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  • L’EVENEMENT A VANVES LA SEMAINE PROCHAINE : La 12ème édition du festival Cinéma-Ecologie de Vanves (92) aura pour thème «Quelle économie pour un monde écologique ? » mais en visio

    « Quelle économie pour un monde écologique » est le thème de la 12ème édition du festival Cinéma-Ecologie de Vanves (Hauts de Seine) proposé par La Ruche de Vanves, alternatives écologiques et solidaires, qui se tiendra du 6 au 11 avril 2021 en visio sur https://www.imagotv.fr/ . Pas question d’investir le théâtre du lycée Michelet comme c’était le cas jusqu’en 2019

    «Avec ce titre « Quelle économie pour un monde écologique ? », notre 12ème festival pose d'abord la question de savoir si notre système économique actuel peut répondre aux grands défis environnementaux qui nous attendent. Si non, comment le réformer et par quoi le remplacer ? Faut-il faire pression sur les politiques et les entreprises pour rendre celles-ci écologiquement responsables ? Faut-il aller plus loin et envisager un système économique totalement différent ? Les quatre films suivis par des débats nous permettront de nous poser ces questions et d'échanger sur des modèles économiques plus compatibles avec un monde écologique » expliquent ses organisateurs qui rappellent que « La Ruche de Vanves qui  est née à Vanves en 2008,  propose un espace de rassemblement où chacun peut réfléchir, s’engager et agir en faveur de l’écologie et de la solidarité. Convaincus que le combat pour un monde meilleur commence à notre porte, ses membres privilégient l’action locale concrète. L’association est constituée de bénévoles et fonctionne avec une présidence collégiale. Nous nous sommes données de favoriser et organiser la diffusion des idées et informations relatives à l’écologie et à la solidarit, de promouvoir des pratiques respectueuses de l’humain et de la nature, et expérimenter une organisation non hiérarchisée. Depuis 2009, nous organisons actions et événements tels que le Festival Cinéma – Ecologie pour lequel  nous choisissons avec soin le thème et les films documentaires en fonction de l’actualité et de sujets qui nous posent question. Chaque projection est l’occasion d’échanger des idées avec le public avec l’aide des spécialistes que nous invitons pour alimenter le débat ».

    Au progamme

    Mardi 6 Avril à 20H30 : «Le capitalisme peut il faire face aux défis environnementaux ?» de Gilles LMitteau (2020) : «Après avoir défini les mots capitalisme et environnement, Gilles Mitteau montre, à l’aide de schémas, les interactions entre l’usine monde et l’environnement. Les ressources et les services qu’offre ce dernier sont limités par des frontières ou par des limites. Une limite est un mur infranchissable que le capitalisme peut cependant contourner : il peut, par exemple, remplacer par une autre une ressource fossile qui s’épuise. Une frontière est une ligne invisible à ne pas franchir, un seuil à ne pas dépasser : par exemple, les 2°C de réchauffement climatique au-delà desquels la situation deviendra intenable. Alors que ce réchauffement sera contraire à leurs intérêts, les capitalistes peuvent-ils, d’eux-mêmes, faire de la prévention et s’interdire de franchir cette frontière ? Non, sans doute, car ils sont dans le court terme et dans la concurrence. Ils trouvent divers moyens de déplacer leurs coûts et d’augmenter leurs profits dans l’immédiat. Et le capitalisme a fait de l’homme un homo œconomicus centré sur l’appât du gain et la maximisation de sa consommation. Le mythe de la croissance l’aide à oublier les frontières écologiques à ne pas franchir». Le film sera suivi d'un débat animé par Sandra Moatti, rédactrice en chef de l’Économie politique - Alternatives Économiques, avec Claire Tutenuit, déléguée générale d’Entreprises pour l’Environnement, et Antonin Pottier, économiste, maître de conférences à l’EHESS

