Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • ELECTIONS MUNICIPALES 2020 A VANVES : LES VANVEENS ETAIENT INVITES AU DINER DE CON !

    Comme le blog n’a cessé de l’écrire, le maire sortant de Vanves a été reconduit, pour la simple raison que les équipes sortantes ont été indéniablement favorisées par la crise sanitaire qui les ont placées, de fait, en première ligne. Tout simplement parce que les électeurs l’ont reconu et ainsi remercié. Mais, il est vrai qu’au départ de cette campagne des municipales, personne ne s’attendait à cette crise sanitaire avec cet interval de quinze semaines entre le 1er tour, à la veille du confinement, et le second tour. Mais tous les ingrédients du diner de con étaient sur la table

    Du côté communiste, les jeunes stratéges et animateurs de la section vanvéenne se sont bel et bien plantés : Ils ont joué la carte d’une réélection du maire sortant dés le 1er tour comme en 2014 avec ses 61%, s’assurant ainsi au moins un siége au conseil municipal pour Boris Amoroz. Résultats : Pour la première fois depuis 1983, plus aucun communiste ne siégera au conseil municipal. L’une des grandes figures du PC Vanvéens, qui a été maire adjoint du maire socialiste entre 1995 et 2001 en est contrariée

    Chez les marcheurs, ce n’est pas mieux, car ils ont donné l’impression de regretter leur choix du début de campagne de ne pas soutenir le maire UDI sortant alors que LREM a apporté son soutien à André Santini, maire UDI d’Issy les Moulineaux Dailleurs ce dernier ne voulait pas entendre parler d’un accord ! Mais il l’a finalement accepté, sous la pression de certains de ses conseillers l’invitant à ne pas insulter l’avenir. Le Maire sortant de Vanves était prêt à une alliance et il s’est senti trahi lorsque les marcheurs ont refusé, ce qu’ils ont toujours regretté par la suite, d’où cette campagne bienveillante, allant même jusqu’à parler d’un maire bon gestionnaire, pour ne jurer de rien, mais le maire sortant les a envoyé paître pour le 2e tour après son score de 47%, lorsqu’ils ont envisagé de négocier avec lui comme ils l’ont fait avec les écologistes sans succés. De surcroît, ils se sont coupés de personnalités vanvéennes influentes, refusant même de les rencontrer ou trop tard, pour envisager de les intégrer sur leur liste, trop content d’accueillir des élus dissidents de la majorité sortante. Ce qui les a éloigné d’ex-socialistes et de vanvéens de sensiblité de gauche qui, au début, soutenaient LREM, comme ils l’avaient fait aux présidentielles et aux législatives, et qui n’ont pas voté pour la liste Vivre Vanves, considérant que leur discours était trop à droite. Il fallait les entendre à la fin de la réunion de présentation de la liste et de son programme le 1er Février à Marceau de Guy Janvier à Benédicte Goussault….

    Les écologistes qui espéraient surfer sur le bon résultat des européennes ont été déçu par leur résultat au 1er tour. Malheureusement, leur tête de liste donnait l’impression d’être trop confiant et surtout, par son attitude, d’être maire avant d’être élu et d’être le challenger du maire sortant au second tour. C’est dommage, car Vanves demain avait le meilleur programme des 4 listes, et a fait la meilleure campagne avec surtout cette réunion du 7 Mars à l’école Marceau, un peu hors norme, en ateliers thématriqies animés par des co-listiers spévialistes des questions abordées. 

    Quant à la majorité municipale (UDI/LR) avec sa tête de liste, très inquiéte au début, tout en étant arrogante pour certains de ses membres, elle a repris les mêmes recettes du passé, à tel point que le calendrier de sa campagne correspondait aux mêmes dates que 2014, avec la même permanence, mais elle n’a pas réussi à passer dés le 1er tour comme en 2014 à 47%, ce qui était rageant. Mais finalement le maire sortant aura bénéficié de l’effet Covid-19 en 2020 comme de la nullité de la campagne socialiste en 2014 et aura pendant 6 ans les mains libres pour continuer sa politique de densification – pourtant critiquée par certains de ses supporters qui ont voté pour lui -  malgré ses promesses de dernière semaine de campagne. La meilleure preuve qui dément ses promesses :  Les vanvéens ont appris, selon les rumeurs en ville, un projet d’immeuble allée de la ferme. Sûrement d’origine privée, mais le maire reconduit devra, au final, signer le permis de construire, donc donner son feu vert. !   

