Avec l’extension des activités de l’ESCAL, le centre Albert Gazier lui-même a failli disparaître à cause d’un projet d’extension d’Etap Hotel, alors que des tas d’associations l’utilisaient pour de multiples activités, et que de nombreux vanvéens le fréquentaient.
L’idée avait germé de l’étendre dans les locaux du centre, à défaut de pouvoir surélever de deux étages le bâtiment d’Ibis Budget (ex-d’Etap Hôtel), suite à la levée de boucliers des riverains. Et donc de fermer Albert Gazier, ce qui avait suscité de vives protestations, la municipalité expliquant que c’était pour des raisons de sécuriré, parce qu’il était dangereux de traverser la rue Jean Bleuzen à cet endroit. «l’espace Gazier est excentré et que sa situation géographique peut être désavantageuse. En effet, cet espace est situé sur une rue passante et son accès peut être dangereux particulièrement pour les enfants qui ne sont pas toujours accompagnés. Sa situation géographique risque d’être un frein pour ces jeunes qui ne pourront pas bénéficier de l’accompagnement proposé par cet espace ».
Mais Gabriel Attal conseiller municipal avait expliqué que «dans la période troublée que nous connaissons, où les Français ont plus que jamais besoin de repères, de lien social et où les jeunes attendent un accompagnement leur permettant de se projeter vers l'avenir, la fermeture de l'espace Gazier serait incompréhensible pour beaucoup. Il convient par ailleurs de rappeler que le quartier du Plateau connaît un sentiment de délaissement, récemment accru par le projet - depuis abandonné - d'implantation d'une station de Gaz GNV à la place des infrastructures destinées aux jeunes». Du coup la ville avait dû reculer