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commerces - Page 9

  • REACTION DE BERNARD GAUDUCHEAU : NON VANVES NE JOUE PAS A LA BELLE ENDORMIE. SA POPULATION , SON COMMERCE…. SE RENOUVELENT

    Bernard Gauducheau, maire de Vanves a réagit à l’article publié le mardi 3 Janvier 2017  dans le blog évoquant Vanves, « la belle endormie »  

    « Permettez-moi tout d’abord de réfuter les propos qui m’ont été, semble-t-il, attribués et consistant à me faire dire, je cite : « je n’y peux rien ».

    Je crois bien au contraire, avec mon équipe d’élus et de fonctionnaires, que nous avons fait la preuve, au cours de ce mandat comme des précédents, de notre sens des responsabilités et denotre ténacité.

    Loin de ne pouvoir « rien n’y faire », nous avons toujours fait la démonstration de notre détermination à rendre plus agréable la vie quotidienne des Vanvéens et à résoudre les problèmes lorsqu’ils se présentent ; y compris lorsque les solutions ne dépendent pas que des prérogatives ou des pouvoirs du Maire.

    Pour ma part, déterminé je suis et déterminé je reste à préserver et à améliorer la qualité de vie de Vanvéens en usant de tous les moyens à ma disposition.

    Sur la question plus précise de l’activité commerçante à Vanves, je tiens la encore à nuancer vos propos.

    S’il est exact de dire que l’activité commerçante s’est réduite durant la trêve des confiseurs, les raisons ne sont pas à imputer à une tendance de fond qui traduirait un déclin du commerce dans notre commune, mais bien plus, je le crois, à une situation propre à la période des vacances scolaires de Noël et du Nouvel An.

    D’autre part, la fermeture de deux commerces (le Tout Va Mieux et le Pavillon Bleu), Place de la République, n’est je l’espère que transitoire et en instance de trouver de nouveaux gérants prêts à rejoindre les artisans et commerçants de la Place et de ses abords.

    Cette situation est renforcée par une réalité à Vanves : celle d’un renouvellement important de population, plus jeune, plus mobile et ayant des habitudes de consommation différentes de ce que nous avons pu connaitre il y a encore quelques années. Il en est ainsi pour la presse, dont les supports évoluent vers le numérique.

    Pour autant, la municipalité considère comme essentiel le maintien et le développement d’un commerce de proximité riche et diversifié, où se construit et s’entretient le lien social indispensable au bien vivre ensemble.

    UNE MUTATION  

    « Au-delà des discours défaitistes habituels, nous devons faire le constat d’une mutation du secteur économique dans nos villes. A Vanves, à l’exception de situations particulièrement symboliques et finalement peu représentatives, le commerce évolue et se transforme. Les commerces sont repris par une nouvelle génération de gérants dynamiques, motivés et ambitieux.

    Les idées et concepts originaux ne manquent pas et l’offre de commerces à Vanves tire son épingle du jeu malgré sa proximité directe avec Paris, ou d’autres villes ayant une activité commerçante traditionnellement plus forte.

    Nous travaillons en étroite collaboration avec les acteurs économiques locaux pour proposer aux Vanvéens une offre commerciale nouvelle. Assemblées générales des commerçants, cafés commerçants, Conseil Consultatif du Commerce Local… Les rendez-vous avec le monde économique se sont multipliés, permettant un dialogue continu et des résultats positifs.

    Ainsi,le recensement en 2016 de 276 entreprises artisanales dont près de 180 commerçants sur le territoire de notre commune, mais aussi 15 créations et reprises de commerces et d’entreprises et de nombreuses nouvelles ouvertures depuis 2015, en sont la preuve tangible.

    Les exemples ne manquent pas : la création d’une salle de sports, « l’Orange Bleue », les rénovations de l’Intermarché et du Franprix, ou encore la reprise du restaurant « Les Platanes ».

    DES NOUVEAUTES

    « En 2016 Vanves a également vu s’installer au square du métro le food-truck « En bullant », la boulangerie « Audrey » près de la gare, « Maxi Viande »rue Auguste Comte qui propose désormais des produits issus de coopératives agricoles.« Macarons de Folie » s’est agrandigrâce à son développement dans d’autres communes de France et à l’étranger. Vanves exporte ses talents : c’est une fierté !

    L’ouverture d’un point presse sur le quartier du Plateau est également à l’étude.

    Le Marché se modernise lui aussi, avec la création programmée d’une place de restauration qui offrira un lieu de partage et d’échange entre commerçants et consommateurs. Aujourd’hui, 45 commerçants s’investissent dans le Marché couvert du centre St Rémy.

    L’action municipale ne se limite d’ailleurs pas au secteur économique et commercial strict. La modernisation des espaces publics et la création de logements sont nécessairement bénéfiques à nos commerçants et à nos artisans.

    Ainsi, je crois que nous avons beaucoup de raisons d’être optimistes et positifs. Tout n’est pas parfait, nous en avons conscience, mais nous sommes déterminés, engagés et décidés à assurer à tous les Vanvéens un cadre de vie d’une grande qualité et à faire les efforts nécessaires pour avancer et combattre la critique facile de ceux qui observent mais ne s’engagent pas.

