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parc f.pic - Page 16

  • VANVES CHOISI COMME DECOR POUR SERIES TV ET ROMANS POLICIERS : APRES JULIE LESCAUT A LA TV, LUCIFUGES EN VERSION NUMERIQUE PAR JB DUCOURNAU

    Décidémment, Vanves attire les auteurs de séries ou de romans policiers. Voilà une vingtaine d’années, débutait à l’automne 1994 le tournage d’une série policiére « Julie Lescaut » à Vanves qui s’est arrêtée voilà peu. On peut revoir les premiers épisodes sur TV Breizh ou d’autres chaînes du câble ou de la TNT  et reconnaître le centre ancien de Vanves, avec son faux commissariat installé dans les locaux de DEF Incendie (remplacé par ce nouvel immeuble avec le magasin de la chaine Bio C Bon au rez de chaussée) sur la place de la République. Quelques vanvéens ont joué les figurants, d’autres ont prêté leurs locaux comme décor comme le Tout va mieux de « Gilbert ».

    Vingt ans plus tard, c’est un jeune vanvéen de toujours qui a planté le décor de son roman policier – Lucifuges – dans cette ville qu’il apprécie beaucoup : Jean baptiste Ducournau.  Il a fait parler de lui, cet été, puisqu’il a remporté le prix « Nos lecteurs ont du talent » décerné par la FNAC qui offrait la version numérique de son livre lors de l’achat d’une liseuse numérique. Vanves au Quotidien a rencontré ce jeune auteur qui fait partie d’une famille vanvéenne de vieille souche, qui a vécut toute son enfance villa Quincy, fondée par l’une de ses arriéres-arriéres-arriéres grand-mére, avec une grande mére et une mére qui ont été institutrices à l’école du Parc et un peu à Larmeroux, et ont bien sur marqué beaucoup de générations vanvéennes. C’est la raison pour laquelle il aime profondément cette ville et qu’il est revenu s’y installer après quelques infidélités. Il nous en parle dans la première partie de cet entretien, et demain, il abordera bien sûr son premier roman policier

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi avoir choisi Vanves comme décor de ce roman policier ?

    Jean Baptiste Ducournau : « Parce que l’on parle bien que ce que l’on connait et que l’on aime. C’est comme un commercial ! S’il est convaincu par son projet, il en parle plus facilement. Et je suis convaincu de mon produit

    VAQ - Mais encore ?

    J .B.C. : »J’ai grandi à Vanves, fait mes études à l’école du parc, au lycée Michelet surtout qui est une institution, avec un très beau parc, des professeurs remarquables, entre 1978 et 1995, du temps du proviseur Bousquet. Mais je n’ai pas eu l’occasion de mettre les pîeds dans son bureau, ni de rejoindre le club de rugby du lycée, malgré les sollicitations de M.Bourgeois. C’est peut être l’un de mes plus grands regrets. J’ai fréquenté notamment le parc F.Pic avec son concours de pêche qui m’a beaucoup marqué. Un événement rassembleur, folklorique,  auquel j’ai participé et qui permettait aux vanvéens de partager une passion commune autour d’un événement « village ». Je pense que l’on devrait le refaire mais juste pour les enfants. J’ai connu le Tout Va Mieux, formule « Gilbert » où on se retrouvait entre les cours pour jouer au flipper mystique « le Polyforce » de chez Williams. On débarquait à 6 ou 7, sans nous obliger à consommer,  et Gilbert  nous laissait jouer. C’était un café vivant, pas un troquet, avec de la place, très fréquenté par d’autres jeunes, comme ce café tenu par le couple Heuzé à côté de la boulangerie, rue Raymond Marcheron qui a disparu

    Parmi les endroits symboliques, il y avait cette maison abandonnée avec un  vaste garage, rue Jean Baptiste Potin où l’on se retrouvait souvent. Accessoirement, mais en dehors de Vanves, on se retrouvait dans les carrières de Paris – Il y avait  une entrée sous la ligne de la petite ceinture dans le XVéme – pour  des soirées régulières. Enfin, j’ai travaillé chez certains commerçants du marché, notamment avec Sylvie ... On a beaucoup profité du biblioblus qui a fait aimer les livres aux jeunes, fréquenté les concerts dans la chapelle du lycée….les cours de solfége de M.Petit au conservatoire, qui m’a fait aimé le solfége contrairement aux autres…

    VAQ - Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui à Vanves, 20 ans aprés ?

    J.B.C. : « En mal, il y a de plus en plus de places payantes, avec des endroits délicats comme le Plateau où les immeubles ne vieillissent pas très bien. En bien, cette ville s’est améliorée esthétiquement. La place de la République est magnifique, par contre elle est bruyante l’été et la nuit surtout. Et ses nombreuses petites impasses où il fait si bon vivre.  Cette commune est surtout proche de Paris, tout en restant un petit village, assez vert, agréable, pas encore à des prix stratosphériques comme à Issy les Moulineaux, où tout le monde se connaît. La plupart des jeunes que je connais, sont restés plus ou moins dans le coin.

    VAQ - Qu’est-ce qui vous a amené à écrire un roman policier ?