    Mercredi Avril à 20H30 : «Nature, le nouvel eldorado de la finance » de Denis Delestrac et Sandrine Feydel (2015) : «La nature a de la valeur, on la perd parce qu’elle est gratuite. », « En investissant dans la nature, le retour sur investissement serait très fort. », tels sont les slogans lancés par quelques économistes et banquiers affirmant pouvoir résoudre la crise écologique. Une espèce animale en voie d’extinction, une forêt menacée auraient une valeur bancaire. Soucieux de redorer son image, le monde des multinationales a créé un marché des écosystèmes. Dominés par les lobbies et les marchés financiers, les états impuissants par manque de fonds publics se sont convertis à la privatisation du vivant. Mais que cache réellement cette supposée prise de conscience écologique sous couvert de bonnes intentions ? Et quelle confiance peut-on accorder à la finance mondiale responsable de la crise économique de 2008 ? Et maintenant que nous sommes en train de vivre une crise sanitaire d'origine environnementale que pensons-nous du rôle joué par les États face aux entreprises pharmaceutiques ?». Le film sera suivi d'un débat avec Christophe Bonneuil (Directeur de recherche au CNRS
    Vendredi 9 Avril à 20H30 : « Océans, la voix des invisibles» de Mathilde Jounot (2016) : «Selon certaines études une consommation trop importante de poissons épuiserait les réserves halieutiques des océans. C’est à partir de ce constat que Mathilde Jounot a démarré son enquête. Pourtant, au cours de ses recherches, la réalisatrice a mis au jour les intentions réelles de certains défenseurs de l’environnement. En exploitant ce thème de la surpêche, des ONG dépendantes de grands groupes financiers utilisent cet argument afin de s’approprier le milieu marin par le biais de réserves naturelles censées protéger la biodiversité. En décryptant le discours de ces organisations il s’agit bien d’investissement et de capital à valoriser dépossédant par là même les États et les populations de leur pouvoir décisionnaire sur leurs territoires maritimes. Au vu de l’état actuel des espèces marines, il s’avère que leur raréfaction supposée ne serait qu’un prétexte permettant la privatisation et l’exploitation des océans. Une mainmise qui de surcroît priverait toujours davantage les petits pêcheurs de l’exercice de leur métier et de leur mission, nourrir l’humanité». Le film sera suivi d'un débat avec la réalisatrice.

    Dimanche 11 Avril à 16H : «Tout s’accélére» de Gilles Vernet (2015) : «La modernité nous pousse à vouloir aller toujours plus vite pour acquérir reconnaissance sociale et biens matériels. Gilles Vernet, ancien trader, témoigne de ce temps qui lui filait entre les doigts jusqu’au jour où il apprit que sa mère était atteinte d’une maladie incurable. Ce fut un déclic devant l’emballement du monde toujours plus prégnant qui nous détourne de ce que nous avons de plus précieux. Il  a abandonné son travail de trader pour devenir enseignant et documentariste. Autre rythme, autre monde où l’apprentissage de l’enfant demande du temps et de la patience. Mais ici comme ailleurs, la compétitivité est devenue force de loi notamment au rythme accéléré des nouvelles technologies. À l’heure de la prédominance d’internet et des écrans, comment échapper à cette frénésie destructrice à plus d’un titre ? Il a recueilli les réflexions de ses élèves présentées à la lumière des explications de quelques experts venus de différents horizons. Tous nous alertent sur cette urgence et sur le besoin de retrouver des rythmes en adéquation avec la nature humaine. Dans quelle mesure la crise du COVID, avec en particulier l'école à distance et le télétravail, a-t-elle contribué à cette accélération ? » Le film sera suivi d'un débat  avec le réalisateur.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    MAIRE : LONGEVITE

