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conseil régional ile de france - Page 29

  • DES DOTATIONS POUR LES COLLEGES ET LYCEES DE VANVES

    L’automne est l’occasion pour le département et la Région de voter les dotations des établissements scolaires dont ils assurent la responsabilité, les colléges pour les Hauts de Seine et les lycées pour l’Ile de France. Qu’en est il à Saint Ex, Michelet et Dardenne alors que leurs éléves vont retourner en classes après les vacances de la Toussaint.

     

    Ainsi le Conseil général a voté une dotation de fonctionnement de 106 830, 16 € pour le collége Saint Exupery, et de 294 673,77 € pour le collége  Michelet. St Ex bénéficie des forfaits ULIS (1300 €), puisqu’il héberge une unité localisée pour inclusion scolaire,  un accompte pour l’utilisation des gymnases municipaux (7 704 €) et d’un reversement par la commune pour la location de son gymnase départemental (3 907 €).  Patrick Devedjian en a profité le 21 Octobre dernier pour indiquer "que 8% des dépenses de fonctionnement et prés de 30% des dépenses d’investissement de notre budget sont consacrés à la Région". Il a même cité une enquête comparant les dépenses de 11 conseils généraux dont les 8 de la Région Capitale avec les Bouches-du-Rhône, le Nord, Le Pas de Calais, le Rhône. Le 92 consacre 2207 € d’investissement par collégien le 9.3 seulement 567 €. Le 92 consacre 1 157 € de fonctionnement par collégien que le Nord qui a un budget supérieure aux Hauts de Seine n’y consdacre que 427€. Enfin, les actions éducatives représentent une dépense de 144 € par collégien dans le 92 contre 46 € pour les autres.  

     

    La Région a versé une Dotation Globale de Fonctionnement (DGF) au LEP Dardenne qui comprend plusieurs postes : 29 810 € de dépenses pédaggogiques dont 1760 € pour l’éducation physique et sportive (EPS), 46 547, 80 € pour l’entretien et les charges, 31 768 € pour le chauffage soit une DGF de 108 035,80 €. Mais comme pour tous les lycées, cette DGF doit subir un lissage pour asurer une transition entre l’ancien et le nouveau baréme appliqué pour la calculer et un prélévement de 3206,95 € destiné à alimenter une partie mutualisée de la DGF redistribuée en cours d’exercice aux établissements devant faire face à des imprévus ou des dépenses exceptionnelles. Une initiative qui date de 2 à 3 ans lorsque la Région s’était aperçu que certains établissements thésaurisés. Le Lycée Michelet disposera d’une DGF qui se répartit ainsi : 48 712,65 € de dépenses pédagogiques, 301 012 € pour l’entretien et les charges dont une dotation de 11 050 € pour l’internat, 166 131 € pour le chauffage. Mais après lissage et prélévement pour alimenter la caisse mutualisée (1606,61 €), elle représente  à 519 471 €  

  • LA SEMAINE BLEUE, BLANC, ROUGE DES ELUS DE VANVES

    Rien àvoir avec le Rugby, même si ce matin, tous les regards sont tournés sur Auckland en Nouvelle Zélande avec le choc frontal de l’équipe de fance et des All Blacks

     

    BLEUE BLEUE LA SEMAINE DES SENIORS

    C’est la première fois à Vanves qu’un théme avait été choisi pour la semaine bleue, « les seniors et la sécurité routière »,  déclinée en cinq journées-événements organisées par le CCAS. Antoinette Girondo, conseillére municipale chargée plutôt de la vie associative et de l’animation locale auprès de Françoise Saimpert, y a beaucoup contribué tout simplement parce qu’elle est une spécialiste des questions de sécurité routière, ayant travaillé dans cette direction du ministère de l’Equipement, notamment en tant que juriste, sur le permis à point. Elle était toute placée pour donner un coup  de main volontaire (et passionnée) à cette semaine bleue qui a été une réussite, avec notamment une conférence sur la conduite des seniors, un forum de la prévention, qui a été très apprécié,  un parcours de conduite avec 3 autos-écoles de Vanves qui a croûlé sous les demandes couplé avec une visite du commissariat. « Ouvrir le commissariat a été une bonne initiative de la part de la commissaire de police qui a toujours de bonnes idées » a constatée Bernard Gauducheau en tirant le bilan de cette Semaine Bleue vendredi dernier en fin d’après midi avec remise des attestations de bonne conduite aux participants. Occasion de constater que beaucoup plus d’hommes avaient participé à cette semaine que les femmes, ce qui s’explique aidément dans la mesure où les femmes de cette génération ne conduisaient pas beaucoup et qu’une telle semaine avait demandée à ces participants d’être des acteurs actifs et non passifs comme l’a constaté le maire de Vanves

     

    BLANC BLANC LA COMMISSION PERMANENTE

    Pas tout à fait à écouter Bernard Gauducheau en tant que Conseiller Régional qui est plusieurs fois intervenu Jeudi dernier lors de la commission permanente du Conseil Régional au nom du nouveau groupe ARES (Alliance Républicaine Ecologique et Sociale) et non plus NC (Nouveau Centre) en appuyant à chaque fois sur le mot « écologique » pour faire bisquer les verts et la gauche. Notamment sur les Points Noirs du Bruit à l’occasion d’une question du groupe  Majorité Présidentielle (UMP) qui se plaignait notamment que le tronçon commun aux autoroutes A4/A86 sur la ville de Joinville Le Pont ne figure pas sur la liste des PNB francilien à traiter. Occasion pour le maire de Vanves de constater que les échanges auxquels il a assisté entre l’UMP et l’Exécutif avec le nouveau sénateur EELV  Jean vincent Placé, dénotaient quelques inquiétudes. « Il est clair que ses dispositifs et la mise en oeuvre des PNB est difficile. Car il faut plusieurs années pour aboutir ! Mais les élus (locaux) montrent de l’impatience tout simplement car ils ont la pression des riverains…alors que nous leur parlons d’enquêtes, d’étuides, de procédures administratives… ». Référence peut être à la couverrtue du Bd Périphérique et surtout au chantier du mur anti-bruit de la ligne SNCF Paris-Montparnasse qui traîne…à cause de RFF.

