivé en hélicoptére blanc qui s’était posée dans le jardin intérieur grâce à un pilote expérimentée, balayant tous les parterres de fleurs qui avaient été plantés par le jardinier pour cette occasion. Dés sa descente, il avait été salué par la municipalité conduite (déjà) par le tout jeune maire André Santini, entouré de certains de ses collègues. Déjà, beaucoup de ceux qui l’ont approché de prés à cette époque, étaient impressionné par son regard, son attention aux autres, exprimant une foi profonde. Et très vite, il avait rejoint dans la chapelle du séminaire, exacte réplique de celle du Château de Versailles, l’ensemble des evêques français pour une réunion à huis (photograhié par le photographe officicel du Vatican, celui de Paris Match et un modeste localier qui a donné un  tirage aux archives de la ville).

    En dehors des photos, il reste un autre témoignage de cette réunion : les fauteuils sur lesquels se sont assis le souverain pontif, l’archevêque de Paris Mgr Marty et quelques grands cardinaux. Aujourd’hui ils trônent dans la salle des mariages de l’hôtel de Ville d’Issy avec une plaque rappelant le nom des éminences. André Santini avait alors, à l’époque, accepté de prêter les fauteuils de la Municipalité à l’église de France pour cette réunion.

    Mais ce n’est pas tout, car André Santini avait joué un grand rôle pour que Jean Paul II sorte en voiture découverte du séminaire pour traverser les rues d’Issy où s’étaient amassée une foule très nombreuse. Il avait négocié pied à pied avec Mgr Macinkus, célébre cardinal américain à la carrure de rugbyman qui était chargé de sa sécurité, alors que le pape rencontrait les représentants français des autres cultes, puis les jeunes séminaristes avec lesquels il avait diné. Cette négociation fut couronné de succès. Il est vrai que la sécurité d’alors, n’avait rien à voir avec celle d’aujourd’hui, après l’attentat de la place Saint Pierre. Et quel ne fut pas la surprise de l’un des officiers de police du commissariat d’Issy les Moulineaux de voir sa fille soulevé et embrassé par le pape pour le plus grand plaisir de la foule, lorsque Jean Paul repartit pour sa rencontre mémorable avec les jeunes au Parc des Princes, en voiture décapotable à travers les rues d’Issy. C'est pourquoi le jardin public ouvert sur une partie du domaine du séminaire porte le nom de Jean Paul II. 

  • JOURNÉE PORTES OUVERTES AU THEATRE LE VANVES

    Au lieu de consacrer une soirée à la présentation de sa saison 2023-2024, le théâtre Le Vanves propose samedi sa première Journée portes ouvertes pour permettre aux vanvéens  de découvrir les spectacles de la saison de façon ludique et conviviale et de parcourir le lieu de façon originale.

    Cette journée sera constituée de plusieurs séquences comme dans un spectacle :

    Une matinée de 10H à 13H avec à 10h un Café Rencontre pour parler ensemble de la saison qui commence, suivi d’un Atelier de danse Parents-enfants: Pour commencer en douceur, la chorégraphe Yasminee Lepe animera un atelier de danse proposé à des binômes parents/enfants à partir de 4 ans.  Puis à 11H d’une rencontre en coulisse avec Théophile Dubus pour découvrir l’univers de son cabaret d’ogres, avec quelques extraits du journal intime de Prudence que les vanvéens  retrouveront sur scène le 1er mars 2024 Ou d’une visite de la cabine Cinéma

    L’après midi commencera à 15h  par un atelier «  C‘est de la danse ? » dont « le  but sera de prouver que vous en savez bien plus que vous ne le pensez ! A partir d’un visionnage de vidéos de danse, nous tenterons collectivement de mettre des mots sur ce que l’on a vu tout en découvrant 8 spectacles de différentes disciplines de la saison 2023/2024 ». Il sera suivi par une visite secrète du théâtre avec une rencontre  e l’équipe technique qui fera découvrir les métiers dits « de l'ombre » : lumière, son, cabine cinéma… Pour clore cette journée à 17H le théâtre célebrera la rentrée avec un dancefloor sur la scène du Théâtre de Vanves !

    En continu de 15h à 18h : Rencontre en coulisse avec les comédiens de La Bette et OVNI avec une programmation de différents artistes qui se produiront cette saison, ave des propositions courtes axées Théâtre. Deux formes autour des spectacles La Bette et Illusions (comédie) seront proposées :

    - L’AUTRE COUSINE - Immersion dans la Bette par le FullFrontalTheatre

    - OVNI - A travers cette petite forme expérimentale et participative, la compagnie La nuit américaine vous propose de découvrir l’univers de l’auteur russe Ivan Viripaev.