    J.B.C. : « N’étant ni médecin, ni astrophysicien, je pense que ce que fais reste une question de bon sens, et l’écriture une question d’envie. D’ailleurs mon professeur de philosophie voulait absolument que je fasse une Khagne parce qu’elle trouvait que j’étais vraiment très bon en philo et en Français. Mais je lui disais, qu’étant en Terminal ES (Economie), j’étais un borgne au royaume des aveugles, puisqu’en terminal ES, on se foutait pas mal de la philo. Mais statiquement, ceux qui sont passés par ES sont des gens équilibrés 3 ans après leur sortie, et sont même rentrés dans la vie professionnelle.

    J’ai un côté pragmatique qui fait que je me suis dit que je ne vais pas vive avec cela. Je suis partie, au niveau professionnel,  dans l’économie. Et lors d’un voyage au Pérou, j’ai eu l’idée d’un programme court que j’ai proposé à la TV en démarchant les chaînes, après avoir monté avec quelques amis un pîlote. NJR me l’a acheté, m’a mis en contact avec une boite de production qui a racheté le concept, se l’est approprié,  l’a complétement défloré pour arriver au final à un refus de NJR qui ne reconnaissait rien du concept initial. Fort de cette expérience très instructive, parce que cela m’a donné confiance, je me suis lancé dans l’écriture d’un roman, car personne n’interviendra sur l’histoire que je veux raconter.

    VAQ - Pourquoi le roman policier ?

    J.B.C. : « A cause de mon côté pragmatique car c’est ce qui se vend le mieux. Et  parce que l’on peut traiter de tous les sujets, passer différents messages, et j’avais pas mal de chose à dire sur de nombreux sujets.  Et je voulais faire un truc  avec un peu humour. Enfin, je voulais que ma grand mère le lise, car elle le lit que des romans policiers, en dehors des livres historiques.

    VAQ – Pourquoi avoir choisi Vanves comme  décor ?

    J.B.C. : « Parce que j’aime Vanves. J’ai donc installé mon héros dans un appartement de Vanves : Un commissaire de la PJ, passionné de pêche, qui s’en va pêcher quai des Orfévres. Il n’y a pas de raisons que les commissaires soient comme tout le monde. Ils ne sont pas forcément bien payés, et ne peuvent pas toujours habiter dans des endroits somptueux.

    A SUIVRE…

  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE ENCORE DE RENTREE

    Finalement, le mois du Commerce  qui est lancée vendredi prochain, est devenu l’événement de la Rentrée avec la grande braderie, le forum des associations avec la journée Portes Ouvertes du Stade de Vanves, et les Journées du Patrimoine de ce week-end. Beaucoup de vanvéens ont participé, aux visites du lycée Michelet sous la bruine en deux groupes conduit par des professeurs à la retraite, du carré militaire du cimetière bénéficiant d’une accalmie pour ce qui concerne la première journée de Samedi dont  le point d’orgue était bien sûr cette conférence sur la Maison de Santé du docteur Falret ouvert entre 1822 et 1932, qui accompagnait une exposition dans le hall d’entrée de l’hôtel de Ville : Six panneaux dont une immense carte datant de 1930 montrant bien l’emplacement qu’elle occupait sur le site du parc F.Pic et une partie du PMS André Roche, consacré au site, à ses fondateurs, à ses pensionnaires, à ce qu’il reste,  commenté, au départ de sa conférence, par le docteur Jean Marie Mouthon.

    Ce châtillonnais qui s’est marié à Vanves en 1962, s’est intéressé à l’historique de cet établissement à partir justement de ses pensionnaires : 901 admis en 110 ans dont le dessinateur Grandville, Jules Didot, Bonawentura Niemojowski ancien chef du gouvernement national polonais, la princesse Zoé Bibesco, Annet Morio de l’Isle, général du premier Empire dont le nom est inscrit sur l’Arc de Triomphe. Il a beaucoup parlé de ses fondateurs : Félix Voisin qui a été maire de Vanves entre 1832 et 1839 et oeuvra (déjà) pour l’abolition de la peine de mort, Jean Pierre Falret dont le fils Jules pris la suite, suivi par le docteur Léon François Arnaud qui en fut le dernier médecin directeur et dont le fils Jean François exerça la médecine générale dans son cabinet du 2 rue Falret jusqu’en 1969.

    Le temps fort du lendemain, plus ensoleillée,  fut la visite du centre culturel et cultuelle israélite  de Vanves en fin d’après-midi organisée par l’ACCIV. Deux heures d’échanges ont permis à une vingtaine de vanvéens d’en savoir plus sur cette religion, et surtout sa pratique et ses régles de vie dans ce bâtiment inauguré en Novembre 2012. Cette visite intervenait à un moment important de la communauté après le Yom Kippour et au lendemain du Grand Pardon, avant la fête des Cabanes. Les sœurs bénédictines n’ont pas chômé au Prieuré en présentant notamment un long diaporama sur leur prieuré Sant Bathilde avec une exposition des œuvres de Sœur Boniface. Sur la place de la République s’est déroulé dans l’après-midi le tournage d’un film publicitaire avec un faux « Picasso » et des véhicules anciens.