    Je considère qu’aimer sa ville c’est aussi être constructif et force de proposition, c’est mettre en lumière toutes les réussites, des plus petites aux plus visibles. Pour 2017, je formule le vœu que chaque Vanvéen, à son niveau, contribue activement à valoriser l’image de notre belle et agréable ville, dans l’intérêt de tous »

  • LE COMITE STRATEGIQUE DE LA SGP PRESIDE PAR LE MAIRE DE VANVES VEILLE AU GRAIN

    Le jour même de cette réunion de quartier, Bernard Gauducheau avait présidé le Comité Stratégique de la SGP (Société du grand Paris) qui a formulé des recommandations concrètes pour améliorer le quotidien des riverains pendant les chantiers, mais aussi dans la perspective de l’aménagement des quartiers de gare. « Cette année, les thématiques de l’aménagement des quartiers de gare et des chantiers du Grand Paris Express ont placé les riverains et la relation de proximité au coeur des échanges » expliquait-il. « En tant qu’élus, nous sommes conscients que la réussite du Grand Paris Express passera par notre capacité à renforcer l’acceptabilité sociale du projet. C’est pourquoi nous anticipons les difficultés à traiter et bousculons les certitudes pour formuler des propositions concrètes et opérationnelles dès à présent ».

    Le groupe de travail « Chantiers du Grand Paris Express » a mis l’accent sur l’importance de l’acceptabilité des chantiers par les riverains en conduisant un travail de recensement des contraintes et des nuisances liées aux chantiers pour les riverains.  Il préconise tout d’abord d’encourager la création d’un observatoire pour répondre aux situations particulières. Il viserait à identifier les établissements recevant du public et les populations les plus fragiles à proximité du chantier, pour concevoir des mesures d’accompagnement adéquates. Ensuite, de mettre en place une commission d’indemnisation pour les cas où les riverains seraient affectés de manière totalement anormale par le chantier. Enfin de déployer une communication en temps réel et adaptée aux phases du chantier.

    « En 2017, les opérations de génie civil vont se déployer dans de nombreuses communes », rappelle Philippe Yvin, président du directoire de la SGP. « Le travail de réflexion remarquable mené par le comité stratégique sur l’acceptabilité des chantiers est une étape essentielle pour que le Grand Paris Express soit réalisé en co-construction avec les riverains et ses futurs usagers ». A cette occasion, la SGP  a conclu avec le département des HJauts de Seine, une convention visant à anticiper les conséquences dses travaux sur le trafic routier, et avec la SEMAEST (SEM d’animation économique au service des territoires) pour dynamiser les commerces de proximité aux abords des gares du GPE pendant les chantiiers

  • EXPLICATIONS ENTRE DROITE ET GAUCHE MAIS AU SEIN DE LA GAUCHE AUSSI AU CONSEIL MUNICIPAL

    Durant ce conseil municipal du 9 Novembre, court,  les fins observateurs de la vie politique vanvéenne, ont pu apprécier les manoeuvres politiques entre la droite et la gauche. Comme le groupe socialiste avait déposé une question orale sur l’analyse des besoins sociaux  réalisée par des étudiantes sur la précarité et la pauvreté  pour en  connaître les résultats, le maire a ajouté à l’ordre du jour, en procédure d’urgence, une présentation de cette étude par la directrice des services sociaux de la ville sur lequel reviendra le blog. La réponse à la seconde question orale sur le Skate Park se trouvait dans le numéro  de Novembre de V.I. paru récemment, dans la mesure où le groupe PS n’avait pas pu la poser lors du précédent conseil municipal, et que le conseiller municipal FG/PC avait refusé de le faire sir son contingent de questions orales ( 2 par groupes).

    D’ailleurs Valérie Mathey (PS) lui a rendu sa monnaie de sa pièce en lui  demandant pourquoi, à propos de la participation de la commune aux dépenses de fonctionnement d’enfants vanvéens scolarisés en écoles privées ou en hôpital de jour,  contre lequel vote l’ensemble de la gauche, il avait fait un vote différencié (Pour) pour l’école de la Source (à Meudon)  et contre les autres établissements. Boris Amoroz été bien en peine de lui répondre avant de faire comprendre que l’une était laic alors que les autres étaient religieux ( ?). Ainsi entre droite et gauche mais au sein de la gauche, on ne se fait pas de cadeau au conseil municipal

    L’attribution d’autorisation d’ouvrir les commerces 12 dimanches dans l’année (2017) en a été  un nouvel exemple : « C’est surtout  les grandes enseignes qui en profitent, que les petits commerces de proximité. J’appelle les vanvéens à ne pas aller dans les commerces le dimanche … «   a déclaré Boris Amoroz (FG/PC) – « …et d’aller à la messe » a répliqué Bernard Gauducheau. « C’est très bien  d’aller au maximum de ce que la loi prévoit. C’est un plus pour les commerçants » a ajouté Jean Cyril Le Goff (PS) pour enfoncer le clou alors qu’il en est beaucoup question à Paris avec les ZTI (Zones  Touristiques Internationales). D’ailleurs Boris  Amoroz (FG/PC) s’est illustré sur deux autres points : les rapports annuels du SGIEF et du SIPPEREC  en constatant que ces syndicats intercommunaux prennent des positions très suivistes sur les distributeurs  Gaspard et Linky en défendant les industriels contre les collectivités et leurs ressortissants.

    Et la demande de subvention pour sécuriser les écoles dans le cadre du Fonds Interministériel de Prévention de la Délinquance, sur laquelle il s’est abstenu, se méfiant de cette tendance actuelle à bunkériser les écoles. « Dans le contexte actuel qui est inquiétant, lorsqu’on a la responsabilité de 2200 enfants de la créche à l’école primaire, on peut se poser la question sur « comment mieux les protéger et de prendre les moyens pour le faire en demandant des aides financiéres » a répondu Bernard Gauducheau « On sanctuarise les écoles. On n’est pas encore à installer des miradors. Et on a du chemin à faire pour bien les sécuriser et empêcher les intrusions » - « Et il faut éviter les pépins ! plutôt qu’attendre. On est loin de bunkériser les écoles » ajoutait Anne Laure Mondon. « Les parents  sont demandeurs. Et le Fonds a été créé pour aider à la réalisation de ces travaux ».