    Voilà 20 ans, le 25 mars 2001, Bernard Gauducheau (UDF) était installé dans le fauteuil de maire après avoir remporté ses élections municipales avec 51,27% des suffrages contre 48,72% à Guy Janvier (PS) soit un écart de 301 voix le 18 Mars. «20 ans plus tard, les valeurs et la passion sont les mêmes : être au service encore et toujours des des Vanvéens. Merci à toutes celles et tous ceux qui m’ont accompagné et m’accompagnent dans ce beau mandat de maire» a tweeté le maire de Vanves ses derniers jours. Avec 20 ans de mandat, dans 7 mois, il devrait battre le record de Frédéric qui a été maire entre Décembre 1919 et Juillet 1940 soit 20 ans et 7 mois. Dans un contexte particulier inimaginable voilà 20 ans, avec cette pandémier dont il a éte victime, en ayant la chance de s’en sortir grâce au personnel soignabt de l('AP-HP,  et qui a remis en avant les collectivités locales et le rôle primordiale des maires à tout faire pour comater les bréches  

    HACHETTE : EVINCE

    Arnaud Nourry, pdg d’Hachette Livre, premier éditeur français et numéro trois mondial dont le siége est à Vanves, a été remercié par Arnaud Lagardére. Cet homme à la tête d’Hachette Livre depuis 2003 avait mené à bien son installation dans son nouveau siége dans notre ville dans les années 2000. Un patron discret et prudent qui est sorti ces derniers jours de sa réserve pour crier urbi et orbi à quel point il était fondamental de conserver l’intégrité d’Hachette livre. Il était en désaccord avec Vincent Bolloré premier actionnaire de Lagardére via Vivendi, et  surtout contre un rapprochement avec Enedis qui n’a aucun sens à ses yeux. Il craignait surtout des dangers d’une dislocation d’Hachette Livre composé de 150 éditeurs avec notamment Grasset, Fayard, le Livre de Poche, Stock ou Calmann Levy…générant 24 Milliards d’euros de chiffre d’affaire. Quand on voit ce qu’est devenu Canal+ depuis que Bolloré l’a acquis, beaucoup craignent le pire et surtout un démantelement de cet édifice dont le siège est installé à Vanves

    RESEAUX DE COMMUNICATION : ENFOUISSEMENT

    Il est prévu l’enfouissement des réseaux aériens d’électricités et de communications électroniques d’orange et de SFR rue Larmeroux, Georges Clemenceau et Villa de La Gare  qui est  pris en charge par le SIPPEREC dans le cadre d’un convention avec Enedis pour un montant de  100 138 pour Orange et de 22 609 € pour SFR  mais sans connaîte, pour l’instant, le montant supporté par la ville. Il est vrai qu’une partie est priss en charge par ce syndicat intercommunal pour les énergies et les réseaux de communication, à hauteur de 3 654 € pour Orange et de 825, 10 € pour SFR. Lors du Conseil Municipal du 27 Mars, Pierre Toulouse (EELV) s’est étonné que « l’on soit trop gentil avec des opérateurs qui demandent plus de 120 000 € alors qu’ils doivent faire ses travaux qui leur incombent !»

    VIDEOPROTECTION : PISCINE MUNICIPALE

    Deux caméras de vidéoprotection seront installées sur le parking de la piscine municipale pour surveiller dans les places de stationnement et les accès aux bâtiments. Du coup Séverine Edou (LREM) est revenu sur la création d’un centre de visionnage au niveau de GPSO. «Le sujet est en réflexion et n’a pas été encore résolu !» a répondui Kévin Cortés maire adjoint chargé de la sécurité. Thibault Lejeune (EELV) a demandé  « même sans poste centralisé, est-ce que c’est utile ? » - «Une trentaine de réquisitions ont lieu par an pour revoir des images. Sachant qu’il y a un aspect un que l’on ne peut pas mesurer :l’aspect disuassif. En tous les cas, à chaque fois qu’on améliore des bâtiments, on se préoccupe de sa sécurité et on veille à à le protéger via de telles caméras comme c’est le cas pour la piscine avec son nouveau parking et bientôt l’installation du CTM»