     

    Mardi 17 Septembre  

    A 20H au Théâtre : « Sur les pas d’Albert Camus » à l’occasion du centenairede sa naissance  organisée par l’Amicale des Pieds Noirs. Il est prévu une conférence de Michéle Salvat, philosophe sur « Camus méditérranéen »  suivi d’un téléfilm portant sur les 10 dernières années de sa vie

    Mercredi 18 Septembre

    A 20H à Asnières : Isabelle Debré, sénateur, participe au grand meeting de la Reconquête de Cyrile Dechenoix, conseiller général UMP d’Asnières qui lance sa campagne pour les municipales avec P.Devedjian Président du Conseil Général des Hauts de Seine

    Vendredi 20 Septembre

    A 19H30 à la Palestre : Lancement de la 3éme édition du  Mois du Commerce avec de très nombreuses animations

    Samedi 21 Septembre

    A 10H place de la République : Le conseil de quartier Saint Remy organise une animation avec des peintres vanvéens dans une ambiance jazz et le magasin Bio C’Bon organise une distribution de paniers découvertes

    A 12H à l’Ile Saint Germain : Les élus UMP de Vanves participent au pique-nique UMP Francilien de Rentrée organisé par Valérie Pécresse, leader UMP à la Région. 

    A 20H au restaurant « Les Platanes » : Soirée Moules/frites et chansons françaises. IL se pourrait que son patron lance à cette occasion la « moule vanvéenne » d’après une recette à base de produits franciliens.

    A 20H au gymnase Roche : Match de Basket Aviators-Vanves-GPSO – W.O.S.B.

    Dimanche 22 septembre

    A 15H au parc F.Pic : Le Kiosque O’Ben organise une crêpe party et un spectacle pour enfants

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    SAUVE : Bernard Ollivier président du syndicat d’initiative de Vanves et surtout président de l’UDOSTI qui regroupe l’ensemble des syndicats d’initiatuves des Hauts de Seine a sauvé du chômage la permanente qui travaillait pour cette association. Il a rencontré Isabelle Caullery, conseillére générale chargée du Tourisme, pour défendre la cause d’Agnés Courtois qui pourra continuer à travailler pour l’UDOTSI pendant l’année 2013. La commission permanente du 13 mai dernier  a régularisé la subvention oubliée, qui mettait en cause l’emploi de l’animatrice de l’Union, « qui par ailleurs fait un travail remarquable ». Une subvention de 43 000 € a été votée pour l’UDOSTI dont les bureaux devraient rejoindre les locaux du Conseil Général au Bâtiment les Reflets où s’est installé le CTD 92 (Comité du Tourisme Départemental).

     

    FOYER D’ACCUEIL : La paroisse Saint François d’Assises est l’une des premières, dans les Hauts de Seine, à avoir accueilli un foyer d’accueil dans le petit pavillon qui donne sur le jardin de l’église, dés la fin des années 80. Ainsi un jeune couple se relaire régulièrement, tous les 4 à 5 ans, pour « habiter la maison du Seigneur ». Il est nommé pour 3 ans par l’Evêque, renouvelables deux fois un an. « Généralement, les couples sentant le désir de vivre cette misson se présentent au diocése où un service les aide à discerner. Puis l’Evêque les nomme dans une paroisse bien particulière dans laquelle ils s’insérent. Sur Saint François d’Assise, cela fera plusieurs fois que le foyer d’accueil est appelé par le curé de la paroisse et propose au diocése pour un discernement adapté » expliquent Clémence et Frédéric Néouze qui passeront le relais à François-Xavier et Lucie Choutet accompagnés de leurs 3 garçons. « Il nous faudra encore du temps pour recueillir tous les fruits que cette belle mission d’Eglise aura apporté à notre famille ».

     

    ERREURS : L’exposition sur l’historique des jumelages de Vanves dans le hall de l’hôtel de ville qui se termine le 28 Mai, comporte quelques erreurs, et notamment photographique. Sur l’un des panneaux, on y voit une délégation dans le kiosque à musique du square Etienne Jarrousse, avec la date 1983. Ce qui est tout à fait impossible puisqu’il a été construit à l’occasion du réaménagement de ce square en 1992. IL parait, selon un élu, que ce n’est pas la seule ?

     

    DISPENDIEUX : Est-ce que GPSO serait dépensier. Certains participants à l’atelier sur la trame verte de Vanves, Mercredi dernier, ne sont pas loin de le penser. D’autant plus que le choix de la salle de réunion pour le réunir se dénomme « Garguanta » (dans l’ancien commissairiat de police dédié au centre de loisirs). Comme cet atelier s’est déroulé toute la journée, avec visites sur le terrain du parc F.Pic, de son rû, de la coulée verte rue J.Bleuzen le long du talus SNCF entretenu par l’association Espaces, il était prévu de déjeuner sur place. Au lieu d’aller dans un restaurant de la ville, les services de GPSO ont préféré faire venir un traiteur  pour servir le repas dans cette salle de réunion. Espérons qu’il n’était pas garguantesque.