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assemblée nationale - Page 2

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    MISE EN GARDE : Dans la matinée de lundi, Gabriel Attal a publié un long message sur X dans lequel il mettait notamment en garde les oppositions sur les conséquences d'une censure, estimant que le pays a besoin de stabilité - «Il n’est pas trop tard pour se ressaisir, et être à la hauteur du moment » - critiqué par l’opposition. «Rarement, sans doute, notre pays n’aura eu autant besoin de stabilité. Stabilité politique, stabilité institutionnelle, stabilité économique» commençait l’élu de Vanves. «Nous appelons solennellement les oppositions à ne pas céder à la tentation du pire, à renoncer à leur funeste projet, et donc à ne pas voter la censure du gouvernement» martelait-il. Le président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale estimait que «les extrêmes préfèrent regarder ailleurs alors que les oppositions aurait dû être de donner un budget à la France et ainsi ne pas menacer la stabilité d’un gouvernement qui est aujourd’hui la seule voie pour répondre aux urgences de notre pays. Ils préfèrent se faire la courte échelle dans une vaste pièce de théâtre dont les Français ne sont que le décor» dénonçait-il encore en pensant « à nos chefs d’entreprise, qui redoutent plus que tout l’instabilité et la crise économique qui pourrait succéder à la crise politique, à tous ces Français modestes, qui sont toujours les premières victimes des crises lorsqu’elles frappent». Et de terminer en prévenant : «l’instabilité est un poison lent, qui s’attaquera progressivement à notre attractivité économique, à notre crédibilité financière, à la confiance, déjà entamée, que les Français ont dans leurs institutions».

    ROSIER ROUGE : Comme chaque année, le Rosier Rouge a accueilli tous les malades polynésiens présents dans l'Hexagone, pour un repas festif fin Novembre. En musique, ils ont pu déguster un poisson cru, du taro et même des firi-firi. « C'est devenu une tradition, chaque année les malades évasanés de Polynésie française se retrouvent pour partager un repas convivial et chaleureux au Rosier rouge, la plus grande maison d'accueil hospitalière de France, située à Vanves, juste à côté de Paris. De quoi réchauffer le coeur de ces malades qui ont pu retrouver un peu de leur Polynésie » indiquait la 1ére Chaine Polynésienne en précisant que Tepuaraurii Teriitahi, élue à l'assemblée de Polynésie française et Lana Tetuanui, sénatrice étaient présentes pour l'occasion.

    DEREGLEMENT CLIMATIQUE : Pour les vanvéens attentifs, il y a des signes qui ne trompent pas notamment sur les répercussions du dérèglement climatiques dans la commune. Jamais, de mémoire d’adhérents de la section tennis du Stade de Vanves, ils peuvent jouer aussi tard dans l’année sur les terrains de terre battu. Généralement ces cours-là sont fermés à la Toussaint. Durant cette première semaine d’Avant, ils continuent d’y jouer malgré l’épisode neigeux voilà presque quinze jours. Une satisfaction pour cette section Tennis qui a tenu son assemblée générale samedi dernier. Ses responsables ont fait part aux représentant de la mairie présent, de leur mécontentement sur les nouveaux horaires du PMS André Roche qui ferme à 20H le soir et maintenant tous les jours fériés, à un moment où justement ceux qui travaillent, peuvent jouer à leur sport favori, surtout le soir, en été, où il fait jour jusqu’à 22H

  • LA RENTREE POLITIQUE DU DEPUTE DE VANVES DANS LES HAUTS DE SEINE ET LE MAGAZINE LE POINT

    Après huit mois à Matignon, le plus jeune premier ministre a passé le relais au plus vieux Premier ministre de la véme République le 5 Septembre dernier. Depuis, il multiplie les déplacements dans les fédérations Renaissance de province, il a présidé les journées parlementaires d’Ensemble pour la République dont il a pris la tête, s’est déplace en Ukraine et doit samedi présider la rentrée de Renaissance Hauts de Seine à Meudon (au gymnase Leduc) avec l’ensemble des élus et des militants du département. Après avoir déjà brigué la tête des députés Ensemble pour la République (EPR) à l'Assemblée Nationale, il pourrait viser le secrétariat général du mouvement. Et dans les Hauts de Seine, à moins de deux ans des municipales, il se pourrait bien qu’il se présente sur la liste conduite par André Santini, pour un jour lui succéder à la tête d’Issy les Moulineaux, principale ville de sa circonscription des Hauts de Seine, après avoir compris qu’il avait tout à perdre à essayer de conquérir la mairie de Paris et à mettre son nez dans ce panier à crabe parisien. En attendant, il se confie dans une longue interview dans le Point de cette semaine qui titre : « J’ai une histoire à écrire avec les Français »

    Voilà comment se dessine son « après-Matignon », après un passage finalement express : « Huit mois, c'est court », a-t-il reconnu dans son discours de passation . « À vivre, personnellement, sa situation a été très violente », observait un député macroniste auprès de BFMTV.com. « Mais une nomination en politique, c'est comme une nomination à un poste de sélectionneur de foot: à la minute où vous êtes choisi, vous savez que vous pouvez tomber ». L'ex-Premier ministre peut  compter sur une forte popularité au sein des macronistes, des membres du parti et des militants. « On ne peut pas dire qu'il ne mouille pas la chemise. Ça a été un vrai chef de la majorité, avenant, bienveillant et disponible. Ce sera un futur très bon chef de groupe et ailleurs certainement » assurait auprès de BFMTV,  Nadia Hai ex-ministre de la ville en ajoutant : « Son style énerve peut être, mais c'est surtout parce qu'il réussit…. Avec lui, on a envie de gagner en tout cas, il a effet d'entrainement. Et puis quoi... Il faut bien quelqu'un devant ». Beaucoup n’hésitent à dire comme elle « qu’on a besoin de son énergie ! ». Et surtout dans les Hauts de Seine où il est en train de se constituer un fief.

