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  • L’HOTEL MERCURE DE VANVES PROPOSE DE PILOTER UN AS 320

    Un simulateur de vol A 320 ,grâce à la société AVIASIM,  est installé dans un petit salon de l’entresol de l’hôtel mercure depuis Novembre dernier : « Je n’avais pas la possibilité d’avoir un roostoff ou une piscine avec spa. J’ai répondu favorablement la proposition de cette société d’installer son simulateur pour 2 ans.  De surcroît, Aviasim cherchait un lieu autour du parc des exposition» explique Philippe Marchand, directeur de cet hôtel qui  cherchait à créer une animation en mettant un salon à sa disposition. Ainsi Aviasim fait ses formations, et permet aussi de créer une animation  pour une soirée ou un séminaire afin de permettre à des invités de piloter un A320

    Ainsi, pendant une séance d'au moins 45 minutes, ils peuvent apprendre à contrôler un avion aux côtés d'un vrai pilote, diplômé, et aux manettes d'un poste de pilotage fidèlement reconstitué, selon un plan de vol qui comprend plus de 15000 destinations.  «Cette expérience ludique et captivante  permet au moins de se familiariser avec cet appareil si complexe et fascinant qu'est l'avion ». La simulation de vol est très réussie : les bruits de l'appareil s'ajoutent au décor numérique qui évolue en face de vous, comme si vous y étiez ! En effet, face au tableau de bord, le novice se trouve une vue panoramique de l'aéroport et de la ville de son choix. France, Grèce, Angleterre, Etats-Unis, Inde, Japon, Australie, Brésil, Afrique du Sud...

    AviaSim est connue aussi pour proposer des stages spéciaux afin d'aider à vaincre la peur de l'avion. « Cette formation de plusieurs heures  permet d'identifier clairement les craintes avec le pilote. Ensuite, il accompagne et fait découvrir le fonctionnement de l'avion, pour permettre de mieux maîtriser son environnement. En prenant le contrôle des manettes, Aviasim entend vous faire dompter cette bête inconnue qui vous angoisse tant » explique l’un de ses animateurs

  • ECHANGES AU CAFE THEO DE VANVES SUR L’UKRAINE

    Le café théo pour ceux qui croient et ceux qui ne croient pas, se veut un lieu de convivialité et d’échange autant que de questionnement et de recherche de sens, enrichie par la diversité des horizons. Chacun est bienvenu un samedi matin tous les six semaines à 10H à la Girafe pour une heure et demie  Le thème est introduit par une personne.  Un débat suit, où chacun s’exprime dans une discussion toujours amicale et respectueuse de l'opinion et des aspirations spirituelles de l'autre. Ceux qui préfèrent seulement écouter sans intervenir ont aussi leur place. Ce samedi  c’est « repentance ou comment réparer ses erreurs du passé »,  Le 14 Mai « quelles traces après nous ? », le 25 juin : » bilan et projets »

    Ne croyez pas ses participants sont hors sol, l’actualité revenant comme un boomerang, comme ce fut le cas avec les attentats en 2013/2015, les réfugiés plus tard, et maintenant la guerre en ukraine quelques jours après le déclenchement de l’invasion russe. Occasion de traduire le ressenti de quelques vanvéens alors que le théme était «le politique sert il le religieux ou le contraire ? » lors du dernier café Théo . «L’actualité oblige à parler de l’Ukraine et de l’utilisation des religieux. Le patriache Cyril a légitimé la guerre comme une guerre de civilisation contre l’Occident. Un raccourci incroyable. Et il a défendu Poutine. On a là, un cas de figure que l’on croyait disparu, le religieux se mettant au service du politique. On a là un anti modèle du rapport religieux-politique » expliquait l’un  des participants en soulignant que cette prise de position a soulevé des protestations, notamment de religieux ukrainins de l’obédience de patriache de Moscou. « les néo-conservateurs du monde entier s’appuient sur les religieux. Regadez ce qui se passe aux USA ! » - « Et en Israël !». – « En tous les cas, cette église orthodoxe qui soutient cette guerre m’a choquée. S’il n’y avait pas eu ce soutien, cela aurait pu changer les choses ! »

