Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • GAUDUCHEAU MAIRE DE VANVES DEPUIS 15 ANS : L’AVIS DE BORIS AMOROZ (FG/PC)

    Quinze ans après l’élection de Bernard  Gauducheau (UDI) comme maire,  qu’en est il ? Le Blog Vanves Au Quotidien continue à demandre leur avis à des élus et des ex-élus  de tous bords politiques (3 par tendances politiques) avec les réserves exprimées dans le blog du  16 Mars dernier.  C’est au tour de Boris Amoroz, conseiller municipal  (FG/PC)

     

    Vanves Au Quotidien - Que retenez-vous en bien ou en négatif de ces 15 ans ?

    Boris Amoroz : « On ne peut le nier, certaines choses ont été bien réalisées : l'entretien de la voirie, un certain nombre d'événements culturels de grande importance, comme Artdanthé ou le festival des musiques anciennes, qui pâtissent cependant aujourd'hui des coupes budgétaires. Malheureusement, d'autres points sont plutôt négatifs : je pense notamment au marché de Vanves, qui est en train de péricliter depuis que M.Gauducheau a décidé de lui faire réintégrer sa halle après des travaux a minima (après l'incendie de 2000), au début de son premier mandat. Je pense aux difficultés pour les Vanvéens, et plus généralement les Franciliens, de se loger à des prix raisonnables, les prix des loyers et du mètre-carré ayant explosé sur cette période. L'action des maires de droite dans le 92 n'y est pas pour rien. Je pense aussi aux fermetures de services publics, acceptées par M.Gauducheau (guichet SNCF, assurance-maladie…).

    VAQ - Ne faut-il pas se limiter à 2 mandats ?

    B.A. : « Par-delà les désaccords politiques, une certaine expérience et compétence sont nécessaires pour un mandat de maire, d'autant qu'il s'agit de plus en plus d'un travail de gestion courante, d'administratif. Mais ceci entraîne une professionnalisation du rôle politique, et donc une coupure avec les citoyens, un manque d'implication citoyenne.
    Au-delà de ses deux mandats de maire, il faut se souvenir que M.Gauducheau était déjà maire-adjoint de Vanves à l'éducation dès la fin des années 80 (j'étais alors écolier à la primaire Larmeroux). Aussi, je repense à ces choses disparues qu'étaient le bibliobus ou la cantine scolaire municipale. Mais un long enchaînement de mandats n'amène pas de nouvelles idées, de nouvelles ambitions. De plus, il est essentiel de limiter l’addition de mandats divers, car on ne peut efficacement les tenir tous. Un renouvellement est donc aussi nécessaire.

  • FETES DE PAQUES A VANVES

    VANVES AU QUOTIDIEN 

    VOUS SOUHAITE

    DE JOYEUSES FETES 

    DE  PAQUES

     

    ET VOUS DONNE RENDEZ-VOUS MARDI

  • PERMANENCES POLITIQUES A VANVES : LES REPUBLICAINS QUITTENT LOUIS BLANC

    Les Républicains ferment leur permanence de la rue Louis Blanc presque dix ans après son ouverture et son inauguration le 2 Décembre 2006 avec Jean Pierre Fourcade, Jean Jacques Guillet, Roger Karoutchi, André Santini, Patrick Devedjian, Bernard Debré. « Lieu de partage et d’écoute, elle nous a permis d’animer la vie de notre mouvement et de préparer plusieurs campagnes électorales. Aujourd’hui, une permanence politique s’avère moins nécessaire » expliquent les responsables vanvéens des Républicains qui « grâce à l’économie réalisée, pourront « faire plus et mieux, notamment sur le terrain : Cafés politiques, déplacements et réunions thématiques ». Ils organisent un pot de fermeture le lundi de Pâques en fin d’après midi. Il ne restera plus qu’une seule permanence politique à Vanves : Le « 82 » (rue sadi Carnot) des socialistes. Petit retour sur l’histoire des permanences politiques à Vanves     

    Les permanences du parti gaulliste (UMP et RPR) comme celles de l’UDF puis de l'UDI et du PS ont connu des résidences multiples depuis une trentaine d’années : Les Jeunes Giscardiens PR aux débuts des années 80 avaient ouvert un local derrière la boutique Vanv’en Poupe,  ensuite dans une ancienne petite boutique de fleuriste où se trouve actuellement l’immeuble de la Banque Populaire rue de la République. Son animateur s’amusait à afficher les bonnes feuilles vanvéens de la Tribune Régional, journal d’informations locales disparu, qui énervaient les conducteurs cégéstistes ou communistes de la RATP. Le RPR a occupé l’une des plus minuscules dans un local face à l’hôtel des Impôts rue Marcheron durant les campagnes présidentielles de 1988 et municipales de 1989, puis des bureaux rue Jean Bleuzen durant la malheureuse et désastreuse campagne municipale de 1995. Et même une ancienne boucherie rue de la République où se trouve aujourd’hui le nouvel immeuble à l’angle de la rue Vieille Forge avec sa boulangerie durant celle de 2001 qui fut inaugurée par MAM (Michéle Alliot Marie) alors présidente du RPR le 13 Décembre 2000 et reçu un pavé dans la vitrine 3 jours après. D’ailleurs ce jour là (13 décembre), le PS inaugurait aussi sa permanence rue Jean Bleuzen avec Guy Janvier et Robert Badinter, qui connut aussi quelques avatars. 

    L’UDF a aussi eu ses permanences dans un local au 2  rue Henri Martin durant la campagne des cantonales 1998, qui fut la première permanence des gaullistes du temps du RPF, en face du restaurant «Les Sportifs» (devenu « les filles »). Puis à l’angle des rues Diderot et Raymond Marcheron en face du nouveau commissariat durant la campagne des municipales de 2001  dont «l’objectif était de montrer son attachement à la constitution d’une liste de rassemblement en mars 2001 dans une ville gagnée par la gauche à une voix», puis celles de 2008. Enfin dans un minuscule locale de la rue Jean Bleuzen au niveau des Procédés Chenel  pour les municipales de 2014  inauguré par une pléiade de politiques venus soutenir Bernard Gauducheau lors d’une réunion publique à Marceau (Patrick Devedjian, Valérie Pécresse André Santini, Roger Karoutchi sénateur,  Hervé Marseille, Laurent Lafon) avec un ruban bleu et fushia aux couleurs de l’UMP et de l’UDI à la place d’un ruban tricolore à découper. La dernière permanence à rester ouverte sera celle des socialistes inaugurée un 12 Décembre 2009 alors que Guy Janvier était conseiller général, Fabian Estellano, Secrétaire de Section, Lucile Schmid encore au PS (avant de passer chez les écologistes), Antonio Dos Santos, trésorier : « Cela a toujours été notre rêve !  C’est une pierre importante pour la vie locale du PS » indiquait Guy Janvier. « Cela change tout d’avoir un lieu. C’est savoureux d’être entre nous » ajoutait Lucile Schmid.