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hachette livre

  • LE SIEGE DE HACHETTE LIVRE NE QUITTERA PAS VANVES

    Hachette Livre ne déplacera pas son siège social des Hauts-de-Seine à Germainville, près de Dreux comme l’annoncé son maire dans l’Echo Républicain . La direction a souhaité rectifier ses erreurs qui ont créé des remous parmi le personnel. « Dans l’article, on annonce l’installation du siège de l’entreprise. C’est totalement faux. D’abord, le siège social du groupe Hachette est installé à Vanves, en Hauts-de-Seine, et il n’est pas question de le déménager nulle part. Cette fausse information a suscité quelques remous dans le personnel. Deuxièmement, le nombre de salariés travaillant à Maurepas dans les Yvelines oscille entre 500 et 600 personnes. Dans le cas du déménagement à Germainville, le nombre de personnes sur site sera de cet ordre-là, et non une centaine, comme dit par le maire de Dreux ».

    À la suite de cet article dans l’Echo Républicain, le groupe Hachette s’est fendu d’un nouveau communiqué officiel pour préciser sa vision sur ce dossier sensible et stratégique. Le groupe confirme qu’il recherche à déménager pour moderniser sa logistique et son service de distribution : « le Groupe Hachette Livre modernise en profondeur son outil de distribution et de logistique. Pour cela, il met en œuvre un projet ambitieux qui lui permettra de conforter sa place de leader du marché en France. La construction d’un nouvel outil de distribution et logistique parfaitement adapté aux enjeux des prochaines décennies permettra au Groupe d’innover au profit de l’ensemble de ses clients, éditeurs, libraires, auteurs, lecteurs. »

  • VANVES PAR LE PETT BOUT DELA LORGNETTE

    SALON DU LIVRE : UN MECENAT QUI INTERROGE

    Sur les réseaux sociaux, certains vanvéens ont évoqué la première fête du livre qui s’est déroulé Dimanche dernier en signalant que « la Ville se garde bien de préciser que cette manifestation est financée à hauteur de 7000 € par un promoteur immobilier qui a 3 programmes en cours sur Vanves» et que «seul un partenariat avec Hachette (2500 €) est évoqué ! » dans le Vanves Mag. Même  si le dernier  conseil municipal du 2 Février 2021 a votée trois délibérations sur ces dons : Tout d’abord 2500 € versés par la société Hachette Livre, votée à l’unanimité. Enuite 7000 € versés par  la sociéé CARE Promotion votée à la majorité (30 voix pour et 5 contre provenant des écologistes). Enfin un don de 3000 € de la société Sadaka votée à l’unanimité. C’est le montant des sommes versées par les promoteurs qui étonnent par rapport à Hachette. Ce n’est la première fois, puisque la société Bouygues Immobilier avait participé au financement de la réhabilitation de la chapelle de la Maison de Retraite Larmeroux. Mais il est vrai que vu le contexte actuel avec la multiplication des constructions immobilières à Vanves, certains vanvéens se posent des questions lorsque des promoteurs font du mécénat, car dans ce monde, rien n’est fait gratuitement  

    UN CENTRE DE TRANSIT DE REFUGIES UKRAINIENS  A PARIS EXPO

    Un  centre de transit de 5000 m2 a ouvert ses portes depuis jeudi dernier, dans le parc des expositions de la porte de Versailles. Les réfugiés ukrainiens débarqués dans la capitale peuvent désormais accomplir toutes leurs démarches sous un même toit, et s’y reposer une nuit s’ils ne sont qu’en transit. «C’est un hub de premier accueil» explique Julien Marion, le préfet délégué à l’immigration auprès du préfet de police de Paris. «On a essayé de tout rassembler sur le même site et de faire en sorte de leur offrir une prise en charge humanitaire, car beaucoup sont traumatisés, ont vu leur maison détruite et traversé l’Europe dans des conditions difficiles»  

    LE MAGAZINE ELLE AU COUVENT DES BENEDICTINES

    « Au couvent avec des soeurs bénédictines : « L’abstention n’existe pas ici ». Tel est le titre d’une reportage du magazine "Elle" paru le 4 Mars dernier dans le cadre d’une série de reportages où à l’approche de la présidentielle, ses jourrnalistes sont partis à la rencontre de femmes sur le théme« Elles font la France ». Cette semaine-là, immersion dans un couvent à la rencontre de sœurs bénédictines qui sont loin de vivre « en dehors du monde » et pour qui le vote est un véritable devoir. Voilà commence le reportage : « Dans le couloir sombre du cloître, le bruit des clefs dans la serrure du bureau de sœur Marie-Madeleine résonne dans la galerie silencieuse. Il n’est pas encore six heures du matin quand la religieuse ouvre son ordinateur. « Ce n’est pas joyeux l’actualité ce matin, avec l’intervention de Poutine cette nuit… », soupire celle que l’on appelle la mère prieure qui dirige la communauté. Nous sommes le 22 février, le président russe a déclaré reconnaître l’indépendance des zones séparatistes pro-russes en Ukraine, dans une annonce télévisée diffusée dans la nuit. Moins de 48h plus tard, il lançait une opération militaire en Ukraine, provoquant la fuite massive des habitants du pays. Jusque dans le prieuré de Vanves, dans le sud de Paris, l’actualité internationale émeut la vingtaine de sœurs bénédictines de Sainte-Bathilde. « C’est notre monde, notre humanité », appuie sœur Marie-Madeleine alors que la cloche sonne mâtines, la première prière de la journée à six heures et demie »….

