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  • CONSEIL REGIONAL : LE MAIRE DE VANVES FETE LA SAINT AUGUSTIN POUR LA SEANCE INAUGURALE DE LA COMMISSION PERMANENTE

    Bernard Gauducheau n’a pas été déçu pour sa première commission permanente après l’élection régionale qui s’est déroulé hier au siége du Conseil Régional, rue Barbet de Jouy, dans la salle Pierre Charles Krieg, qui était, avant le nouvel hémicycle inauguré en 1992 rue de Babylone à côté du cinéma la Pagode, la salle de réunion plénière de cette assemblée. Il a assisté à une réunion beaucoup plus surevoltée qu’à l’habitude et a même eu une exclamation qui restera dans les annales régionales en lançant un appel au célébre  « Augustin Legrand », le robin des bois des sans abris,  qui siége comme lui à la commission permanente pour sauver le groupe NC dont il fait parti, de devenir le seul et premier groupe SDF de la Région

     

    « ON FAIT APPEL A AUGUSTIN LEGRAND ! »

     

    L’histoire vaut d’être contée. Comme c’est le cas après toute élection régionale, les groupes doivent se répartir les locaux qui leur sont réservés au prorata du nombre de leurs élus, sachant que la règle est de 4,10 m2 par élus. Mais voilà, le groupe UMP qui était l’un des plus important avec le PS lors de la précédente mandature a du mal à rendre certains mètres carrés qui pourraient permettre grâce à une opération « tiroir » compliquée  sur laquelle on ne s’étendra pas, au NC de s’installer dans de nouveaux locaux et aux Verts de s’agrandir… au détriment de l’UMP qui hier maugréait et a provoqué un véritable psychodrame qui n’a pas grandi leurs auteurs : « On tire le diable par la queue dans les groupes » se plaignait Valérie Pécresse, président du groupe UMP  en laissant entendre que c’était le contraire côté Exécutif et Majorité. Ce qui a eu le don d’énerver Michéle Sabban (PS), vice Présidente (Administration) qui a reproché au groupe UMP « de ne pas s’être mis en conformité dans ses locaux. Résultat : le NC n’arrive à travailler. Et les Verts attendent qu’on libère ses locaux ». Et de menacer de faire déménager les locaux par les agents de service…en présence de la presse. « Et voilà maintenant qu’on nous menace ! Heureusement que je ne gére pas comme cela nos universités » répliquait la Ministre de l’Enseignement Supérieur. « Je ne voudrais pas que le NC soit SDF » souhaitait à ce moment JP Huchon qui essayait de ramener le calme et faire baisser la tension entre deux leaders PS et UMP qui se crêpaient le chignon. Et ne voilà t-il pas que notre maire s’exclamait : « Ou sinon, on fait appel à Augustin Legrand ! »,  suivi par Cécile Duflot (Verts) qui dans un langage direct s’en prenait à « l’outrecuidance de Valérie Pécresse » qu’elle jugeait étonnante ! « Vous êtes gonflée ! Vous auriez pu avoir l’intelligence de régler les choses. 40 m2 par élu, ce n’est pas difficile ». Du coup Michéle Sabban ré-attaquait : « Je trouve cela petit de faire traîner nos travaux (de la commission permanente) par une telle question ». Jean Paul Huchon a bien tenté d’amadouer : « On n’a collectivement aucun intérêt à poursuivre cette discussion… Il faut que le NC dispose de locaux. On ne va pas mettre Lafon sur les genoux de Duflot ».  Et la  ministre de  continuer à pleurer : « On n’a pas assez de personnel, pas assez de locaux ! Alors si vous choisissez la force ! ». Du coup Augustin Legrand (Verts) ré-attaquait : «  Je demande que les services interviennent. On expulse bien des mal logés qui respectent la loi et avec lesquels on prend moins de gants ! Arrêtez votre scketche ! Que l’on parle ici de choses sérieuses ». Mais Laurent Lafon, président du groupe NC avait  le mot de la fin : « Je vous remercie d’avoir fait preuve de tant de sollicitudes. Il y a des questions de moyens et de locaux. Il faut les régler rapidement et sereinement ! »  

     