  • GPSO VIENT AU SECOURS DES COMMERCES DE VANVES

    Conçu en partenariat avec la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) des Hauts-de-Seine, « Seine Ouest Commerce» est un dispositif de soutien financier aux commerces indépendants situés sur le territoire des villes de Grand Paris Seine Ouest (GPSO)  et dont le local de vente a subi une fermeture continue entre le 1er et le 30 avril. Il s’ajoute aux exonérations de taxes délivrées par les  villes sur les droits de terrasses et de stores.

    Ce dispositif s’articule autour d’un soutien financier afin de permettre aux commerces concernés d’assurer les dépenses liées à leur local commercial et sa réouverture. Il est limité aux commerces indépendants employant moins de 10 salariés et implantés sur une commune de GPSO. Ce soutien sera fixé à hauteur des dépenses réelles engagées (ou reportées) par le commerce au titre du mois d’avril pour le paiement du loyer ou des remboursements d’emprunts liés à l’acquisition du commerce, ainsi que des charges locatives, avec un plafond maximum de 2.500 €. L’ensemble des commerces indépendants (dont hôtels, débits de boissons et restauration) dont le local commercial a fait l’objet d’une fermeture continue entre le 1er et le 30 avril dernier pourront prétendre à ce soutien, exception faite des agences immobilières, de location de véhicules, des agences d’assurance et bancaire et des agences de travail temporaires quel que soit le nombre de salariés. Le montant des loyers dont les commerces seront exonérés par l’Etat pour la période concernée ne seront pas pris en compte dans l’attribution de la subvention. Ce dispositif s’applique tant aux commerces ayant fait l’objet d’une fermeture du fait de l’Arrêté du 15 mars 2020 complétant l’arrêté du 14 mars 2020 portant diverses mesures relatives à la lutte contre la propagation du virus COVID-19, qu’aux commerces n’ayant pas pu ouvrir leur local en raison des conséquences sanitaires ou économiques de la pandémie (absence de salariés, rupture d’approvisionnement…).

  • LES 20 ANS DU CENTRE CULTUREL ALBERT GAZIER DE VANVES – 5 : LORSQUE GAZIER A FAILLIT DISPARAIRE

    Avec l’extension des activités de l’ESCAL,  le centre Albert Gazier lui-même  a failli disparaître à cause d’un projet d’extension d’Etap Hotel, alors que des tas d’associations l’utilisaient pour de multiples activités, et que de nombreux vanvéens le fréquentaient.

    L’idée avait germé de l’étendre dans les locaux du centre, à défaut de pouvoir surélever de deux étages le bâtiment d’Ibis Budget (ex-d’Etap Hôtel), suite à la levée de boucliers des riverains. Et donc de fermer Albert Gazier, ce qui avait suscité de vives protestations, la municipalité expliquant que c’était pour des raisons de sécuriré, parce qu’il était dangereux de traverser la rue Jean Bleuzen à cet endroit. «l’espace Gazier est excentré et que sa situation géographique peut être désavantageuse.   En effet, cet espace est situé sur une rue passante et son accès peut être dangereux particulièrement pour les enfants qui ne sont pas toujours accompagnés. Sa situation géographique risque d’être un frein pour ces jeunes qui ne pourront pas bénéficier de l’accompagnement proposé par cet espace ».

    Mais Gabriel Attal conseiller municipal  avait expliqué que «dans la période troublée que nous connaissons, où les Français ont plus que jamais besoin de repères, de lien social et où les jeunes attendent un accompagnement leur permettant de se projeter vers l'avenir, la fermeture de l'espace Gazier serait incompréhensible pour beaucoup. Il convient par ailleurs de rappeler que le quartier du Plateau connaît un sentiment de délaissement, récemment accru par le projet - depuis abandonné - d'implantation d'une station de Gaz GNV à la place des infrastructures destinées aux jeunes». Du coup la ville avait dû reculer