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gpso - Page 144

  • LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES SE DEPLACE A CABOURG AVANT DE VOTER SON PLU

    Deux heures et demi de conseil municipal hier soir pour 24 délibérations inscrits à l’ordre du jour dont le PLU et 2 questions orales du PC sur les résultats de la lettre envoyé par le maire en Juillet dernier demandant aux 12 bailleurs sociaux d’appliquer kes seuils minimaux pour les surloyers et du PS sur l’audit concernant la résidence Danton. Et surtout une heure de visite du nouveau groupe scolaire du Centre dans l’îlot Cabourg

     

    Fait exceptionnel, le conseil municipal s’est déplacé pour visiter l’îlot Cabourg à l’invitation du maire, Bernard Gauducheau. La plupart des 35 conseillers municipaux, à l’exception de quelques uns dont Guy Janvier (PS) arrivé plus tard – mais il le fera lors des 2 visites prévues les 28 et 29 Juin pour les élus et ler personnel communal comme c’était programmé – ont découvert cet aménagement et des équipements municipaux. Ils ont découvert la place des Lavandiére pour lesquels les écoliers entreront dans leur groupe scolaire, ou les jeunes vanvéens accéderont au centre de loisirs installé dans l’ancien commissariat, accolé au groupe scolaire, derrière le LEP Dardenne et surtout le nouveau bâtiment R.Baes qui accueilera les jeunes de l’ESCAL, le CAD et des associations. Les élus se sont promenés dans les salles de classes, d’activité péri-scolaire, découvert les deux réfectoires ou selfs services des écoles élémentaire et maternelle qui disposent du même satellite, au desssus de la grande salle polyvalente dont l’entrée est indépendante presque au même niveau de l’entrée de l’ex-école primaire du centre à côté du tribunal d’instance. Ils ont agréablement surpris par la luminosité des lieux aérés et vastes, mal orienté pour les écologistes  - « on va se retrouver avec le même problème que Marceau » persiflait Pierre Toulouse (EELV) - qui se sont inquiétés si les bâtiments étaient HQE – ce qui est la cas – alors que des stores vénitiens et les volets fixes  permettent aux locaux de retrouver une certaine fraîcheur (la nuit). Ils ont terminé par le parking dont la hauteur a été prévu pour que les camions des commerçants du marché s’y garent les jours de marché – « Et on s’arrangera pour qu’ils le fassent » a-t-on alors entendu dans ce vaste espace non éclairé - et la grande salle polyvalente. Mais il était temps de rejoindre la salle Henri Darien pour le Conseil municipal.

     

    Le gros morceau de ce conseil municipal  - sur lequel ce blog reviendra -  était bien sûr le PLU voté sans surprise par l’ensemble des élus, y compris le grpupe PS et PC, sauf les verts, Claire Papy et Pierre Toulouse ayant voté contre, Lucile Schmid s’abstenant, après une présentation par Bernard Gauducheau et Julien Gazel qui s’est exclamé « le POS est mort, vive le PLU » et les interventions des portes paroles des deux groupes PS/PC et Verts dont ce blog avait déjà doné une idée. Mais tous les présents retiendront cet hommage appuyé au travail de Fabienne Richard, directeur de l’Urbanisme : « Madame Richard n’a pas failli une seconde à ce projet pendant 2 ans et demi. Un travail  complexe et fastidueux qu’elle a menée de main de maître avec patience, sans manquer une seule réunion ».

    Le second temps fort fut évidemment l’avis du Conseil municipal sur le projet de schéma départemental de coopération intercommunal pour le département des Hauts de Seine qui a été négatif. Bernard Gauducheau en a donné les raisons : Si la Communauté d’agglomération intégrera sûremment  Marnes la Coquette avec laquelle elle a nouée des relations de travail fécondes (emploi, astreinte hivernale…)  et peut être les communes réunis au sein de cœur de Seine (Garches, Saint Cloud, Vaucresson),  ce schéma ne saurait ignorer la volonté de Velizy-Vilacoublay de l’intégrer. Les Verts ont voté contre refusant une extension de GPSO à Velizy pour « marquer une pause dansles tentatives mégalomaniaques d’entension de GPSO ». Le PS a voté cet avis avec la majoroté municipale en demandant plus de démocratie au sein de GPSO et son extension à Malakoff et Clamart qui font partie du même bassin de population. Enfin le PC s’est abstenu

     

    A Suivre….

  • LES HAUTS DE VANVES EN REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER (suite) : Des chantiers à la circulation !