    USINE A GAZ PAS

    Bernard Gauducheau était à ses côtés durant toute cette matinée de travail qui s’est prolongée très tard. Il était d’ailleurs parmi l’un des premiers arrivés pour cette première CP (Commission Permanente) de la mandature. « C’est une instance qui a but d’appliquer les réglements et orientations (votés par l’assemblée régionale réunie en session plénière. On est pratique et pragmatique. La tradition veut que les interventions soient courtes et que le vote intervienne rapidement » a expliqué d’emblée le président Huchon. Mais voilà, ce dernier a pu vérifier, comme les 45 membres de la CP, que le nouveau règlement intérieur avait créé une véritable usine à gaz qui n’a pas rendu clair les débats. Généralement dans les assemblées territoriales normales, les rapports sont examinés dans l’ordre, quite à faire comme au conseil général des Hauts de Seine lorsqu’il y en a de très nombreux : le rapport ne donnant lieu à aucunes questions, interventions ou amendements est considéré comme voté, les autres donnant lieu à un vote, ce qui permet de gagner du temps, et tout le monde s’y retrouve.

    Au conseil régional, les socialistes ont fait encore mieux mais en plus mal : Tous les rapports ne donnant lieu à aucun amendements ou motion de renvoi, sont votés globalement à la fin de la réunion. Les autres donnent lieu à débat et à vote. Mais voilà, comme certains contiennent plusieurs articles, ils donnent lieu à des votes qui peuvent être différents. Ce qui implique des explications. Résultats des courses, les interventions se succédaient sur tel ou tel rapport sans aucun ordre par rapport à l’ordre du jour, tout au moins dans le même secteur ou chapitre, avec des réponses d’opposants qui répondaient dans le même désordre. A tel point qu’à un moment, même ceux qui suivaient attentivement, ne savaient plus qui répondait à qui etc…D’où un certain flottement… lorsque les conseillers régionaux se répondaient directement, rappelé à l’ordre par JP Huchon, et même des menaces d’un collégue de Bernard Gauducheau, Gabriel Massou (PC) de Gennevilliers qui proposait de déposer sur chaque rapport un amendement ou une motion « puisqu’il est difficile de demander la parole ». Le maire de Vanves n’a pas dû être déçu de sa première commission permanente où manifestement l’atmosphère a changé du tout au tout avec une opposition UMP et NC décidée à en découdre avec la majorité PS, PC, Verts, Front de Gauche, PRG, MRC etc…

  • LES RENDEZ VOUS DE VANVES CETTE SEMAINE : RETRAITE, CONSEIL REGIONAL, FETE DES VOISINS, FETE PAROISSIALE….

    Mardi 25 Mai 2010

    A 9H à L’Assemblée Nationale : Isabelle Debré porte parole de l’UMP sur les retraites devrait participer  à une  Convention nationale sur le thème « Pour l’avenir de nos retraites », animée par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire générale adjointe de l’UMP, Arnaud Robinet, secrétaire national en charge des retraites et Dominique Paillé, porte-parole adjoint.

    A 21H au Photo Ciné Club d’aéroports de Paris (Orly Sud) : Soirée conéma avec des œuvres du CIV.

    Jeudi 27 mai 2010

    A 9h30 au Conseil Régional : Bernard Gauducheau participe à sa première commission permanente qui est l’instance véritablement décisionnelle de la Région selon son président Jean Paul Huchon. 
    A 20h au restaurant « l’Envie des Mets » :
    Inauguration du restaurant

    Vendredi 28 Mai 2010

    A partir de 18H au PMS André Roche : Championnats départementaux steeple et 10000m

    A partir de 19H dans les immeubles de la commune : Fête des Voisins

    Samedi 29 Mai

    A 14H30 à Saint Remy : Fête Paroissiale

    Dimanche 30 Mai 2010

    A 10H à Saint Remy : Fête Paroissiale

    A partir de 14H30 à la piscine Municipale : 4éme journée Avenir/Poussin

     

     