    Inévitablement, l’un des participants a relevé que « les réactions du pape François sont assez singulières. Il a condamné la guerre sans nommer les agresseurs ! ». Un autre a constaté « qu’il est timide dans ses réactions. Il aurait dû être plus violent !. Tout cela n’est pas très glorieux ». Tandis qu’un troisiéme  plus sévère encore déclarait : « cela me rappelle Pie XI qui n’a pas condamné la Shoah ! cela l’aurait grandit » - «Le pape est dans une position difficile. Il ne veut pax rompre le dialogue avec la patriarche de Russie ! » -  « Oui mais devant l’ignominie, on risque de se couper de l’opinion publique » - «Il faut continuer à dialoguer pour arriver à quelque chose. C’est ce que fait Macron ! ». Exemple d’échanges qu’a suscité ce conflit sur le continent européen entre chrétiens et vanvéens de toute obédience dont certains se mobilisent pour venir en aide aux réfugiés ukrainiens qui arrivent en France 

  • VANVES A LA VEILLE DU 1er TOUR : Aucun test ne pourra être exigé pour participer aux opérations de vote

    Le ministère de l'Intérieur a détaillé, dans ce qu’il appelle dans le jardon administratif « un addendum » à l'instruction aux maires du 25 mars 2022, que Bernard Gauducheau a reçu comme tous ces collègues,  les précautions sanitaires à mettre en oeuvre dans les bureaux de vote les 10 et 24 avril, pour l'élection présidentielle, comme il l’a fait lors des élections municipales de 2020, puis les régionales et départementales de 2021. Cette année néanmoins, le taux très élevé de vaccination de la population pourrait permettre d’envisager les choses de façon plus sereine… Sauf si la recrudescence actuelle de l’épidémie venait à durer. La plupart des mesures sont toutefois évoquées à titre de «recommandations», dans la mesure où, en métropole du moins, il n’y a quasiment plus aucune mesure sanitaire obligatoire.

    Gabriel Attal porte parole du gouvernement a ainsi appelé les français à la «responsabilité individuelle» sur le plan sanitaire lorsqu'ils iront voter pour l'élection présidentielle, puisque l'épidémie de COVID-19 continue de circuler dans le pays. «Voter est un droit constitutionnel donc rien ne saurait interdire à une personne d'aller voter» a-t-il souligné à la sortie de l’un des derniers conseils des ministres en rappelant « qu’il n'y aura pas de pass sanitaire, de pass vaccinal, ou de test exigé pour aller voter, à l'entrée des bureaux de vote». Il a indiqué que «le gouvernement fera également le nécessaire pour que les personnes participant à la tenue des bureaux de vote et au déroulement du scrutin (scrutateurs, assesseurs, etc) soient protégés, en fournissant des masques chirurgicaux, voire FFP2, et des autotests pour les bureaux de vote».

    Ainsi, selon le ministère de l’intérieur, le masque n’est pas obligatoire, mais il est toutefois «fortement recommandé», en particulier pour les personnes fragiles (personnes âgées, immunodéprimées, malades chroniques, personnes symptomatiques, etc.). L’État est en train de fournir des masques aux communes afin que ceux-ci soient mis à disposition des électeurs et des membres des bureaux de vote qui le souhaitent. Si le masque empêche la vérification visuelle de l’identité d’un électeur, les membres du bureau de vote peuvent demander à celui-ci de «le retirer brièvement». Si l’électeur refuse, «il ne sera pas autorisé à voter». Le pass sanitaire ou vaccinal n’est plus en vigueur en métropole, et il est de toute façon rigoureusement interdit, que ce soit en métropole ou outre-mer, « de demander un pass vaccinal ou sanitaire à l’entrée d’un bureau de vote, ni aux électeurs, ni aux membres du bureau, ni aux scrutateurs, ni aux fonctionnaires mobilisés le jour du scrutin».

    Les jauges ont également été supprimées. En conséquence, «le nombre d'électeurs susceptible d'être présents simultanément dans un bureau de vote n'est plus limité». Il est toutefois demandé «d’éviter les situations de trop grande promiscuité»,  en «régulant»  l’accès aux bureaux de vote.  Il est préconisé de séparer autant que possible les flux d’entrées et de sorties. Il est également possible d’utiliser «des parois de protection»  entre les membres du bureau de vote et les électeurs, sans obligation.

    Le ministère de l’Intérieur conseille, là encore sans l’imposer, d’installer un point de distribution de gel hydro-alcoolique en deux points distincts, à l’entrée et à la sortie du bureau. Le matériel de vote devra être nettoyé «fréquemment»  pendant la journée et les locaux devront l’être «avant et après chaque tour de scrutin», en particulier si le bureau de vote est installé dans une école, ce qui «implique un nettoyage strict le lendemain». Pour le dépouillement, le président du bureau de vote veillera à «réguler le nombre d’électeurs»  présents, en fonction de la capacité de la salle, pour éviter «les situations de trop grande promiscuité »