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  • STADE DE VANVES : VANVES BAT NANTERRE PAR 4 A 0

    Troisième victoire consécutive, 3/0, 3/0 et 4/0. « Comme le week-end dernier, les seniors confortent leur première place. L'équipe augmente son avance sur ses poursuivants, Neuillly a fait match nul et perd 2 points (victoire 4 pts, nul 2 pts ). Depuis plusieurs matches nos joueurs ont trouvé un système de jeu à une touche de balle, avec redoublement de passes, ce qui permet de faire sortir l'adversaire pour mieux le prendre en contre » indique Jean Claude Vignal, président de la section football qui constatait que « Le spectacle proposé attire les supporters ( maire adjoint et son collègue aux sports, le président du stade de Vanves ). Il est dommage que ce public ( 70 personnes environ)  soit « accroché » au grillage plutôt que d'être dans les tribunes. Vivement le terrain synthétique sur le terrain d'honneur. Dimanche prochain 1/4 de finale de la coupe des Hauts de Seine à Nicolaïte de Chaillot ».

  • LENDEMAIN DE 19 MARS A VANVES : « LA CONCORDE PLUTOT QUE LA DISCORDE »

    Voilà 34 ans que l’amicale des Pieds Noirs est présente sur Vanves (photo d’un déjeuner sur l’eau le 14 Février dernier) et qu’elle tient toujours en mars sa traditionnelle assemblée générale suivie d’un couscous, comme ce fut le cas, Dimanche dernier. Mais cette année, elle prenait un caractère particulier au lendemain de  ce 19 Mars dont la commémoration par François Hollande au mémorial du Quai Branly a enfiévrée le débat politique et suscité l’indignation de la droite et de l’extrême, mais aussi des associations de rapatriés et de harkis. D’autant plus que c’était la première fois qu’un président de la République se déplaçait devant ce monument un 19 Mars. 

    « Il a pris le risque de relancer la polémique » a constaté Jean Claude Abecassis son président qui a repris les propos de Nicolas Sarkozy dans une tribune : « Pour qu’une commémoration soit commune, il faut que la date célébrée soit acceptée par  tous. Or chacun sait, qu’il n’en est rien, le 19 Mars reste au cœur d’un débat douloureux » en constatant que François Hollande a dit reconnaître toutes les souffrances de cette période. « Le 19 Mars n’était pas le début de la paix. Il y a eu la reconnaissance du massacre de la rue de Sisley qui s’est déroulée après dont les noms des victimes devraient être inscrits dans le mémorial  du Quai Branly. Pour la première fois, il y a eu reconnaissance du massacre d’Oran » a t-il indiqué en se réjouissant de la présence de Paul Ajder, président de la FNACA comme le maire : « On sait bien que rien ne peut faire oublier les souffrances.  Le fait que le président de la FNACA soit présent prouve l’ouverture de l’association » a constaté Bernard Gauducheau. Il est vrai que les relations avaient été très froides notamment lorsque Guy Janvier, alors maire de Vanves,  avait fait édifié le monument du 19 Mars sur le plateau inauguré le 19 Mars 2000, d’autant plus qu’il avait eu la malencontreuse idée de faire dessiner une barque, ce qui avaient fait hurler de rage certains rapatriés vanvéens. Mais le temps passant, et des élus jouant « la concorde plutôt que la discorde » comme l’a dit le maire, les choses se sont atténués, même entre la FNACA et l’UNC Vanves.

  • GAUDUCHEAU MAIRE DEPUIS 15 ANS : L’AVIS D’ANNE LAURE MONDON (PS)

    Quinze ans après l’élection de Bernard  Gauducheau (UDI) comme maire,  qu’en est il. Le Blog Vanves Au Quotidien continue à demander leur avis à des élus et des ex-élus  de tous bords politiques (3 par tendances politiques) avec les réserves exprimées dans le blog du  16 Mars dernier.  C’est au tour de Anne Laure Mondon, président du groupe PS au conseil municipal (entre Nadége Azzaz et Philippe Dos Santos lors des Régionales) 

    Vanves Au Quotidien - Que retenez-vous en bien ou en négatif de ces 15 ans ?

    Anne Laure Mondon : « En tant qu’élue « minoritaire » je dois reconnaître que le dialogue est possible et constructif avec Bernard Gauducheau.  C’est un point positif qui mérite d’être souligné car il n’en est pas ainsi dans toutes les communes. Il sait écouter son opposition et nos échanges sont généralement très respectueux. Et c’est en faisant preuve d’écoute face aux élus de l’opposition de l’époque et à un collectif proposant une alternative à son projet d’origine qu’une des plus belles réalisations a pu voir le jour : l’espace Cabourg !

    Toutefois les choix politiques qui ont été les siens depuis plusieurs années ont engendré une baisse importante des marges de manœuvres et capacités financières de la Ville. Il l’a annoncé il y a quelques jours sur son blog, il proposera au Conseil municipal du 30 mars une hausse de la fiscalité de 3%. Hausse qu’il impute bien évidemment uniquement aux baisses des dotations de l’Etat et hausse de la péréquation.Mais cela fait plus de 3 ans qu’à chaque Débat d’Orientation Budgétaire et chaque vote du Budget nous pointons du doigt les effets qu’allaient inévitablement engendrer la hausse des emprunts et des charges financières qui ont diminué notre capacité d’autofinancement et d’épargne. Les dépenses ont été trop importantes par rapport aux recettes escomptées. Nous proposions depuis plusieurs années de se concentrer sur les actions prioritaires de la commune (enfance, petite enfance, jeunesse etc.) et de diminuer certaines dépenses notamment en matière de communication ! Demain la hausse des taxes foncières et d’habitation proviendra bien en grande partie de ses choix de gestion ! C’est un peu ma marotte mais il s’agit là d’une question importante !

    VAQ - N'est-ce pas trop long 15 ans ? Ne faut-il pas limiter les mandats des maires à deux ?

    A.L.M. : « Deux mandats sont pour moi nécessaires pour pouvoir mener à bien certains projets et avoir le temps de mettre en place et d’installer durablement certaines politiques. Lors des prochaines élections municipales de 2020, il aura siégé 19 ans… Sans nul doute il est nécessaire de pouvoir renouveler les instances quelles qu’elles soient, cela vaut à droite comme à gauche, pour insuffler de nouvelles visions et permettre aussi à la société civile de pouvoir s’investir sans penser que la gouvernance de la Cité ne peut être l’affaire que de quelques-uns. Après il y a la question du cumul des fonctions, et sur ce point il y a du pour et du contre. Certains cumuls sont légitimes et peuvent apporter un « plus » à la gestion de la Ville… Comme toujours la question est de trouver un juste milieu.