    LENDEMAIN DU FESTIVAL DE CANNES

    5 films soutenus par la Région Ile de France dont Bernard Gauducheau est l’un de ses 209 élus, ont été sélectionnés à Cannes où le festival s’est terminé hier soir par un palmarés original. Aucun n’a reçu de prix ou de récompenses contrairement au Film « Au-delà des murs » qui avait remporté voilà deux abs, la palme d’or. Il s’agit de  « Nostalgie de la lumière » de Patrice Guzman (aide à la post production de 38 800 €) à la sélection officielle, « Love like Blood » de Fabrice Gobert (aide à la production, 400 000 €) à la sélection officielle « Un Certain regard », « Le nom des gens » de Michel Leclerc  (aide à la production, 384 000 €) à la Semaine International de la Critique, « Pieds nus sur les limaces » de Fabienne Berthaud (aide à la production, 370 000 €), à la Quinzaine des réalisateurs, « Robert Mitchum est mort » d’Olivier Babinet et Fred Kihn (aide à la post-production, 50 000 €) à la sélection ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion).

     

     

    LA FETE DES VOISINS : « Non , l’enfer ce n’est pas les autres ! »

     

    A l’occasion de la fête des voisins 2010, et de ce week-end de Pentecôte, Vanves Au Quotidien reproduit l’interview d’Atanase Périfan, un élu parisien du XVIIéme arrondissement de Paris qui s’est battu pour développer la solidarité de proximité grâce à cette fête des voisins dint il est à l’origine

     

    Première Heure - Qu’est-ce qui vous a incité à lancer cette initiative ?

    Atanase Périfan : « Deux événements de la vie m’ont donné  cette idée : la découverte d’une dame âgée décédée depuis deux mois dans son appartement. Je me suis dit que se cachait derrière l’épaisseur des murs de nos immeubles et de nos maisons,  des détresse qu’on ne voit pas et que c’était un bon prétexte pour aller frapper aux portes des gens en leur disant c’est la fête, venez … et voir qu’il y a des gens sympa, d’autres qui ont besoin peut être des autres. Et c’est ce que j’ai vécu dans mon immeuble en 1997 car cela a transformé sa vie : il est devenu un immeuble familial. L’année d’après, j’ai voulu l’étendre à ma rue en 1998, puis à mon quartier en 1999,  dans le XVIIéme arrondissement de Paris, à la ville, puis en 2000 à  la France, en 2003 à l’Europe. Quand on a une bonne pratique qui fonctionne bien, on  a envie de la partager. Et cette manifestation s’est déroulée en 2008 dans 1000 villes de 29 pays, a rassemblé plus de 8 millions de millions de participants en Europe dont 6 millions en France

     

    P.H. – Comment expliquez-vous que la « mayonnaise est prise ?

    A.P. : « Un besoin que nous avons tous en tête, car on crève de solitude parfois, d’isolement. La transaction qui est financière  est en train de manger la relation qui est gratuite. Je suis un militant de la relation. Au Japon, où on a lancé cette fête des Voisins l’année dernière, on m’a raconté que lorsque vous êtes tout seul dans un hôpital, vous pouvez payer quelqu‘un pendant une heure pour venir vous parler. Là on est dans le domaine de la transaction qui est insupportable. Et puis nous sommes tous en quête de sens, nous avons tous besoin de cette dimension sociale. On va faire mentir Jean Paul Sartre qui disait « l’enfer, c’est les autres ». Et bien non, l’enfer ce n’est pas les autres, c’est d’être seul à 95 ans mais aussi à 25 ans même  en gagnant 3000 E par mois. Ca touche finalement une corde sensible que l’on a tous : ce besoin d’aller vers l’autre, d’aimer.

     

    P.H. – Parmi toutes les initiatives prises, quelles sont celles qui vous ont marqué ?

    A.P. : « Je pense aux émeutes dans les banlieues. Nous avions fait un sondage après, auprès des bailleurs sociaux partenaires qui  nous ont dit  à 95% quelque chose qui m’a beaucoup frappé : là où la fête des voisins s’est implantée, il n’y a pas eu de violence ou très peu de violence. Il y avait tout de même une violence, mais les jeunes ont pris les poubelles et les ont brûlé à l’extérieur du quartier. C’est un outil d’apaisement social. Et puis beaucoup d’exemples d’histoires d’amours qui sont nées de cette fête des voisins. J’ai reçu un faire-part de naissance d’un « bébé – fêtes des voisins ». J’ai plein d’histoires de solidarité…notamment dans des quartiers difficile où l’on ne s’attendait pas à ce que ses habitants fassent quelque chose. Dans une ZAC de mon quartier, où des jeunes traînaient en bas des immeubles, on a fait l’effort de lancer cette initiative en s’adressant à eux : « montrez que vous êtes capable de faire des choses ! ». Bien plus tard j’ai vu un de ces jeunes beurs accompagner une personne âgée à la boulangerie, qu’il avait rencontré à la fête des voisins, alors que 2 mois auparavant, elle se cachait lorsqu’elle le voyait. Cela fait disparaître la peur de l’autre !