    Dans les échanges entre le maire et les habitants des Hauts de Vanves, il a été beaucoup questions de circulation et de transports. C’est d’ailleurs parti de la réflexion d’un riverain de la rue René Coche se plaignant « que ce soit la panique chaque matin entre les parents qui déposent leurs bébés à la créche, ou leurs enfants à l’école, les livreurs qui choisissent toujours la bonne heure et les automobilistes fûtés qui ont trouvé un chemin malin par René Coche et la gare » et d’une riveraine qui considérait que l’aménagement de la rue Georges Clemenceau n’avait pas été terminée « à cause de chantiers su’on me dit plus urgents », juste au moment où le maire arrivait dans le préau de l’école Larmerox, Jeudi soir.

     

    Bernard Gauducheau :

    « Il faut aller avoir ailleurs…ce qui ne se fait pas ! 

     

    « Le festival des camions et des véhicules peut être important autour des chantiers. Mais cela diminue après, car l’école provisoire du Centre va retrouver l’îlot Cabourg, que les résidents de la résidence hôtelière ou étudiante ne se déplacent pas en voiture….ou peu. D’ailleurs les riverains de la rue Marc Sangnier où j’habite, qui craignaient qu’un nouveau parking ne crée des embouteillages dans cette voie, ont pu s’apercevoir qu’il n’en a rien été, et qu’il n’y a pas plus de problèmes qu’avant » a expliqué le maire  en se voulant rassurant. Par contre, il s’est élevé en faux face à l’habitante de la rue Georges Clemenceau en afformant que « les travaux ont été achevé, en ce qui concerne les enrobés et le marquage au sol. Par contre, sur l’enfouissement des réseaux, nous ne nous sommes pas précipité. A partir de maintenant, nous le ferons à chaque opération de voirie, en fonction de notre budget, comme c’est le cas pour la rue Sadi Carnot. Pour la rue Mansart, les riverains y auront le droit l’année prochaine. L’essntiel est que la voie soit en bonne état ».

     

    A une autre question sur les trottoirs de l’avenue du Général de Gaulle, il a expliqué qu’il ne connaissait pas « au millimétre prés les 16 km de rues, dont 32 km de trottoirs de la commune », invitant les vanvéens à signaler les problèmes. « Je me dis quelquefois que depuis 20 ans, nous avons fait des choses importantes. Mais nous sommes arrivés à un tel niveau d’exigence que le moindre détail prend des proportions incroyables. Il faut aller avoir ailleurs…ce qui ne se fait pas ! » a-t-il expliqué. Une riveraine de la rue Diderot a reposé la question de sa mise en sens unique : « II y a un problème ! Ma régle d’or est d’être le garant de l’intérêt général. Dans ce cas là, l’avis des riverains est très partagé sur la mise en sens unique ou le statu quo en gardant les deux sens de circulation » - « Mais beaucoup se servent de cette rue pour éviter le carrefour de l’insurrection et prendre le parcours malin de la gare ! » répond un autre riverain – « Mais si on met la rue Diderot en sens unique, ils en trouveront une autre rue ! » a-t-il argumenté. Tout en faisant part d’une idée pour réduire ses parcours malins : Inverser le  sens unique de l’avenue de Verdun, « car certains y font le grand détour pour rejoindre la rue J.Bleuzen et éviter le carrefour de l’insurrection ». Et d’un autre projet qui n’est pas nouveau avec la mise en sens unique de la rue Jean Bleuzen, dans le sens Paris-vanves et se servir de l’axe Martnie-Pasteur ou du Bd du Général de Gaulle à Malakoff pour l’autre sens. « Les choses ne resteront pas en l’état ! » a-t-il prévenu.

     

    Il n’a pas caché qu’à ses yeux, le plus urgent est de refaire la rue Raymond Marcheron, dossier sur lequel il travaille avec GPSO et le Conseil Général, car il s’agit d’une route départementale, à qui il a demandé  « de prendre en charge ce projet ». Un axe sur lequel circule le trafic le plus important de la commune et sur lequel il n’y a pas eu beaucoup de ré-aménagements faits. Il subit des nuisances importantes, surtout avec les nouvelles constructions et les chantiers de ses derniers temps

    A Suivre....

