Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • VANVES REFUSE DE SURSEOIR AUX COMPTEURS COMMUNICANTS DEMANDE PAR LE FRONT DE GAUCHE/PC

    Le combat contre les compteurs de gaz et d’électricité intelligent dont l’installation chez les particuliers fait débat est relayé à Vanves  par Boris Amoroz (FG/PC) depuis longtemps. Il a d’ailleurs présenté deux vœux au dernier conseil municipal du 28 Juin demandant à la ville de surseoir à leur installation. Ce qu’elle a refusé  bien sûr.

    « Comme vous le savez, des centaines de villes en France, comme Melun, Yerres, Bagnolet, Saint-Macaire, de tout bord politique, ont voté des délibérations similaires. L’Allemagne a décidé de surseoir au déploiement de ces systèmes. En effet, l'installation des compteurs communiquant, que GRDF et ENEDIS veulent imposer à tous les abonnées, sans avoir demandé leur avis ni obtenu leur assentiment, contient de nombreux risques. La principale est le souci de protection de la santé des habitants. En effet, s'ils sont installés, les compteurs communicants émettront ondes et rayonnements dont la prétendue innocuité est fortement contestée par diverses associations comme Robin des Toits, PRIARTEM, le CRIIREM, et même l’agence sanitaire européenne. Qui plus est, pour exploiter les fonctions des compteurs communicants LINKY, ENEDIS injecte des signaux dans le circuit électrique des habitations, par la technologie Courant Porteur en Ligne (CPL). Or, les câbles des habitations n'ont pas été prévus pour cela, ils ne sont pas blindés, et de fait le CPL génère des rayonnements nocifs pour la santé des habitants. Enfin, l’effet cocktail joue à plein, avec les ondes déjà présentes dans notre environnement » a-t-il expliqué en relevant que « par ailleurs, toutes les compagnies de réassurance excluent la prise en charge en Responsabilité Civile des dommages liés aux ondes électromagnétiques. Les compteurs communicants, bien que prétendus « intelligents », sont aisément piratables. Les économies d’énergie promises sont avant tout fictives. Les compteurs communicants, s'ils sont installés, permettront aux opérateurs de recueillir d'innombrables données sur notre vie privée, utilisables à des fins commerciales mais aussi de surveillance et de remise en cause des libertés publique. Le coût énorme de ce grand remplacement, alors que l’existant est robuste et fiable, sera en fin de compte payé par les usagers .Il apparaît que, contrairement à ce que prétendent les opérateurs, les programmes de compteurs communicants ne bénéficieront aucunement aux usagers mais bien aux sociétés commerciales qui préparent déjà leurs « offres » ainsi que des projets fort contestables comme « l'Internet des objets ». Les communes sont des organismes de service public dont l'objet est de servir la population et de la protéger, elles ne sauraient être instrumentalisées au profit d'intérêts commerciaux ».

    La majorité comme l’opposition socialiste n’ont pas du tout partagé cet avis : « Les communes n’ont aucune compétence pour interdire ces compteurs, pour intervenir dans le comptage. Leur installation répond à des objectifs économiques et écologiques pour mieux maîtriser sa consommation, pour payer au juste prix. Ces compteurs n’émettent pas plus d’ondes que les autres appareils » a répondu Pascal Vertanassian (UDI) maire adjoint chargé de l’urbanisme. Jean Cyril Le Goff (PS) a même cité l’étude de l’ANFR selon laquelle « les niveaux des champs électromagnétiques émis par les nouveaux compteurs électriques Linky ne seraient pas plus importants que ceux des compteurs actuels ou de n'importe quel appareil électrique classique », en expliquant que c’est dans le cadre de la loi pour la transition énergétique que projet de remplacement des compteurs a été lancé. « Et cela aura un impact sur l’emploi » a-t-il précisé. « Ce débat sur les compteurs intelligents prend une vraie ampleur, car beaucoup de choses dérangent. On décide pour le bien de la population trop vite. Mais qui va payer cet investissement ? Le consommateur ou le contribuable » s’interrogeait Lucile Schmid (EELV). « Beaucoup de voisins nous inerpellent sur ece sujet. Il faut leur expliquer. Ils permettront de facturer leur consommation au prix  réel et chacun pourra faire des efforts en voyant où il en est de sa consommation pour la réduire » a ajouté Gabriel Attal (PS) qui ajoutait : « Je ne vois pas  pourquoi, il faudrait les interdire ! »