     

    P.H. – Pourquoi maintenant « Voisins solidaire » ?

    A.P. : « La fête des voisins est une réussite, 8 millions de participants en Europe, Mille et une mairies partenaires en Europe, 20 pays de l’UE, 10 pays en dehors comme le Canada, le Japon, Taipeh… C’est bien mais ce n’est qu’une journée. Je me suis souvenu lorsque j’ai lancé cette idée que c’était « Paris d’amis » avec un slogan : « pas de quartier pour l’indifférence » en 1990. En réalité c’était un réseau de solidarité de proximité, l’ancêtre de « Voisins solidaires ». Et nous nous sommes dit qu’il fallait continuer, d’autant plus que la fête des voisins a généré des actes de solidarité, a été le catalyseur de la création de liens sociaux avec plein de choses derrière. Et comment stimuler et développer toute l’année ces liens sociaux, aller plus loin dans un monde où c’est plutôt le repli sur soi, la peur de l’autre, l’indifférence. Si des choses fonctionnent bien et font du bien au corpus social, aux gens, pourquoi pas… Voisins solidaire est un programme de stimulation de la solidarité de voisinage.

  • RENTREE POLITIQUE A VANVES

    Le lundi 3 Avril 2010 a été marquée par 3 événements qui ont donné un aire de « rentrée politique » à Vanves après ses quinze jours de vacances scolaires sur lesquels le Blog Vanves Au Quotidien reviendra. Isabelle Debré (UMP) est le référant sénatorial d’une proposition de loi de l’UMP sur la suspension des allocations familiales en cas d’absentéisme scolaire répété et injustifié. Florian EStellano (PS) a lancé un nouveau journal pour créer du mouvement et de la réflexion nouvelle dans la ville. Enfin Bernard Gauducheau (NC) a tenu sa première réunion de quartier  consacrée au Centre Ancien (Saint Remy) très informative mais quelque peu soporifique.

     

    NOUVEAU DOSSIER POUR ISABELLE DEBRE

    La proposition de loi prévoyant la suspension des allocations familiales pour les élèves absentéistes devrait être examinée le 16 juin par l'Assemblée nationale, en vue d'être « applicable pour la rentrée prochaine » a expliqué lundi le député Eric Ciotti (Alpes Maritimes)  à l'initiative du texte, aux côtés d’Isabelle Debré, référent du texte au Sénat, et de Xavier Bertrand, Secrétaire National de l’UMP . Le nouveau dispositif, se voulant « très simple, très pragmatique » place l'inspecteur d'académie dans le rôle de « pivot » du système. Ce dernier remplace le conseil général, qui était chargé de demander la suspension dans l'ancien système prévu par la loi de 2006. Après quatre demi-journées d'absence constatées en un mois, le chef d'établissement devra signaler l'élève à l'inspecteur d'académie, lequel se chargera de convoquer la famille pour lui adresser un « avertissement », une forme de « carton jaune » selon l'expression de M. Ciotti. Les parents seront alors informés « de tous les dispositifs d'aide, d'accompagnement, de soutien scolaire qui existent ». Si l'élève réitère, l'inspecteur d'académie demandera à la Caisse d'allocation familiale « la suspension de la part d'allocations familiales associée à cet enfant », soit le « carton rouge », avec « possibilité de réactiver le dispositif d'aide sociale si l'enfant retourne à l'école » selon le député.