     

    ROUGE ROUGE AU CONSEIL GENERAL

    Guy Janvier a mené l’offensive socialiste lors de la séance du Conseil Génaral de Vendredi dernier sur l’Île Seguin où il a dénoncé 10 ans d’inactions, de rapports, de gachis en terme de gouvernance,  sur le personnel communal en demandant plus d’évaluation,   sur la décision modificative – qui est le budget rectificatif du dépatement – en parlant de « décision non modificative » où il en a profité pour dénoncer les diminutions des crédits sur la protection de l’enfance avec ses 7 M€ en moins au titre de l’hébergement des jeunes en difficulté placés par le juge, placant le département des Hauts de Seine dans le rouge. « Alors que certains éléments démontrent qu’il y a des efforts à faire dans ce domaine » a-t-il asséné en donnant quelques chiffres très intéressants : le nombre d’enfants faisant l’objet d’informations préocccupantes est passé de 3015 à 3974 en deux ans. 4 fois moins d’APE (Actions Préventive d’Educatioon) depuis  2005 qui sont passées de 400 à 173. Les mesures d’acccompagnement des famillees en très grande détresse n’ont touché que 3 ebfants en 2009 et 7 en 2010 etc… De même avec le développement du réseau THD (très haut débit) sur le département car il méne bataille contre les conditions de sa réalisation avec ses collégues Patrice Leclerc (PC) et Vincent Gazeilles (EELV) et surtout la subvention de 59 M€. « Ce dossier est au cœur de la gestion et de la gouvernance publique » dans ce département

  • VANVES ET AUTOLIB ! DU PLOMB DANS l’AILE !

     « Une station, c’est 6 places de stationnement. Il en est prévu  rue Larmeroux (vers la rue Mansard), au métro Plateau de Vanves/Malakoff, à la gare de Vanves/Malakoff, Bd du Lycée Rue Mary Besseyre, rue Marcel Martine, Carrefour Legris, ce qui va supprimer 36 places de stationnement dans la ville » expliquait Bernard Gauducheau lors de la dernière réunion de quartier, en ajoutant «  ce nombre de stations est nécessaire pour assurer une rotation ». Mais voilà, la suppressionn  de places de stationnement font tiquer certains élus et habitants tant de Vanves que dans d’autres communes. Au dernier conseil comunautaire de GPSO le 30 Juin dernier, les élus d’Issy les Moulineaux se sont même abstenus pour cette raison, car pour cette ville de prés de 60 000 habitants, il en faudrait 22… et le coût : 200 000 € par station parait il

     

    Huit communes limitrophes de Paris ont rejettées pour l’instant ce projet de voitures libre-service dont les travaux doivent démarrer  pour 250 stations sur les 750 prévues et se dérouler entre la mi-Juillet et Septembre 2011, afin de permettre une opération test pendant deyux mois 5octobre et Novembre) avant le grand lancement prévu le 1er Décembre 2011. Le Pré Saint Gervais et Clichy refusent pour des raisons budgétaires. D’autres parce que contrairement à Vélib’, Autlib ne suscite par l’enthousiasme des habitants comme à Vincennes. Enfin, quelques unes sont opposées par principe, comme Ivry, Montreuil dirugé par lesVerts avec Dominique Voynet : « Cela va généreer des trajets supplémentaires. Il faudra conduire des autolib » des stations trop pleines vers des stations vides. A priori, nous pensons que cela ne fonctionnera pas, cela coûtera cher, cela générera des déplacements parasites de voitures et ne jouera pas sur les déplacements pendulaires du travail à domicile, le vrai prob éme » expliquait elle au JDD

     

    Les Verts ont ayu Conseil Régional ont toujours été opposé au financement de cette opération, dénonçant un projet faussement environnemental ainsi que son coût très élevé. Cette « fausse bonne idée ne fera qu’ajouter des véhicules automobiles individuels dans la chaîne des transports, ceci en contradiction avec le PDU (Plan de Déplacement Urbain) de la région qui vise à réduire le trafic automobile (comme d'ailleurs l'impose la loi) ». Ils  sont particulièrement inquiets du montage financier de cette opération et de son coût pharaonique. En effet, « chacune des 46 communes participantes paye 50 000€ par station, soit environ 25 M€ pour la seule ville de Paris. Elle devra patienter dix ans avant d’amortir à peine 20 M€. C'est l'une des principales raisons du refus de nombreuses villes franciliennes ». Enfin, ils dénoncent l’optimisme béat qui accompagne le projet Autolib. « Ainsi, pour équilibrer son budget, Autolib devra cumuler 200 000 abonnés alors que Vélib peine à dépasser les 165 000 depuis 3 ans. C'est donc la menace de devoir renflouer Autolib avec des deniers publics qui plane au-dessus des villes même si Bolloré s'engage à assumer une partie des pertes ».