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  • INAUGURATION DE L’ IMMEUBLE DE MATA CAPITAL SUR LE PLATEAU DE VANVES

    Le maire Bernard Gauducheau, les dirigeants de Mata Capital et des élus de Vanves étaient présent pour couper le ruban tricolore, mercredi sur le coup de midi pour inaugurer la restructuration de es 29 000 m2 de bureaux situé entre les rues Louis Vicat et Auguste Comte. «Un grand moment pour notre ville avec l’inauguration du 360 Paris-Vanves, qui incarne parfaitement l’ambition de la ville de Vanves, en matière de rénovation urbaine pour le quartier du Plateau. Ce projet phare, qui s’inscrit dans la requalification de la rue Auguste Comte et du quartier du Plateau, représente une réhabilitation durable, avec une architecture qui répond aux enjeux de performance énergétique et de développement durable» a déclaré le maire

    Construit au début des années 1980, l'immeuble accueillait le siège social d'Orange - depuis déplacé à Issy-les-Moulineaux - et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Mais l'immeuble se faisait vieux, il n'avait pas fait l'objet de travaux de rénovation depuis sa construction. Mata Capital, société de gestion spécialisée dans les investissements immobiliers, avait repéré cet actif en 2019. Construit au début des années 1980, l'immeuble accueillait le siège social d'Orange - depuis déplacé à Issy-les-Moulineaux - et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Mais l'immeuble se faisait vieux, il n'avait pas fait l'objet de travaux de rénovation depuis sa construction. «Malgré tout nous avons tout de suite senti un gros potentiel» expliquait on à Mata Capital. En particulier pour sa localisation."La bordure de périphérique offre une belle visibilité, avec des loyers plus abordables que le centre de Paris, tout en étant proche.  Un quartier est bien desservi par les transports en commun et il le sera encore plus à horizon 2025 : l'immeuble sera alors à deux stations de la ligne 15 du Grand Paris Express, qui permettra de rejoindre la Défense en 20 minutes".

    Un important chantier de réhabilitation a donc a été lancé au cours duquel Mata Capital a repensé les façades pour les doter de baies vitrées toute hauteur, ajouté des balcons et coursives pour amener de la verdure, sans compter le toit terrasse, et créé plusieurs espaces de restauration, ainsi que des commerces, une salle de sport et un atelier de réparation de vélos, le tout avec une circulation repensée et des connexions sur le quartier.  Valeur de présentation pour les futurs locataires : 480 euros HT/m²/an.

    Cette opération redonne une seconde vie à ces bureaux en conservant leur fonction originelle tout en leur ajoutant de nouveaux usages. Mais voilà, ses bureaux arrivent sur un marché  en pleine remise en question. D’où la difficulté que ses investisseurs ont à commercialiser ces plateaux. En tous les cas, les vanvéens auront l’occasion de le découvrir lorsque seront inaugurés la requalification de la rue Auguste Comte

  • LE 16e FESTIVAL ECOLOGIQUE DE VANVES SUR L’ENGAGEMENT ECLOGISTE

    Le 16e festival du film écologique de Vanves  qui est organisé ce week-end  à Panopée, propose d’explorer les différentes échelles de l’engagement écologique pour inciter le spectateur à devenir acteur.

    Le premier documentaire projeté ce soir, « Les 150 » de Roger Luchaire, dresse le portrait d’anciens participants à la Convention Citoyenne pour le Climat qui, après leur prise de conscience écologique puis la déception suscitée par ce nouveau dispositif, se sont engagés individuellement, chacun à leur manière. À travers cette expérience particulière, il interroge la façon dont chacun d’entre nous peut agir en tant qu’individu, au-delà des «petits gestes». Ce film sera suivi d’un débat avec  Mathieu Sanchez, ancien membre de la Convention, et Morgan Meyer, sociologue, qui a étudié le parcours des « bifurqueurs », ces jeunes diplômés de grandes écoles qui décident de renoncer à la carrière promise pour se mettre en accord avec leurs convictions.