    En attendant, il s’est installé à l’assemblée Nationale où il a fait rapatrier le bureau de son père. Il prévient dans son entretien au Point : « A l’Assemblée, nous sommes le premier groupe de gouvernement. Rien ne pourra se faire sans nous. Et si nous parvenons à des compromis, alors ce sera « le Parlement décide, le gouvernement exécute ». C’est donc le moment où jamais d’agir vraiment depuis le Parlement. Sur tous les sujets que j’ai évoqué – lutte contre la délinquance, désmicardisation, services publics – nous comptons agir, imposer des mesures à l’agenda ». Et de prévenir qu’il se battra « pour qu’il n’y ait pas de rupture sur une politique favorable à l’économique, à l’emploi, et donc pour protéger les français des hausses d’impôts. Je me battrai pour qu’il n’y ait pas de rupture dans l’investissement pour l‘école – Nous refuserons toute baisse du budget de l’éducation nationale - la santé, pour la transition écologique ». Il annonce enfin qu’il prendra d’autres initiatives en dehors de la politique : «J’ai décidé de créer une fondation consacrée à la lutte contre le harcèlement que je lancerai cet automne »… qui enverra des intervenants dans les écoles, en formant les personnels, en finançant l’accompagnement juridique des familles. «Je continuerai à mener ce combat que je porte au plus profond de mes tripes »… Et peut être il prendra sa plume.  

    Et Macron ? : « La relation est nécessairement différente maintenant que je ne suis plus Premier Ministe. Elle est faite de reconnaissance – mutuelle je crois et de franchise ». Le Président lui a envoyé un album souvenir de son passage à Matignon, paraphé d’un message affectueux.

  • ATTAL LE PREMIER MINISTRE DE VANVES A FAIT DU ATTAL A L’ASSEMBLEE NATIONALE

    L’événement de ce début de semaine, des vanvéens l’ont vécu en regardant le premier discours de politique général de Gabriel Attal devant l’Assemblée Nationale, sur des chaînes d’infos et l’ont subi en étant bloqué par les agriculteurs notamment sur l’A 13 mardi lorsqu’ils n’ont pas réussi à trouver des chemins « malins » pour y échapper, depuis qu’ils ont décidé de bloquer Paris et surtout Rungis que certains ont atteint. Certains ont même fait des provisions parait il, comme à la veille du confinement voilà 4 ans. En tous les cas, il y aura cochon de lait à midi aujourd’hui au restaurant chez Manu, car ils ont bien été livré mardi par un « fort » des halles.

    «Cette crise est venu s’insérer comme un coup de canif entre sa nomination à Matignon et sa déclaration de politique générale » soulignait un politologue. Et il s’est bien sorti dans les deux cas, même si c’est l’une des rares fois où un chef de gouvernement l’a fait dans un Paris protégé par les forces de l’ordre, déployées par le ministère de l’intérieur. Il a fait preuve d’une telle aisance qu’elle a déconcerté l’un de ses prédécesseurs, Jean Pierre Raffarin, l’ex-Premier Ministre de Jacques Chirac qui s’étonnait de voir le locataire de Matignon aborder cette épreuve cruciale du discours de politique générale comme une promenade de santé. Il ne s’est pas laissé démonté par le chahut des députés de gauche un peu trop impétueux dans l’hémicycle avec cette petite phrase : «Vous êtes les représentants de millions de Français même si je ne suis pas convaincu que les Français attendent que vous couvriez la voix de votre interlocuteur !». Et il n'a oublié d'adresser un mot aux élus de proximité,  en rappelant en faire partie depuis une décennie, en tant que conseiller municipal de Vanves

    Claire Guichard, sa députée suppléante a salué son discours par ce tweet : « Nous avons une fierté française à maintenir, une fierté européenne à consolider » Bravo à Gabriel Attal pour son Discours devant l’Assemblée nationale Travail, sécurité, santé, éducation, agriculture, environnement, logement, autant de sujets au cœur de son action ». En tous les cas, tant devant l’Assemblée Nationale, que devant le Sénat hier, il a fait du Attal et porté cet optimisme de la volonté pour obtenir des résultats comme s’y attendait Macron. Un de ceux qui l’a vu débuter n’en est pas étonné : « Pour bien connaître Gabriel Attal depuis ses premiers pas de député, je sais son talent. C’est moi qui l’ai nommé à son premier poste de responsabilité, porte parole du parti (en Marche, devenu Renaissance) dont j’avais la charge. Gabriel c’est une bête de travail. Il a un talent fou. Il veut le mettre au service de la majorité présidentielle, et c’est tant mieux » témoignait Christophe Castaner dans La Tribune Dimanche  qui était venu à Vanves lors de la Rentrée Scolaire 2017 pour visiter l’école Marceau (sur la photo) lorsqu’il était ministre de l’intérieur