    Cette porte Ouverte se conclura à 18H par une  dégustation de vins qui seront servis au Pina bar

  • LA RENTREE POUR LE MAIRE DE VANVES AU CONSEIL REGIONAL OU LE GROUPE UDI EST A L’INITIATIVE D’UN CHOC DE DECENTRALISATION

    C’était la Rentrée hier au Conseil régional où Bernard Gaducheau siégeait alors que le Roi Charles III arrivait à Paris Il était accueilli par Emmanuel Macron  à l’Arc de Triomphe avec cérémonie de ravivage de la Flamme à laquelle participait un vanvéen, Paul Guillaud, président de l’UNC mais aussi commissaire à la Flamme (que l'on aperçoit à gauche du roi sur la photo)

    Les conseillers régionaux ont commencé très fort en votant 40 propositions pour « un choc de décentralisation » dont le groupe UDI, dont fait parti le maire de Vanves, est à l’initiative puisque Jean François Vigier, son président,  a animé pendant un an un groupe de travail sur ce thème. Il avait d’ailleurs présenté quelques unes de ses mesures dans une tribune paru dans le Figaro fin Août et signé avec Valérie Pécresse : « Nous n’en pouvons plus de voir l’État perdre pied dans les territoires alors qu’il se disperse dans l’accessoire, en étouffant par exemple les élus locaux par un contrôle a priori et a posteriori au moindre ravalement de façade dans une école primaire. Résultat: l’État assume de plus en plus mal les missions régaliennes qu’il est pourtant le seul à pouvoir assurer » expliquaient ils. Comme l’a encore expliqué le président du groupe UDI, ils ont ressorti « une disposition passée sous les radars » : un droit de saisine des Régions, qui leur permet de demander à l’État l’exercice de compétences nouvelles, ou la modification de dispositions législatives et réglementaires s’appliquant dans un territoire…. En l’occurrence l’Ile de France  

    Les médias s’en sont fait l’écho ces jours-ci sur un SMIC régional  qui serait adapté au coût de la vie très élevé en Ile de France. Il serait ainsi  augmenté de 9% . À l'heure actuelle, le smic est de 1 747,20 euros brut par mois et pourrait, si cette proposition venait à être validée, passer à 1904,44 euros brut par mois pour les Franciliens. Mais Valérie Pécresse tempère néanmoins ses propos et ne souhaite pas pour l'heure « s'engager sur ce chiffre » de 9 %, tant qu'il n'y a pas eu de « discussion avec les partenaires sociaux ». Il n’en reste pas moins que certaines propositions décoiffent avec : la régionalisation de Pôle emploi et des aides aux PME en font évidemment partie. L’expérimentation d’une régionalisation de la gouvernance des règles de l’assurance-chômage, le transfert des moyens de l’Agence nationale de l’habitat avec MaPrimeRénov’ « pour nous laisser dans la Région la plus dense de France accélérer la rénovation des passoires thermiques »,

    Ils proposent une véritable gouvernance partagée du système éducatif, comme en Allemagne avec la gestion totale des lycées professionnels et la création d’écoles primaires régionales sous contrat avec l’État et de lycées régionaux autonomes dans les quartiers prioritaires de la ville, avec une liberté et une autonomie assumée dans le recrutement des enseignants et le projet pédagogique. Le transfert des routes nationales et des autoroutes à IDF Mobilités qui est devenu « une évidence pour créer davantage de synergies avec les transports en commun », mais aussi  de la  réglementation des taxis et des chauffeurs VTC à IDF  Mobilités.  Enfin, les présidences de l’AP-HP et de l’ARS pourraient être confiées à la Région  « Notre démarche n’est pas un acte de défiance à l’égard du gouvernement: c’est une main tendue pour initier en partenariat un choc de décentralisation puissant. L’État incapable de se réformer de l’intérieur laisserait les territoires agir en proximité pour apporter des réponses spécifiques, innovantes et différenciées aux réalités vécues de leurs citoyens, libérant les Français d’une bureaucratie qui les inhibe et les étouffe. Toutes les révolutions françaises ont commencé en IDF : nous proposons au gouvernement de lancer la révolution girondine depuis l’IDF » expliquaient ils