    « Nous cherchons à responsabiliser les parents » a ajouté Isabelle Debré, précisant que l'article 3 de la proposition de loi donne la « possibilité pour les parents de demander le contrat de responsabilité parentale ». Ce dispositif existait depuis 2006 dans le cadre de la loi prévoyant que le Conseil général puisse suspendre les allocations familiales en cas d'absentéisme scolaire. Ce contrat rappelait « les obligations des titulaires de l'autorité parentale et comporte toute mesure d'aide et d'action sociales de nature à remédier à la situation ». En cas de non respect, la suppression des allocations était prévue. « Il ne faut pas arriver jusqu'à (la) sanction » a souhaité Isabelle Debré. « Il faut justement que cette sanction soit dissuasive et que l'on parte sur la prévention, sur le soutien, sur l'accompagnement des familles ». La sénatrice UMP des Hauts-de-Seine, Isabelle Debré, a ainsi insisté sur la « dissuasion » plus que la « sanction » en soulignant la nécessité de mettre en place les contrats de responsabilité parentale qui « apportent un accompagnement à des parents dans des situations extrêmement difficile avec des enfants qui ne sont pas toujours très faciles ». Cette mesure avait été défendue par Nicolas Sarkozy lors d'un déplacement en Seine-Saint-Denis sur le thème de la sécurité, le 20 avril. « Désormais, la décision de suspendre les allocations familiales en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répétitif d'un élève devra avoir un caractère systématique » avait déclaré le président de la République.

     

    « Mon Socialisme Vanvéen »

    C’est le titre du « nouveau journal électronique et vanvéen, à tous » selon Fabian Estellano, conseiller municipal et Secrétaire de la section PS de Vanves. « Ces derniers mois de campagne menées par le PS dans le monde des idées comme dans notre travail de terrain m’ont permis de vivre des instants de grande réflexion et de partage » explique t-il en parlant de « bonheur » pour les résultats des Régionales dont il a mené la campane à Vanves. « Le travail que je méne depuis plusieurs années aux côtés des vanvéens socialistes de gauche ou même tout simplement amoureux du mouvement du progrés et de leur ville, me guide aujourd’hui à publier ce journal pour tous ceux qui veulent poursuivre cette quête »… « Ensemble nous devons construire un lieu d’échange sur notre avenir, nos devons dévoiler de vrais projets pour une ville nouvelle, nous devons créer. Ensemble nous allons innover »

     

    INFORMATIVE MAIS SOPORIFIQUE

    Pour la première des 3 réunions publiques semestrielles de quartier, Bernard Gauducheau entouré par une partie de son équipe, a tenu le micro pendant prés de 3H hier soir dans la salle des fêtes de la Mairie avec 3 sujets à l’ordre du jour : une nouvelle présentation de l’état d’avancement de la révision du PLU avec une présentation des différentes zones d’aménagement et du PADD (Projet d’Aménagement et de Développement durable) que ce blog aborde depuis Samedi dernier. Un exposé de Bertrand Voisine sur le budget 2010 de la Ville avec un power point qui aurait besoin d’être re-loocké par le service communication, notamment sur la partie – la plus intéressante – des investissements où les documents – illisibles – étaient plutôt brut de béton. Un second exposé de David Mahé sur l’équipement en fibres optiques de la ville en lien avec le Conseil Général et son plan THD 92.

     

    Peu de questions sur ces trois sujets d’un public acquis qui a plutôt abordé des sujets plus terre à terre vers la fin de la réunion. Des interventions trop longues du maire qui s’engageait dans de longs monologues qui rendaient la réunion soporifique. Même l’opposition présente, par la présence de Guy Janvier, Conseiller Général PS et Lucile Schmid (Verts), a été plutôt respectueuse mais ferme dans ses convictions, comme le Conseiller Général l’a fait en rappelant que certains élus altoséquanais étaient opposés à ce plan THD 92 qui versait une subvention publique à une entreprise provée (Numéricâble).

    C’est une femme venue avec ses deux enfants en bas âge qui a animée cette réunion en interpellant le maire pour un problème de logement. Elle lui reprochait de ne pouvoir le rencontrer et a raconté ses démêlées pour vivre et travailler seule avec ses enfants. Elle demandait finalement à être écouté : « C’est pour cela que  je suis venu vers vous pour vous le dire en face » - « Vous êtes bien la seule personne à Vanves à ne pas avoir pu me voir ! » s’est étonné Bernard Gauducheau qui est revenu sur les problèmes de logements à Vanves qui ne sont pas simples mais où ces services essaient de faire finalement l’impossible.