  • DEPART A LA RETRAITE D’UN GARDIEN D’ECOLE DE VANVES : PATRICK LE BIENHEUREUX

    « J’ai passé une vie exceptionnelle ici ! Que du bonheur ! » a-t-il déclaré lors des discours de Bernard Gauducheau, de Didier Morin l’un de ces prédécesseurs, Isabelle Debré vice présidente du Sénat. « Personne généreuse qui a beaucoup donné dans l’esprit du service public ! », « Pour nous à Vanves, la famile Pottier, c’est un peu ville avec cette dimension humaine ! », « beaucoup de pages se tournent actuellement parce qu’on n’a plus 20 ans ! » a-t-on entendu hier soir dans ce préau de l’école Marceau où beaucoup de vanvéens à divers titres étaient venus saluer Patrick Pottier pour son départ à la retraite en présence de sa famille et surtout de son épouse, la Baronne, pour qui c’était aussi le départ à la retraite.

  • FUSION BOULOGNE/ISSY OFFICIALISEE LE 9 JUILLET : GAUDUCHEAU SOUHAITE QUE VANVES SOIT INTEGREE EN AMONT

    Le groupe socialiste a de nouveau interrogé le maire de Vanves, mercredi dernier lors du dernier conseil municipal, sur la fusion de Boulogne et d’Issy qui doit faire l’objet d’un conseil municipal extraordinaire samedi 9 Juillet 2016 qui réunira les conseillers municipaux des deux communes,   pour savoir « quel impact elle aura sur notre commune qui dispose de plusieurs conventions en cours, notamment dans le domaine de l'Action Sociale, avec la commune d'Issy les Moulineaux si ce projet voit jour ?  Est-ce que les deux Maires de Boulogne Billancourt et Issy les Moulineaux, vous ont proposé d'intégrer Vanves dans ce projet de fusion et de création de commune nouvelle ?  Seriez-vous favorable d'intégrer Vanves dans ce projet ? » a demandé Jean Cyril Le Goff (PS).

    Pour l’instant le maire n’a pas d’informations complémentaires « par rapport à celles qui ont été annoncées par voie de presse et auxquelles vous faites référence. S’agissant d’éventuelles répercussions à court terme dans le domaine de l’action sociale aucune modification des collaborations actuellement en place n’est prévue. Le secteur de l’action sociale fera d’ailleurs l’objet d’une réflexion dans le cadre du territoire sachant que c’est GPSO qui exerce de plein droit la compétence « action sociale d’intérêt territorial ». La définition de l’intérêt territorial dans ce secteur sera établie à l’issue d’un état des lieux du territoire en matière d’action sociale et suivie de préconisations en matière de mutualisation et de gouvernance. La question de l’action sociale est donc un dossier prioritairement territorial et non directement lié à la création de la Commune nouvelle » a-t-il indiqué en précisant que « la position générale de Vanves par rapport à la démarche lancée par les ville de Boulogne-Billancourt et d’Issy-les-Moulineaux n’a pas changé » en rappelant ses propos du 30 mars dernier en réponse à l’une de leurs questions orales.

    « La réflexion lancée au sein de notre territoire par Boulogne-Billancourt et Issy-les-Moulineaux s’inscrit dans la même volonté d’étudier toutes les pistes permettant d’améliorer l’efficacité de l’action publique. Depuis 2003 et la création d’Arc de Seine puis de GPSO et des avis réservés dans vos rangs l’expérience nous a montré qu’il était meilleur pour Vanves de jouer collectif. C’est ce que j’ai indiqué par courrier à mes collègues d’Issy-les-Moulineaux et de Boulogne-Billancourt afin que Vanves soit intégrée en amont à l’important travail préalable que va nécessiter la création de cette nouvelle collectivité territoriale ». Mais voilà, d’après des sources bien informées, il n’est pas sûr que les deux principaux intéressés soient prêt à le faire surtout après la tentative de putsch avorté lors de l’installation du Conseil de territoire de GPSO et de l’élection de son président dont il reste des traces.