  • LE CONSERVATOIRE DE VANVES : PLUS DE 20 ANS APRES UN PREMIER PROJET, UNE REALITE POUR 2013

    Le projet de construction du nouveau Conservatoire de Vanves confié au Cabinet 3Babin-Renaud par GPSO sera présenté ce soir à 20H à l’Hôtel de Ville lors d’une réunion publique. Occasion de rappeler que pour en arriver là, ce ne fut pas simple, sachant que l’origine d’un tel projet remonte à Gérard Orillard (1980-90)  et à Didier Morin (1990-95) qui, lorsqu’ils avaient lancé la ZAC du Centre Ville (qui ne s’est jamais faîte), pensaient l’installer place de la République. A défaut, il est resté éparpiller dans différents locaux dont le principal et historique se trouve rue Guy Mocquet, en s’étant étendu dans le pavillon occupé alors par le secrétariat du Stade de Vanves qui a déménagé dans un pavillon situé dans le PMS André Roche lorsque Guy Janvier était maire (1995-2001). Ce dernier a d’ailleurs toujours défendu l’aménagement d’un conservatoire place de la République comme ces prédécesseurs, mais il n’a pas entendu par son successeur.  

     

    Il n’empêche que les aventures de ce nouveau conservatoire n’en était pas pour autant termines, puisqu’une régle veut qu’à Vanves, certains projets mettent 20 ans à se réaliser, comme pour les tennis couverts du PMS André Roche, ce qui est le cas là. Bernard Gauducheau avait lancé la création d’un pôle culturel rue Solférino avec le conservatoire, un auditorium, et une médiathéque en 2006 confié par le Conseil Municipal à l’Agence Weygand-Boorromée-Badani en 2007. Mais lorsque la Communauté d’agglomération (CA) Arc de Seine s’est vu transférer la compétence sur les conservatoires, il n’a plus été question de médiathéque, amenant même le conseil municipal à résilier un marché de maîtrise d’œuvre.  Arc de Seine a lancé alors  un avis public à la concurrence lancé qui avait reçu 96 candidatures. Un jury avait permis de sélectioner le 20 Octobre 2009 trois équipes de maîtres d’œuvre dont les cabinets Fabre et Speller, Badia et Berger, 3 Babin et Renaud. Et le jury avait classé ce dernier en premier de la liste lors de la réunion du jury le 11 Mai 2010, car « il répond au mieux aux besoins de la communauté d’agglomération : Exploitation intégrale du sous-sol permettant d’optimiser la gestion des espaces tout en assurant un traitement acoustique, large parvis ouvert sur l’espace public permettant de marquer clairement le statut d’équipepment public, configuration d’un auditorium permettant de s’adapter à l’ensemble des configurations possibles liées aux activités de danse, théâtre et musique, projet s’inscrivant dans une démarche de développement durable volontaire de par la compacité du bâtiment et par les choix constructifs proposés ».

     

    La Communauté d’Agglomération Grand Paris Seine Ouest (GPSO) qui est né le 1er Janvier 2010 grâce au rapprochement d’Arc de Seine dont faisaitt parti Vanves et Val de Seine a repris le dossier en main qui était alors chiffré à 10,52 M€.Son  Conseil communautaire du 24 juin 2010, a décidé d’attribuer le marché de maîtrise d’œuvre de la construction du nouveau Conservatoire de Vanves au Cabinet 3Babin-Renaud qui  s’est engagé dans une démarche d’études afin de préciser les spécificités architecturales et techniques du projet, a élaboré un échéancier destiné à planifier la démolition du bâtiment existant, la dépollution du terrain et la construction de la nouvelle structure qui devrait être livré à la Rentrée 2013. « Construit sur le terrain situé au n°17-21 de la rue Solférino (anciens ateliers techniques de la Ville), le nouveau Conservatoire de Vanves sera doté d’un auditorium avec une fosse d’orchestre adapté aux multiples ensembles composant la programmation de ce site artistique. Ses qualités en matière d’espace et d’acoustique permettront d’y accueillir des spectacles de musique (art lyrique, musique de chambre, orchestres, jazz, musiques amplifiées...), de théâtre ou de danse » indique le Cabinet d’Architecture. Il accueillera bien sûr les 700 élèves et la quarantaine de professeurs dans les meilleures conditions notamment sur le plan de l’enseignement riche et varié (cours individuels et collectifs, du rock au baroque) dispensé tout au long de l’année. « Grâce à de nombreuses salles dédiées aux pratiques instrumentales et vocales, de grandes salles de travail et de répétition pour les musiques anciennes, la danse, le théâtre et les ensembles de pratique collective, des studios équipés pour les musiques amplifiées ».