  • UNE NOUVELLE SEMAINE DE CONFINEMENT A VANVES AVEC QUELQUES FREMISSEMENTS EN ILE DE FRANCE

    C’est le début des vacances de printemps à Vanves, mais rien n’a changé puisque notre ville avait déjà pris des airs de vacances,  les vanvéens ayant profité du week-end de Pâques pour, ceux qui le pouvaient, pour prendre le large et aller s’installer à la campagne durant ce confinement de 4 semaines. Quite à faire l’école buissonnière ou tenter de suivre les cours en distanciel avec les malheurs vécus par l’éducation national et le CNET (Centre National d’Enseignement à Distance)  que les vanvéens ont bien connu puisqu’il était installé dans notre ville à la limite d’Issy et de Vanves, Bd du Lycée sur une emprise du lycée Michelet, avant sa délocalisation. A moins de faire appel aux vieilles recettes : les cours particuliers données à leurs petits enfants par des enseignants à la retraite, comme ce fut le cas la semaine passée. Ainsi par exemple, un ex-directeur de l’école primaire Gambetta a fait travailler chaque matin l’un de ses petits fils en CE1 avec un de ses camarades à partir des devoirs transmis par leur maîtresse, un peu trop à ses yeux !  

    Pour la première fois depuis le mois de novembre, le taux d'incidence enregistré mercredi dernière dans la région était en légère baisse : à 664 cas pour 100.000 habitants, contre 689 le 31 mars. Mais pour les professionnels de santé, la vigilance reste de mise. Alors que la vaccination d’étend au moins de 55 ans à partir d’aujourd’hui, avec les vaccins AstraZeneca et Moderna, prés de 1730 Vanvéens ont reçu leur première injection dans le centre intercommunale de Vanves/Issy à la Halle Guillaume faisait savoir la mairie de Vanves qui organisait samedi matin, une nouvelle journée de dépistage à la Palestre, samedi dernier (sur la photo)

    En avril, le centre socioculturel municipal, organise une grande consultation auprès des habitants afin de préciser ses orientations et ses actions pour les cinq prochaines années, à partir de deux questionnaires, l’un à destination des 11-25 ans, l’autre pour tous les habitants, accessible via le site internet de la ville. Toutefois, afin de toucher un public le plus large possible, les équipes de l'ESCAL ont également décidé d'aller à la rencontre des habitants depuis ce week-end jusqu’au 16 Avril : Facilement repérable grâce à leur coupe-vents verts,  marqués du logo de la structure sur le dos et tablettes numériques en main, ils seront présents au marché, à la sortie des supermarchés et du métro. Dans un autre registre, la ville a reçu le feu vert de GPSO pour la révision partielle du PLU permettant la construction de la tour hôtelière face à l’hôtel Mercure, lors du conseil territorial qui s’est tenu cette semaine à la mairie de Boulogne

    Enfin, au siége d’Hachette Livre à Vanves (rue Jean Bleuzen) l’ensemble des salariès qui ont mal vécu l’éviction de leur pdg, Arnaud Noury, sous la pression de Vincent Bollorè, et beaucoup les comprennent, ont réagi. Dans une lettre ouverte d’une rare virulence, ils ont interpellé leur actionnaire par un « Ohé ! Arnaud Lagardère, où êtes-vous ? » et lui ont lancé : « Votre silence depuis un an nous donne l’impression d’une fin de parcours », avant de dénoncer son « absence de stratégie ». Les représentants des salariés au comité de groupe, tous syndicats confondus, défendent Arnaud Nourry, qui « paye ses prises de position récentes contre les perspectives d’un démantélement ». Perspective qui, malheureusement, prend corps : «plus rien ne semble s’opposer aux emplettes que Vincent Bolloré rêve de faire au sein d’Hachette pour garnir le panier de sa filiale Editis », affirment-ils. «Le groupe que vous dirigez va[-t-il] être sacrifié sur l’autel du rétablissement de votre situation financière personnelle ?  Quel pacte êtes-vous en train de conclure avec les prédateurs qui font des ronds au-dessus de nos têtes ?», questionnent encore les salariés inquiets sur le devenir de ce champion de l’édition.