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  • MUNICIPALES A VANVES : FACE A UNE LISTE LREM, LA MAJORITE MUNICIPALE INQUIETE

    Au lendemain de l’annonce de l’investiture de Séverine Edou comme tête de liste LREM, mardi dernier, une certaine inquiétude a gagné les rangs de la majorité municipale (LR/UDI) et des plus proches colistiers du maire, à tel point qu’ils se sont réunis autour d’un café mercredi matin, et qu’une réunion de crise est prévue ce soir.

    La déception est grande dans les rangs LR et UDI, car le maire sortant s’est démené jusqu’au dernier moment pour essayer de faire liste commune avec LREM, alors que son mentor Santini, qui n’a cessé de dire pire que prendre vis-à-vis du ministre et de la député LREM,  aurait passé un accord pour faire liste commune comme  le Canard Enchaîné l’a annoncé, en se trompant sur Vanves.

    Et contrairement à 2014, il n’est pas certain, dans ce contexte, qu’il passe dés le 1er tour avec 61% des voix comme en 2014, comme s’en gargarisait l’un de ses adjoints en disant à tout va «vous allez voir !» ses derniers temps. En tous les cas, pas avec une équipe comme elle se dessine, selon les rumeurs, avec des élus mis à une soi disante retraite en fin de liste en 2014 et qui se sont retrouvés siéger après quelques départs fracassants, et qui repartent sans coup frémir  en 2020, et des nouveaux venus, travaillés au corps pour certains, qui se sont aperçus dans quelle galére ils sont entraînés, sans parler de ceux qui sont prêt à vendre leur âme pour garder leur place de maire adjoint et leurs indemnités. 

    Tout cela n’apparait pas bien sérieux et solide pour une élection municipale, d’où cette inquiétude qui a saisie la majorité municipale face à une tête de liste LREM et bientôt des co-listiers qui tiendront la route, avec un tiers de vanvéens qui ont déjà eu une expérience d’élu local, un tiers d’associatifs, un tiers de personnes de la société civile aux réseaux multiples et divers. Du côté de la gauche, les écologistes et les socialistes seraient prêt à faire liste commune, les communistes n’ayant pas faire connaître leurs intentions

  • LE DERNIER OUVRAGE DE SŒUR MARIE MADELEINE CASEAU : «VIVRE LE NOTRE PERE»

    Sœur Marie Madeleine Caseau, présidente de la Congrégation des Bénédictines de Sainte Bathilde et Prieure de Vanves a présenté et dédicacé son nouveau livre : « Vivre le Notre Père »  jeudi dernier.  

    «La prière du Fils est notre trésor. Comment passer à côté sans la laisser murmurer sa saveur, sans en recevoir son essence, sans en goûter sa ferveur ? Jésus a livré son testament en partageant les mots de son coeur à coeur avec le Père » explique t-elle. En fille, en héritière, en cohéritière de l’amour de Dieu, elle tente d’ouvrir des sillons et de les creuser, « chemin faisant», au gré de la lectio et des résonances liturgiques. « Chaque demande du Notre Père est visitée à l'école de la vie fraternelle reçue comme un laboratoire, une prophétie, une promesse. Chacun est invité à aller comme il est, là où il est, en cordée, à la rencontre du Père. Tous appelés au bonheur de devenir fils, filles, frères et soeurs universels non en récitant une prière, mais en vivant le Notre Père » explique t-elle.

    Elle a déjà publiée trois autres livres : «Qui que tu sois – Au fil des jours avec Saint Benoit» en 2015 véritable comentaire de la régle de St Benoit, «Vivre en majuscule – Si tu savais le don de Dieu» en 2017 qui invite chacun à vivre de la parole, tout simplement en lisant les textes bibliques de la liturgie du jour une fois au cœur de la semaine, «Braises de Réssurection» où elle  propose un chemin d’écoute, de silence, de méditation à partir des récits des apparitions du Ressuscité. Un vrai chemin initiatique simple, peu exigeant : dix minutes chaque matin, livre en mains, assis avec soi-même, qui est ainsi balisé, pour chercheur assoiffé…. Ce qui est peit paraîte incroyable alors qu’elle préside cette congrégation, l’anime comme prieure de Vanves, voyage aussi. Elle a été, pendant plusieurs années, responsable des Oblats et hôtelière au Prieuré de SaintThierry (Reims). Elle a ainsi accompagné de nombreux laïcs dans leur quête de Dieu et a pu réaliser la nécessité de donner à chacun des outils pour qu'il trouve son chemin de vie et de bonheur et y persévère. Conduire au Christ et rendre libres sous le regard de Dieu ont été ses seules convictions profondes notent ceux qui la connaissent bien

  • VANVES PARTICIPE A LA NUIT BLANCHE PARISIENNE ET METROPOLITAINE

    Vanves participe pour la première fois à la Nuit Blanche qui devient métropolitaine grâce à la MGP (Métropole du Grand Paris)  et à l’artiste  Denis Mariotte qui s’installera  ce soir dans le passage des Reflets(du métro) pour une «installation/Performance» dans le jargon artisistique, c’est à dire«un Chemin sensoriel jouant d’accumulations et d’états de saturation, sonore ou visuelle de 19H à 23H30». IL sera tout à fait dans le théme de cette 18eédition de la Nuit Blanche qui est « le mouvement » en se développant pour la première fois dans des lieux hors Paris intra-muros

    Cet ariste a imaginé et conçu une installation sur mesure pour le Passage des Reflets, à la sortie du métro Malakoff-Plateau de Vanves. «C’est dans l’itinérance du public que réside l’enjeu de l’oeuvre et dans la déstabilisation des habitudes perceptives. Comment rendre sensible et présent ce trait d’union entre des territoires et focaliser l’attention sur le contexte qui les accueille ? C’est à partir de ces notions que Denis Mariotte propose de révéler le Passage des Reflets de la Ville de Vanves lors de cette intervention in situ. À partir du préexistant du lieu, qu’il s’agisse de son architecture, de sa luminosité ou de son ouverture sur l’extérieur, comment mettre en mouvement ce tunnel pour en faire un passage sensoriel ? Comment mettre en mouvement ce passage à demi souterrain, ce lieu d’échanges entre des territoires et amener l’usager, l’habitué et les habitants qui empruntent ce couloir, à découvrir un autre espace et provoquer une nouvelle dynamique du regard? »

    Tel est l’enjeu pour ce musicien, performeur et plasticien qui  a notamment collaboré, entre 1989 et 2013, à de nombreuses pièces de la chorégraphe Maguy Marin, dont il compose les créations sonores : musiques jouées sur scène, bandes électro-acoustique, pièces vocales, dispositifs sonores, films musicaux. Rapidement, Denis Mariotte  relie musique, mouvement et mise en scène pour ouvrir de nouvelles pistes de travail artistique. Parallèlement, il pratique l’improvisation musicale en duo avec Gilles Laval ou Michel Mandel, et collabore avec le compositeur Fred Frith pour deux pièces, Impur et Stick Figures. Depuis 2005, il réalise des pièces en solo (Prises/reprises en 2011, Hiatus en 2018…) ou duo, notamment avec Maguy Marin (Ca quand même, 2004), ou Renaud Golo (On pourrait croire à ce qu’on voit, 2005, titre générique incluant différents chapitres)