    Samedi (à 15H) sera consacrée à l’action collective et à l’activisme, à travers deux films qui montrent comment et pourquoi on change d’échelle : «Des cailloux dans la chaussure» de Mickaël Damperon, raconte la naissance et la victoire politique d’un collectif citoyen qui refuse l’implantation d’une carrière dans un village. « Alliances terrestres» est un document d'Isabelle Haëlvët sur trois ans de lutte contre le projet d’autoroute A69, avec des actions spectaculaires parfois aux limites de la légalité. La projection sera suivi d’un débat avec   Geneviève Azam, économiste et écologiste altermondialiste qui expliquera que «  ce combat tire sa légitimité de la défense du bien commun et porte, bien au-delà de la construction d’une autoroute, sur des choix de société qui engagent notre avenir, et Marie Juliette, activiste de « Dernière rénovation » et « Riposte alimentaire » qui  expliquera quant à elle ce qui l’a amenée à sortir du cadre légal.

    La question de la loi sera au cœur de la troisième journée, dimanche à 17H,  avec « Le Compromis » de Fanny Tondre qui fait vivre le combat acharné de trois eurodéputées pour faire adopter en 2024 la directive sur la responsabilité sociale et environnementale, ou « devoir de vigilance», des entreprises. «Inscrire l’action dans un débat politique au sein d’assemblées représentatives, changer les lois et les faire appliquer, est-il le moyen le plus efficace de faire avancer la cause écologique? » sont des questions auxquels tenteront de répondre Jérémie Suissa, délégué général de « Notre affaire à tous », association qui utilise le droit comme levier de lutte, et Aurélie Boulbin, avocate des « Amis de la terre » pour une action contre le projet de Total en Ouganda, en parlant des atouts et des limites de l’action juridique

  • UN POINT SUR LES CHANTIERS DE VANVES LORS DE LA RENCONTRE DU QUARTIER CENTRE ANCIEN- SAINT REMY

    Comme le remarquait un bloggeur de Vanves, la rencontre publique du quartier Centre Ancien-Saint marquait, lundi dernier, la fin d’un cycle,  « toujours agréable, des réunions publiques de ce printemps » tout en notant que «S i je ne partage pas toutes les orientations exposées, j'apprécie ce temps d'échange et remercie celles et ceux qui l'organisent et l'animent » avec au palmarés Julie Messier, parce que conviviale,  Kevin Coster, pédagogue, et Erwan Martin plus froid qui doit, c'est vrai,  faire face, quelquefois, à des échanges assez chaud

    En dehors de l’échange sur les arbres dans la ville, cette rencontre a permis  de faire le point sur plusieurs chantiers :

    -L’école du Parc qui « avance bien, pour être prêt à la Rentrée de Septembre, aprés3 ans et demi de chantiers » a assuré Xavière Martin, adjointe au maire chargée des écoles. Elle aura 9 classes en maternelle, 7 en élémentaire avec une seule directrice commune aux deux écoles, un réfectoire unique pour la cantine, un accueil de loisirs avec une salle polyvalente…Cette opération d’extension-requalification de 21 M€ permettra d’accueillir les enfants des 700 nouvelles familles attendues dans le quartier du clos Montholon

    - Le parc F.Pic avec surtout le chantier de restauration des Glacières dont Pascal Vertanessian, adjoint au Maire à l’Urbanisme n’a pas manqué tout d’abord de rappeler qu’il est le résultat d’un long processus menée avec l’Etat qui a son mot à dire pour toute intervention dans le parc qui est un site protégé, avec le soutien de la fondation pour le Patrimoine, de GPSO,  du département, de la MGP, de la Région, et de deux promoteurs/aménageurs dont OGIC. Et surtout qu’un tel chantier, en cours, peut réserver des surprises au fur et à mesures de son avancement et des imprévus, puisque sur les réseaux sociaux, des vanvéens ont fait état d’une augmentation du budget de ce chantier. Occasion de préciser que la ville en a profité pour passer des câbles électriques nécessaires à l’éclairage des Glacières que pour créer des points électriques par le parc

    - La rue Raymond Marcheron : la principale annonce faite par GPSO a été la fermeture complète de la rue durant le mois de Mai pour permettre de réaliser le chantier de revêtement de la chaussée. Il sera réalisé en trois tronçons et permettra ainsi de gagner 3 semaines sur la durée programmée du chantier et de limiter ainsi les nuisances